par Quentin Disneur
Bonjour,
je vous propose de partager une réponse par rapport à une question dans le blog de Suyin, qui en même temps nous fait le plaisir de partager son expérience. Et cette expérience qu’il a vécu, qui est un vécu temporaire d’unité, est une chose que j’ai déjà entendue de beaucoup de lecteurs du blog qui me l’on également partagée.
Au-delà même des lecteurs de ce blog, il m’est souvent arrivé d’entendre des partages de ce genre d’expérience parmi des rencontres de personnes dans des démarches de spiritualité, voir même parmi des personnes qui ne se sont jamais intéressées à toute notion de spiritualité quelle qu’elle soit, et à qui cette expérience d’unité leur est également arrivée.
Tous ces partages de ce genre d’expérience revêtent une multitude de points communs, dont une série de conséquences qui ne sont pas toujours facile à vivre à la suite de ce vécu temporaire de dissolution de l’égo. Ces conséquences sont dues au fait qu’après ce vécu temporaire de l’Absolu, le mental reprend à nouveau le dessus, et nous fait nous identifier à cette expérience.
Cette expérience devient alors une référence d’état intérieur que l’on tente de retrouver, ce qui ne peut qu’alimenter le mental puisque l’éveil est la libération de toute expérience pour accepter l’ici et maintenant tel qu’il est et non tel que nous voulons qu’il soit.
Voici le partage de Suyin :
« De nombreuses personnes témoignent ou écrivent (et j’en fais partie) avoir vécu cette réalisation, cet éveil du coeur dans lequel le mental, le moi, l’histoire de l’individu sont dissous, laissant jaillir la Vérité, l’Absolu. Puis le coeur se referme, ou bien la perception est à nouveau accaparée par les phénomènes mentaux et sensoriels « habituels », et l’être revient à sa perception « ordinaire », recommence à se prendre pour un individu, remet le costume de son histoire personnelle, recommence à souffrir, parfois davantage qu’avant du fait du décalage entre ce qu’il sait désormais qu’il est (l’Etre, le Un), et ce qu’il vit dans son ressenti (séparé du reste).
Ces « expériences » sont des moments d’éveil authentiques, ce ne sont pas des moments de lucidité où l’on comprend mieux qu’avant. Ce sont des moments ou l’on Sait. Le mental n’y prend aucune part, il est complètement dépassé, il ne peut que s’incliner, se rétracter sous la force du feu de la Conscience, de l’Amour, de Ce qui est. Un seul instant de cet éveil suffit pour dire que nous savons une fois pour toute qui nous sommes. Pourtant, et étrangement, l’état ne dure pas, ne reste pas. Cela reste un souvenir sur lequel le mental va s’en donner à coeur joie pour broder plein de choses. Cela n’est plus vécu dans le corps. C’est absolument incompréhensible, j’en conviens tout à fait, ce n’est pas « logique » si j’ose dire, mais c’est ainsi ! »
Peut-être que d’autres personnes se reconnaissent dans cette expérience. Même si on le vit selon sa propre perception, qui est fonction des qualités d’âme de chacun, il est aujourd’hui remarqué que de plus en plus souvent, certaines personnes vivent ce genre d’expérience.
Cette question de Suyin a été posée sur l’article intitulé « Quelle est la différence entre l’éveil, l’illumination et l’ascension ? », que vous pouvez trouver ici :
http://la-joie-du-monde-nouveau.com/?p=121
Cet article partage que l’éveil spirituel, la reconnaissance que nous sommes l’Amour, lorsqu’Il est vécu dans le corps, n’est pas de l’ordre de l’expérience. Car par nature, l’expérience nait et meurt, alors que l’éveil, goût de l’Absolu, est la transcendance de la naissance et la mort, c’est-à-dire la transcendance de la dualité.
C’est la reconnaissance de notre Essence Divine, Éternelle.
Lorsque l’Éternel est reconnu, l’expérience est transcendée pour laisser place à ce qui EST, ici et maintenant.
