SORTIR DE L’ILLUSION: L’ARGENT
par Yves Dubé – le Phare
Pour faire suite à ma dernière communication où je faisais mention que, dans la transition que nous sommes à vivre, nous aurons à sortir de l’illusion quant à notre nature véritable, il est probable que nous soyons aussi confrontés au fait de sortir de l’illusion que nous entretenons face à l’argent.
Alors pour bien comprendre l’illusion j’énonce maintenant la chose suivante: L’ARGENT N’EXISTE PAS RÉELLEMENT.
Je répète: L’ARGENT N’EXISTE PAS RÉELLEMENT.
Et pourtant, l’argent conditionne la vie de tout le monde à un niveau ou à un autre.
En fait, l’argent existe en vertu d’une croyance liée à une convention. À moins que ce soit le contraire et que l’argent existe en vertu d’une convention à laquelle nous accordons toute notre confiance.
Et pourtant… Pour bien comprendre cela, je vous invite à écouter le vidéo suivant où cela nous est présenté avec humour: https://www.youtube.com/watch? v=3s8-GtFt6f4
J’ai déjà fait mention dans certaines de mes communications que l’argent se présente à nous sous deux formes principales:
-l’argent scripturale: il s’agit de l’argent lié aux cartes de crédit et aux cartes de débit. Dans ce cas, si on prend le temps d’y penser, il n’y a aucun argent réel, tangible, qui est transigé. Il n’y a que des chiffres qui changent de colonne: débit/crédit, crédit/débit dépendant du rôle joué par l’utilisateur lors de la transaction.
-l’argent fiduciaire: c’est l’argent papier qu’on utilise. Dans ce cas-ci, si on prend d’y penser, hormis le graphisme, et le chiffre qu’on imprime sur les billets, il n’y a aucune différence réelle entre les billets qu’ils soient de 5$, 10$, 20$, 50$, 100$ ou 1000$. Tous ces billets sont imprimées sur un polymère semblable et ils ne comportent donc pas de différences notables dans leur coût de fabrication. Ce qui leur donne leur valeur est donc simplement une convention à laquelle les gens adhèrent. Advenant que la convention tombe, ces billets ne vaudraient même pas le coût de leur impression.
Je vous invite à considérer le ridicule de la situation suivante où on veut tellement nous faire croire à l’existence et surtout à la valeur de ces papiers que des hommes armés se promènent dans des camions blindés pour transporter ces documents d’une institution financière à une autre. Et ils sont prêts à risquer leur vie pour protéger cette convention.
Autrefois ces billets avaient une contrepartie en or. Ils étaient donc adossés à une valeur tangible dans laquelle on pouvait se réfugier en cas de perte de confiance en la monnaie papier. Mais même à ce moment, cela répondait à une convention qui disait que tant de grammes d’or équivalait à telle valeur de monnaie papier.
Selon moi, quand le NESARA entrera en vigueur, il est fort probable que nous vivrons un bouleversement en rapport avec tout ce qui concerne l’argent. En fait, selon moi, nous nous dirigeons à grands pas vers des changements majeurs dans tout ce qui concerne notre relation à l’argent et d’ici quelque temps, j’anticipe que l’argent pourrait même disparaître complètement.
Pour comprendre cette affirmation, j’aimerais présenter mon point de vue sur la nature véritable de l’argent et sa fonction en relation avec notre nature véritable.
Dans ma communication précédente, j’ai fait mention que mes parents n’avaient été à l’origine que de la première cellule qui a donné naissance par la suite à ma forme physique. J’ai fait mention qu’une puissance de création phénoménale avait ensuite pris charge de cette première et microscopique cellule et avait amené cette cellule à se diviser, à se différencier au besoin pour donner naissance aux différents organes et à tout ce qui est nécessaire au fonctionnement harmonieux de ce véhicule physique. J’ai fait référence à Dieu comme étant cette puissance à l’oeuvre lors de ce processus de création. Aujourd’hui, pour les fins de mon explication j’aimerais nommé cette puissance, le Créateur.
