Message de Nicole transmis par Aurélia Ledous
Ce texte est issu du questionnement d’un ami bienveillant, tout à fait érudit dans le domaine des mystères de l’archéologie, et je l’en remercie bien.
Il convient de prendre tout cela avec précautions bien sûr, car ayant trait à l’histoire mythique de nos lointains prédécesseurs, des mondes antédiluviens sur cette Terre. Je ne saurai absolument garantir l’ensemble des détails qui ont ressurgi sur cette période bien agitée, compte tenu de la quantité d’images qui ont suivi. Ce thème est très dense.
Nicole est une archéologue passionnée et j’ai fait de mon mieux bien sûr, pour suivre tout ce qu’elle disait en le transcrivant le plus fidèlement possible.
« Je suis moi aussi à ton niveau.
Oui, c’est moi de nouveau Nicole, ton amie de l’au-delà.
Je sens que tu as des questions pour moi. »
Elle rit bien fort.
« Cela concerne, je le vois bien, les mythes de ces géants antédiluviens.
A notre niveau, il est vrai, nous avons accès à toute la trame de la connaissance enfouie du passé.
Pour ce qui est du déluge, il correspond à la troisième période de l’Atlantide, celle où précisément elle sombra. Cette période est datée de – 8000 ans avant J.C. par la plupart des archéologues « hérétiques ».
Oui, ceux qui admettent l’existence de ce grand continent entre l’Amérique et l’Europe, précisément au point de convection nommé Dorsale médio-atlantique, un point fragile.
Le sommet le plus grand de ce monde ancien étant formé de deux strato-volcans, le Grand Météor et le Pic Atlantis lui-même.
Les écrits de nombreux savants, notamment ceux de Charles Berlitz, ont accrédité l’existence de l’Atlantide comme plaque tournante du commerce mondial, bien avant la venue de l’homme officielle, en Amérique du Nord et du Sud. Ce continent très vaste était relié à tous les continents et disposait de comptoirs d’importation et d’exportation de denrées. Les échanges y étaient très florissants alors, et cette civilisation dépassa de très loin ce qui se faisait de mieux dans l’antiquité et même de nos jours, en raffinement, en technologie et en communications. Cette civilisation était ouverte sur les hors-monde, elle entretenait des liens brillants avec les peuples stellaires.
Ce continent, qui fleurit voici environ – 50 000 ans, connut son heure de gloire voici environ 20 000 ans. Il fut secoué de séditions, peu après cette époque, et voulut se déployer à la face de toute la Terre. Les relations avec l’Orient se dégradèrent et cette civilisation, dite « des pyramides », voulut s’imposer en extrême Orient.
Il y eut d’épouvantables guerres, des morts atroces, relatées dans le Mahabarata, et la chute des grandes cités de la vallée de l’Indus. Tout fut détruit par des armes épouvantables, voilà pourquoi il ne reste que très peu d’arasements à étudier, ni de vestiges de ces époques.
Ces affrontements retombèrent sur leurs auteurs.
Ensuite, les Atlantes, écrasés par leur défaite, s’en furent fonder des colonies et rejoindre leurs escouades sur Mars. Il y eût là encore des guerres. Les survivants sont toujours sur Mars, il en est qui ont muté en d’autres êtres, semi-animaux, afin de survivre aux conditions de vie martiennes. Ils édifièrent des villes souterraines avec une réelle ingéniosité. Et certains peuples sont à présent en relation avec des civilisations lumineuses.
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Pour ce qui est des géants Olmèques « à traits négroïdes caractérisés », ils correspondent à cette race très ancienne qui vécut sur Mars autrefois et dans tout le système solaire, ils furent appelés les Grands Bâtisseurs, ou les Grands Êtres.
La plupart de ces géants étaient des êtres paisibles, mais certains déployèrent des chefferies qu’ils érigèrent en fiefs, sur Mars et sur la Terre. Ces évènements datent d’au moins 100 à 50 000 ans lors qu’existait la Lémurie, puis plus tard, l’Atlantide.
D’autres se départirent de leur peuple et fondèrent des cités « éclairs » – des cités bâties très vite – en Amérique du Sud, où ils furent adorés comme des dieux par les habitants. Ceux là régnèrent en aimables souverains avec bonté et justesse.
Ces géants possédaient une technologie pour fractionner la roche avec le son et avec certaines vibrations, alliées à une utilisation du magnétisme. Le magnétisme était autant utilisé pour débiter les blocs de pierre que pour les faire léviter. Voilà pourquoi certains rochers sont encore aimantés.