L’expérience est l’activité mentale qui s’est dissout par l’ouverture Complète du coeur qui permet à l’Amour de se respirer de lui-même.
Nous Sommes Esprit, c’est-à-dire ce qui manifeste l’expérience. Le mental est le voile au-dessus du cœur qui a créé une distorsion de la Conscience. Ce voile nous fait nous perdre dans l’expérience. Nous pensons alors vivre par l’expérience que nous avons nous-même manifestée.
Nous pensons être un corps, là où il n’y a que l’Esprit qui expérimente la Vie, c’est-à-dire qui S’expérimente à travers Sa manifestation du corps physique.
Penser être un corps est une forme d’identification, une croyance égotique. La réalité est que lorsque le cœur physique s’arrête, l’activité biochimique du corps s’arrête bien que la perception d’être en vie continue, car l’Existence comprend indistinctement l’activité biochimique et Tout ce qui entoure.
Le Tout est Soi. L’Esprit.
Se perdre dans l’expérience nous fait voir l’extérieur séparé de soi, alors qu’il n’est que notre propre rayonnement. L’extérieur ne pourrait être sans Soi.
Alors, comme le pose Suyin, on peut se demander : « Si la reconnaissance de l’Absolu, l’éveil, le goût plein de l’Amour est la transcendance de l’expérience, donc de l’activité mentale, alors comment se fait-il, comme d’autres en témoignent également, que je l’ai vécu dans le corps, cela n’était pas une expérience, cela n’était pas mental mais complètement goûté, j’ai ressenti cet Amour, et pourtant, qu’aujourd’hui, je sois de nouveau dans le mental ? »
Lorsque cela a été vécu dans la chair, il s’agit effectivement du goût plein et non d’une mentalisation. Un goût qui efface toute perception de temps et d’espace, seulement le goût, et non une expérience qui, par définition, a un commencement et une fin.
Au cours de ce processus d’ouverture du cœur, ce qui est goûté n’est pas pensé, mais lorsque le mental revient, le concept de temps revient, la personnalité se reforme, et la croyance d’exister séparément du monde refait surface, comme si cette activité mentale avait besoin de respirer un grand coup car elle a failli mourir.
Cette croyance en la mort est due au fait qu’il reste encore des peurs dans le corps qui ne sont pas totalement nettoyées et qui ne permettent pas au mental de se laisser complètement Aimé. La personnalité qui a eu très peur de disparaitre, c’est-à-dire de reconnaitre qu’elle n’est pas distincte du Tout, va maintenant se croire bien vivante. Elle va alors tenter de se persuader qu’elle a bien vécu ce qui s’est passé alors qu’il n’y avait que le goût sans personne qui l’a vécu.
Pour s’en convaincre, la personnalité, l’égo, va retourner dans le « passé » pour s’approprier ce goût, le transformant en un concept fade et sans vie.
Ce qui se vit ne peut être ce qui se raconte. Le raconter est l’expérience. Ce qui se raconte passe par la mémorisation. Mémoriser est enfermer la Vie, une sorte de clonage, à la forme semblable mais à la profondeur inexistante. Car l’âme ni est plus, et sans âme pas de goût.
Parfois, comme le dit Suyin, lorsque l’on goûte cet Unité, et que l’activité mentale reprend par la suite, la personnalité qui s’est reformée se retrouve, selon sa vision duelle, dans un plus mauvais état qu’avant.
Le fait est que ce goût de l’Unité survient lorsque l’on ne le cherche pas. Lorsque l’on est dans une simple acceptation du moment présent, on obtient ce à quoi on a renoncé.
La naissance de l’expérience ne survient qu’après la prise de conscience de ce qui a été obtenu, autrement dit lorsque nous commençons à refuser que l’ici et maintenant continue d’Être.
Ainsi, lorsque le mental revient, la conceptualisation de ce goût d’unité créé le désir de revivre l’expérience. On commence alors à se mettre une pression qui ne fait, selon la loi d’attraction/répulsion, que repousser ce que l’on cherche.