J’ai aussi fait mention que le même phénomène se produisait pour tous les organismes se multipliant par reproduction sexuée, les animaux entre autres. Quant les animaux s’accouplent , une première et microscopique cellule prend forme suite à leur union. Ensuite c’est la puissance de création que je nomme le Créateur qui prend charge de cette cellule pour en faire le produit fini correspondant à chaque espèce.
Donc, par la nature même de ce qui donne naissance soit à un être humain soit à un autre organisme vivant, il devient clair que le Créateur/Dieu fait partie de cet organisme, qu’il soit humain ou non. Ce qui différence tous les autres organismes, animaux ou autres de l’être humain, c’est que ces autres organismes (animaux ou autres) agissent en réponse à l’instinct alors que l’être humain est doté d’un esprit créateur qu’il peut mettre à l’oeuvre à son gré.
Ainsi l’être humain peut intervenir dans l’ensemble de la Création et par son action il peut soit améliorer, soit détériorer cette Création. De ce fait, il devient clair que l’être humain est le prolongement du Créateur. Alors nous sommes ici sur cette terre dans cette forme physique pour mettre notre pouvoir créateur à l’oeuvre, et pour être le prolongement du Créateur en participant à sa Création.
Je ne connais pas, historiquement parlant, la façon dont l’argent est apparu sur terre. J’imagine que, quand les humains étaient peu nombreux, ils pouvaient au besoin faire des échanges entre eux lorsqu’ils mettaient leur pouvoir créateur à l’oeuvre. J’imagine aussi qu’initialement, ils ne devaient possiblement même pas ressentir ce besoin d’un échange. Mais à partir du moment où ils se sont mis à faire du troc, il a dû apparaître à un certain moment que cette façon de faire était peu pratique et encombrante. C’est à ce moment qu’on a dû penser à une autre façon de faire et que graduellement, on en est arrivé au papier monnaie, puis à la monnaie purement virtuelle comme c’est le cas aujourd’hui.
Car aujourd’hui, la monnaie fiduciaire représente une infime partie de la monnaie en circulation. La majorité de la monnaie en circulation est créée à partir de rien. En fait elle est créée à partir de dettes. Quand nous contractons un emprunt dans une institution financière, il faut savoir que l’institution en question n’a pas en main l’argent qu’elle nous prête. Cet argent est créé instantanément à partir de rien dès l’instant où nous apposons notre signature au bas du contrat.
Donc le fait de bien comprendre cela met en relief quelques aberrations du système financier actuel:
1. l’institution financière ne prend aucun risque quand elle s’engage envers l’emprunteur étant donné que cet argent est crée à partir de rien.
2. l’emprunteur prend tous les risques, étant donné qu’il doit rembourser le dit emprunt en travaillant à la sueur de son front pour y parvenir et étant donné que le prêteur prend en garantie les biens de l’emprunteur. Donc, à défaut de paiement de l’emprunteur , l’institution financière prend possession des biens qui ont été donnés en garantie
3. cette façon de faire ne crée pas les intérêts. Comme la majorité de l’argent en circulation actuellement est créé par la dette, à partir de rien, faut-il le rappeler, cela fait en sorte que tôt ou tard il va y avoir un manque d’argent en circulation et que des individus ou des entreprises vont se retrouver en situation de faillite et/ou ils vont être dépossédés de leurs biens. Cela relève d’une mathématique simple qu’un enfant du niveau primaire est en mesure de comprendre. Si j’ai quatre pommes entre les mains et qu’on m’en réclame cinq, j’ai bien l’impression qu’il va m’en manquer une.
À partir de là, il devient facile de comprendre qu’il s’agit d’une arnaque à laquelle nous consentons quand nous apposons nos signatures au bas des contrats. Mais, est-ce que nous y consentons vraiment librement? Sommes-nous bien informés de tous les tenants et aboutissants du contrat au moment où nous apposons nos signatures sur ceux-ci?