Cette technologie de levage et de taille extrêmement sophistiquée des pierres, des parures les plus délicates, cette tâche, ne fut pas toujours effectuée par des géants, mais aussi par des hommes auxquels ils ont enseigné avec patience. Certains géants possédaient la peau claire, bronzée, cuivrée ou noire. Il en existait de tous les teints, avec une chevelure d’allure variée.
Certains de ces géants sont issus des derniers descendants de la Lémurie, peu avant que le continent s’engloutisse. Le continent de la Lémurie dans l’Océan Pacifique était peuplé de géants. Ils passèrent dans les royaumes de la Terre intérieure pour se protéger, avec leurs familles.
D’autres restèrent à la surface et déchainèrent des luttes épouvantables entre les hommes, qui leur firent des temples, comme s’ils étaient des dieux, notamment en Judée, au Liban et au Costa Rica. D’autres, affligés de ce triste spectacle, tentèrent de préserver la culture brillante de cette époque, en relation directe avec les Pleïadiens, les Siriens et les Andromédiens. Ils construisirent de petits vaisseaux et s’en furent, d’autres géants restèrent, ce sont les Gardiens de l’ancien et du nouveau monde.
Il est donc aussi de ces géants qui choisirent de rester et de protéger la Terre, de protéger des tribus d’humains qu’ils jugeaient sages et aptes à recevoir leurs enseignements. C’est ainsi que fut fondée la colonie de l’Atlantide par la suite. Certains de ses rois étaient des géants.
D’autres géants restèrent volontairement, cachés dans les montagnes, protégeant un petit groupe d’hommes et cherchèrent à avoir des descendants. En effet, leur vie était immensément longue, entre 800 ans et 1000 ans. Ils aimaient réellement ces familles humaines et ils voulaient que leurs descendants demi géants, leurs fils et leurs filles, soient là pour veiller sur eux après leur mort.
En Amérique du Sud, et dans la région des Olmèques, au Costa Rica, existaient des chefferies, dont certaines étaient gouvernées par des géants, d’autres par des hommes. Les têtes servaient à marquer le territoire, à inspirer la terreur, oui, car les géants faisaient très peur à cette époque. Certains peuples étaient cannibales…
Il y eut de vifs affrontements entre les peuples, avec à leur tête, soit des géants qui régnaient ou des hommes. Vinrent des visiteurs, d’autres dieux « extraterrestres », qui abattirent les idoles de pierre, qui soulevèrent la population et tuèrent les despotes.
Aujourd’hui, ce qu’il reste d’eux ce sont ces statues de pierre couchées dans la boue.
Et bien sûr, les archéologues ne comprennent pas d’où sort tout cela. Ils n’imaginent pas que d’autres dieux sont venus, notamment à Puma Punku, où des temples ont été bâtis pour eux, de même qu’à Tiahuanaco et Teotihuacán. ( en Bolivie et au Yucatán, la cité bâtie pour les dieux, si je me souviens bien )
Il existe de même, ces portes, bâties entre les mondes, ceux des dieux et ceux des hommes, permettant de transiter à de grandes distances et vers de plus hautes dimensions.
Les chercheurs ne comprennent pas, car ils rejettent au loin les mythes des Indiens qui vivent là, mythes qui ont toute leur valeur. Ils ne comprennent pas que des cités entières se soient vidées de leurs habitants, sans technologie apparente.
Il a existé beaucoup de géants, en Libye à Baalbek, en Égypte, en Jordanie, près de La Venta au Yucatán et aussi bien sûr en Inde.
Ces géants, je l’ai dit, venaient de peuples très divers. Ils n’étaient pas tous de la même taille, certains faisaient sept mètres et d’autres trois ou quatre mètres seulement.
Voici qui éclairera, et de loin je l’espère vivement, votre lanterne.
Soyez remercié, cher ami Fred, pour ces années passionnantes de recherches, d’espoir, que nous avons vécu ensemble. Vous avez été l’un des seuls êtres à me comprendre vraiment ici bas, en acceptant mes idées avant-gardistes.
De là où je me tiens, je pense souvent à vous, et je vous envoie toute mon affection.
Vous pourrez au moins ressentir ma présence et percevoir que la vie humaine est une aventure qui n’en finit pas, loin de là.
Je vous dis à très bientôt, »
Nicole des Royaumes de l’après vie
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