D’une infinité de façons, l’égo qui résulte de cette attraction/répulsion et maintient l’âme tournée vers l’extérieure, va tenter de nous maintenir dans ce qui est devenu une expérience passée, nous empêchant de Vivre ici et maintenant.
Il est ainsi courant de se culpabiliser d’être retombé dans le mental par exemple. Cette culpabilité est un voile devant la Présence qui fait croire que ce goût d’Unité provient de cette expérience mémorisée et non de l’ici et maintenant.
Ce que l’on peut Entendre est que ce processus est tout à fait normal. Alors que l’âme murit en chacun, un certain nombre de personnes peuvent vivre temporairement le goût de l’unité. Il peut même pour certains se vivre successivement des vagues d’Unité et d’Amour. Ces vagues plongent la personnalité dans un « absolu » avant qu’elle ne ressorte la tête de l’eau, oscillant ainsi entre des hauts et des bas, entre Amour et peur.
Le contexte énergétique d’aujourd’hui permet de se défaire des lois karmiques d’attraction/répulsion pour se laisser porter par l’énergie de la Grâce.
Ce contexte est dû à un changement de cycle, décrit de tous temps et de toutes traditions, qui est décrit dans l’article sur les Retrouvailles avec le corps Solaire pour l’humanité que je vous invite à lire ici : http://la-joie-du-monde-nouveau.com/?p=289
Aujourd’hui, les énergies solaires qui se déversent en masse sur la Terre impactent de façon importante sur l’ADN de l’être humain, créant un processus d’éveil plus intense en chacun.
La forme que prend ce processus, c’est-à-dire la manière dont les énergies physiques, mentales et émotionnelles vont se réharmoniser à force d’être mises en Lumière, est différente pour chacun.
Pour certains, la forme est une ou plusieurs expériences d’unité. Expérience car le goût de l’unité à un début et une fin. Le mental est seulement déconnecté de façon temporaire, ce qui permet ensuite à la personnalité, l’égo, de mémoriser cette absence d’égo en une expérience de l’égo.
L’aspect temporaire de cette déconnection mentale est du à certaines parties d’ombre en soi qui n’ont pas encore été éclairées, Aimées. L’Amour qui ne se respire pas encore entièrement car le cœur n’est pas complètement ouvert permet alors à la personnalité de se reformer.
L’activité mentale est une conception linéaire du temps, là où seule l’Ici et Maintenant existe, sans début ni fin.
Lorsque l’activité mentale est mise en Lumière sans pour autant être totalement consumée, le goût plein peut ainsi être vécu temporairement sans pour autant que l’Éternel soit reconnu.
L’égo s’est aménagé « un espace d’absolu » dans son concept de temps, avec une zone bien définie de naissance et de mort de l’expérience. Dans cette zone de confort égotique aménagée, l’égo peut y expérimenter sa propre dissolution, bien que ce soit toujours lui qui l’expérimente.
Il n’y a alors que le goût de l’absolu et lorsque l’expérience se termine, ce qui reste d’activité mentale reprend la forme d’un égo qui peut parler de ce qu’il vient de vivre, alors qu’il n’y avait que la Vie Elle-même.
Les énergies Solaires qui se déversent sur la Terre peuvent être vues comme des langues de Feu qui viennent lécher l’être. Et à chaque coup de langue, l’égo est ébranlé. Il est même parfois tellement ébranlé par cette Lumière, brûlante, qu’il peut y avoir une déconnection momentanée, créant cette expérience d’absolu.
Mais tant que le cœur n’est pas entièrement propre, tant que l’intérieur n’est pas complètement nettoyé, la Conscience pleine ne peut pas être accueillie. Pour pouvoir être pleinement accueillie, la Conscience, Lumière, doit être pleinement inconsciente. Tout est 1. Seul existe la Conscience.
La Conscience ne peut pas être consciente de l’Être sans se séparer d’Elle-même.