Le NESARA est directement issu de la réponse à ces deux questions. Vers la fin des années 70 et au début des années quatre vingt, de nombreux fermiers du Midwest américain se sont retrouvés en sérieuses difficultés financières. Cela a donné l’idée à Willie Nelson et à John Mellencamp de créer, en 1984, un concert qui se répète annuellement depuis ce temps afin de venir en aide à ces agriculteurs: le FARM AID. Vous trouverez des infos à ce sujet en allant sur le lien suivant: https://fr.wikipedia.org/wiki/ Farm_Aid
Donc ces fermiers en difficulté financière ou qui ont été carrément dépossédés ont intenté une poursuite contre la Réserve Fédérale américaine et contre le gouvernement américain en alléguant qu’ils s’étaient faits arnaqués. Et au début des années 1990, ils ont eu gain de cause en Cour suprême. Cela signifie donc qu’ils ont démontré que le système dans lequel nous vivons est une arnaque.
La première conséquence directe de cette décision, c’est que cela a obligé le système à se réformer. C’est cela qui a donné naissance au NESARA et ce n’est pas pour rien que la première clause du NESARA prévoit l’abolition de toutes les dettes des individus ou des entreprises envers les institutions financières. Remarquez que cela ne s’applique pas pour les dettes entre particuliers.
La deuxième conséquence, c’est qu’une décision rendue en Cour Suprême d’un pays crée une jurisprudence applicable dans tous les pays où on retrouve le même genre de difficultés, l’arnaque en question dans le cas présent. Comme ce système est à l’oeuvre dans la grande majorité des pays de la planète, la réforme en question peut et doit aussi s’appliquer dans ces autres pays. C’est ce qui a donné naissance à la version mondiale du NESARA qu’on a appelé le GESARA.
Quand on prend le temps de s’instruire, on comprend que cette clause du NESARA ne relève absolument pas d’une forme de pensée magique. C’est l’aboutissement logique d’une succession de faits démontrables. On peut comprendre aussi que ceux qui avaient la main mise sur ce système et par conséquent sur nos vies, résistent fermement à lâcher le morceau et à se conformer aux différentes clauses du NESARA.
Comme on peut le constater, cette démarche ne date pas d’aujourd’hui et cela a donné naissance, en cours de route, à un événement majeur, soit le fameux événement du 11 septembre 2001. C’est exactement cette journée-là, à 10h du matin que le NESARA devait être annoncé, à partir des fameuses tours qui se sont effondrées. Facile alors de comprendre que la version officielle ne tient pas la route. Cela a donné suite à toute une série de rebondissements depuis ce temps. On a lancé une guerre tous azimuts aux terroristes. Mais qui sont réellement les terroristes dans ce monde d’illusion? Je vais m’abstenir de répondre à cette question, mais l’expérience personnelle que j’ai moi-même vécue avec les instances gouvernementales, de même que l’observation de l’évolution de la situation dans notre monde, me donne plein de réponses à ce sujet.
L’autre aspect qui ressort de la compréhension de cette façon de créer l’argent, c’est qu’elle s’applique aussi et en particulier à nos instances gouvernementales. Autrefois, les gouvernements avaient le pouvoir souverain de créer toute la monnaie dont ils avaient besoin pour les activités économiques prenant place sur le territoire dont ils avaient la gouvernance. À partir du moment où ils ont cédé ce pouvoir à des institutions privées, les gouvernements ont perdu la capacité de gouverner réellement. Dans le monde dans lequel nous vivons, celui qui a le pouvoir de création monétaire détient le pouvoir sur tous les territoires qui dépendent des emprunts pour assurer le fonctionnement de l’état, ce qui est le cas de la majorité des pays de la planète.
Il en est ainsi depuis la création de la Réserve Fédérale en 1913. Et la Réserve Fédérale a assujetti son emprise sur notre monde par l’intermédiaire du FMI et de la Banque Mondiale. Il y a bien quelques pays qui ont essayé de se soustraire à leur emprise. Curieusement, ce sont les mêmes pays où on nous laisse croire qu’ils sont dirigés par des dictateurs. Cela permet ensuite de faire la guerre à ces pays pour déloger les dits « dictateurs » et ensuite reprendre le contrôle des économies de ces pays.
Source: http://latableronde.over-blog.com/