La Conscience ne peut ainsi que se goûter dans une pleine inconscience. S’il y a un reste d’égo, de personnalité cristallisée dans le corps, s’il reste un fond inconscient de quelqu’un qui croit qu’il va devenir conscient, alors le cœur n’est pas propre, il n’est pas vide, et le vide ne peut alors être plein.
Car la physique elle-même démontre aujourd’hui que le vide est plein d’énergie.
Le cœur doit être entièrement nettoyé, entièrement préparé pour recevoir l’Amour. Pour qu’Il puisse prendre toute la place.
Alors seulement, l’Amour se respire Lui-même. La Conscience qui vit dans une pleine inconscience. La Connaissance qui prend forme sans plus personne qui sait, car la personne s’est dissoute dans le Savoir.
La connaissance est infinie et ne peut donc être contenue. C’est un flux, ici et maintenant, qui se renouvelle constamment dans la forme. La personne qui n’est plus que le flux ne peut se rappeler de quoi que ce soit. Elle ne peut revenir dans le passé ni se projeter dans le futur pour y exprimer la Connaissance, elle est juste l’expression dans la forme de ce flux qui s’exprime selon ce qui doit être ici et maintenant. Qu’il en soit fait ainsi.
Cela est se libérer de tout fardeau, de prétendre quoi que ce soit, de participer à quoi que ce soit.
Tant que cela n’est pas entièrement vide, le goût ne peut rester. Cette expérience d’unité est juste un phénomène qui se produit chez certaines personnes dont l’âme mûre commence à Entendre, mais qui n’est pas vécu par tout le monde et n’est pas indispensable à l’ouverture du cœur.
Le processus est en cours, les énergies descendent et chacun le vit différemment en fonction de sa capacité à choisir le cœur plutôt que la peur. En fonction des résistances au lâcher prise, à l’abandon en soi-même.
Si les résistances sont fortes, c’est que cela fait partie de ce qui doit être ici et maintenant, on peut l’accepter pour ce que nous sommes. Si cela est difficile d’y arriver, ce n’est pas grave, c’est notre droit de résister, on peut se pardonner de ne pas encore se sentir prêt à lâcher prise.
Se pardonner d’être en résistance permet d’obtenir ce à quoi on renonce. C’est agir selon la loi de Grâce qui nous libère des lois karmiques de l’attraction/répulsion.
Se pardonner est choisir la Lumière. Père, je remets mon Esprit entre Tes mains pour que Ta Volonté soit faite et non la mienne.
Ce choix ne vient pas de la surface mais des eaux profondes. Du fin fond des entrailles peut se faire sentir cette décision en âme et conscience. Ne plus attacher d’importance à tout ce qui rattache encore l’âme au monde, car on sent qu’il y a Là la réponse à toutes nos questions, que tout cela n’est qu’une expérience, que ce n’est pas important, et on peut se laisser porter par le Vivant.
Cela est se pardonner. On ne culpabilise plus de ce Renoncement au monde, on est déjà baigné par la Joie, l’Amour, le Bonheur, la Paix, qu’EST la Lumière.
Ces expériences d’absolu peuvent parfois successivement revenir chez certains, et ne plus jamais revenir chez d’autres avant que le cœur ne soit Complètement ouvert.
Ce phénomène de nettoyage intérieur est la Lumière qui descend dans le corps. La Lumière est un Feu, Esprit, le 5ème élément qui embrase les 4 éléments jusqu’à ce qu’ils s’harmonisent, et que la Quintessence soit retrouvée.
La Conscience est Lumière, c’est le cœur qui s’ouvre. Quand Il s’ouvre Complètement et qu’Elle commence à prendre de plus en plus de place dans le corps, Elle brûle. Et c’est en brûlant qu’Elle nettoie tout ce qui a besoin d’être nettoyé dans le corps pour que tout soit entièrement vide, pour laisser seule la place à l’Amour.
Plus aucune dualité, plus un seul grain d’ombre ne peut exister pour que la Lumière puisse transcender à la fois ombre et lumière. Cela ne se peut que si le vide est entièrement vide, que si l’inconscience est entièrement inconsciente, pour que le vide soit plein, pour que l’inconscience soit conscient. Pour que les 2 opposés ne forment plus qu’1.
L’Amour sans condition est l’expression de 2 forces opposées, le Ying/Yang, conscience/inconscience, permanence/impermanence, mobilité/immobilité. Personne n’est conscient, personne n’est inconscient. Cela est juste un flux qui s’exprime sans plus aucune souffrance, reste de la Complétude. Sentiment de Joie, sentiment de Paix.
Ce Feu qui brûle peut également être considéré comme la Présence des séraphins. Les séraphins sont des anges qui font partie du neuvième et dernier monde de la hiérarchie céleste.
Selon les textes chrétiens, il est dit que les séraphins siègent auprès du trône de Dieu. Ils sont constamment en train de glorifier Dieu. Ils sont représentés par 3 paires d’ailes, une paire pour se cacher le visage, une paire pour se cacher le corps et une paire pour se cacher les jambes.
Car les séraphins, dont la traduction littérale de seraphim en hébreu veut dire « brûlant », sont tellement Lumière, ils brillent tellement qu’ils sont obligés de se cacher, au risque de brûler, de consumer tout ce qu’il y a dans leur entourage.
Tellement qu’ils ne sont plus que Lumière. Ils ne sont plus qu’en train de Glorifier constamment Dieu, de chanter Éternellement les louanges de Dieu.
Les séraphins, symboliquement, est une expression très proche de la vibration du processus qui fait que cela brûle de l’intérieur. Cet effet brûlant est très concret puisque certains ressentent physiquement de la forte chaleur dans le corps, voir un embrasement du cœur au centre de la poitrine (chakra du coeur) lorsque celui se met à s’ouvrir.
Cette chaleur est le ressenti physique de ce nettoyage karmique qui dissout toute attachement de l’âme à l’extérieure pour pouvoir se retourner intérieurement vers l’Esprit.
Le symbole de la langue de Feu est aussi très parlant, si cela est entendu depuis l’intérieur.
On peut ainsi ressentir comment la Lumière peut parfois venir nous lécher par accoup, et faire pour certains que le mental se déconnecte pour laisser temporairement la place à l’unique goût de la Présence.
Toute cette chaleur, tout ce feu qui brûle fait que, de temps en temps, nous pouvons nous sentir très fatigué. Il ne faut pas hésiter à se reposer si l’on sent que le corps en a besoin. Ne surtout pas culpabiliser de se reposer, voire de prendre des jours de repos si cela est nécessaire.
Cela est important, il faut laisser le travail se faire. Cela fait aussi partie du lâcher prise de ne pas trop résister, de ne pas aller contre ce qu’il se passe dans le corps. Tout cela va dans le sens de la voie du cœur.
Ainsi, si cette expérience d’unité peut se vivre, il n’est pas nécessaire de la rechercher, ni de vouloir la revivre. Cette envie est l’expression de l’activité mentale qui a créé une séparation dans l’ici et maintenant pour euphoriser l’expérience. Lorsque le cœur s’ouvre Complètement, seule le Présent est reconnu.
Il n’y a ni euphorie ni déprime, car les émotions duelles de beauté et de laideur sont transcendées.
La beauté est Conscience, qui est fusion de la Conscience et de l’inconscience.
Lorsque le cœur s’ouvre Complètement, il n’y a même plus la reconnaissance que cela se goûte, il y a le goût lui-même. Juste le goût. Seule la Paix peut être. Pour cela, rien ne peut y être ajouté, quel que soit ce que l’on nomme le goût de l’absolu, le goût de l’unité, le goût de l’Amour, chacun de ces mots sera au final transcendé pour qu’il ne reste plus que ce qui ne s’exprime pas.
Avec Amour,
Quentin Disneur – http://la-joie-du-monde-nouveau.com