Il ne sert à rien d’attendre la « Réalité ».

Tu l’as déjà atteinte !

Comment être heureux …. Sans l’être déjà !

Quand j’entends les gens respirer ou exprimer l’amour, tous les yeux brillent tel un sapin de Noël.
Comment atteindre cette « illumination » sans être obligé de défaire et ranger à chaque fois la guirlande électrique quand la Fête a cessé ?

Je vais te le dire !

Déjà en prenant une grande respiration car l’Etre a besoin d’air comme carburant car lorsque la Peur est installée, le souffle manque !

Qu’attends-tu pour souffler les bougies de ce merveilleux anniversaire qu’est ta Mort ?

Tu dois comprendre qu’à chaque fois que tu enterres un souvenir, tu enterres une partie de toi.
Alors pourquoi ne pas jouer les « veuves joyeuses » enterrer tous les souvenirs et attendre la délivrance, la jouissance dont ton véritable être a besoin ?

Quand tu fermes une glace (une fenêtre), tu laisses à l’extérieur ce qui ne te convient pas (du froid, du vent ou toute autre saloperie qui te dérange), mais si justement tu laissais entrer en toi tout ce dont tu ne veux pas.

Pas de demi-mesure, non le verre plein (entier)… voilà ! nous y sommes !

Cela te dérange-t-il de boire « jusqu’à la lie » ce que tu ignores puisque tu l’ignores.

Comment peux-tu te décréter libre si tu choisis plutôt cela que cela ?

Tourne la tête dans les tous les sens, explore les champs inconnus, libère-toi de tes masques et va à l’essentiel.

Qu’aperçois-tu ?
Toi ou l’infinie possibilité de l’Etre ?
Il n’y a pas de contenu ou de contenant, juste un espace magnifique dont tu te surprends à découvrir, qu’en fait, il n’est rien…
Pourquoi ?

Car le Tout est dans le Rien et Rien nait dans le Tout.

Mais alors, que faut-il penser de tout ça ? … Rien et tout.

Apprends seulement à le reconnaître, c’EST !
Un point, c’est tout !

Fais toi l’économie de ne rien penser ou plutôt « « comme c’est agréable, je n’ai rien à faire. J’éprouve juste une chose, POURVU que ça dure ? »

Même ça, retire-le de ta tête car Penser équivaut à Mourir. Chaque pensée est énergie et elle te conduit directement à une impasse.

Il y a toujours quelque chose d’impossible à concevoir car si tu « conçois », tu crées une énergie.

Pourquoi la concevrais-tu, puisque la seule Energie qui existe est celle que TU ES !

Prends l’exemple de l’azote liquide, elle EST mais lorsque tu l’appliques sur une plaie, elle peut servir de guérisseur.
Maintiens ton état LIQUIDE ainsi. Tu es liquide, ce qui t’as solidifié est seulement ce que nous appellerons « RAISONNEMENT ».
Quand tu auras compris que l’ELEMENT LIQUIDE est le Père fondateur du Tout, tu pourras travailler sur la désolidarisation des combustibles, des principes actifs qui gouvernent le Monde.

Aimerais-tu faire cela ?

Ne pense pas, n’agis pas…. SOIS … ES… ta contribution à l’Univers. Es… pourquoi n’as-tu pas su cela avant ?

Ne pense pas, Sois, Es !

La plupart des gens émettent des réponses lorsqu’ils posent une question, leur soif d’apprendre, de tisser des liens, de rencontrer le Grand Amour, d’avoir tout à disposition etc… Ils se ferment car ils quantifient l’Energie Directrice dans le POUVOIR DE LA SUGGESTION.

Note bien, la plupart des mots d’une phrase reste toujours en suspens par le fatidique et éternel « Mais ».

Au lieu de laisser-faire, ils introduisent aussitôt une déflagration qui court-circuite leur demande. Elle se transforme en exigence car le « Mais » suppose le « Pour » (pour que cela soit vrai, pour que cela soit juste, pour… pour !!!!!!!!).

Le « Pour » introduit la notion de séparation.

Alors si on défaisait les compteurs, si on détruisait la notion unique du « JE », si on rendait possible « l’impossible » (dans ma façon d’aimer, de recevoir du plaisir, de jolies choses ou tout simplement plus que ce que je n’ai jamais reçu ?).

Sois fidèle à toi-même et tous tes partenaires le seront !

Ecoute-toi !

Regarde le petit singe qui dès qu’il est « agité » agit en toi pour imposer une mécanique qui reproduit sans cesse les mêmes choses.

Tu peux l’aimer ce petit singe mais tu peux aussi lui demander gentiment de quitter la « place »… LA PLACE !  DEHORS ! tu n’en as plus besoin.

Imagine les trésors d’énergie que tes parents ont dû déployer pour calmer tes angoisses lorsque tu étais petit et que tu t’ennuyais dans ton  « berceau de chair » ?
Mais (le fameux MAIS, Pour, Pourquoi ?) … parce qu’ils voulaient être tranquilles, oubliés la grosse charge de responsabilité que tu étais !

Eh oui ! Déjà ! Toi qui ne demandais qu’à « vivre » pas pour eux mais pour toi-même.

Alors ? quand tu vois le nombre de « liquides » qu’un bébé « transmet » à travers son petit corps ! Et vous, bons parents, qui ne cherchez qu’à solidifier ceux-ci afin de réduire son expansion !

Tiens, je n’y avais jamais pensé, eh oui ! Encore une manière de réduire et de colmater de l’énergie (dite disparate). Avez-vous réellement compris qu’à chaque fois dans votre existence, vous avez réduit plutôt qu’augmenter et créer une « déflagration » pour trouver l’énergie de départ et l’énergie de vie pour soutenir votre « réalité d’ETRE ».

Ces exemples peuvent être amusants ou paraître insensés, n’en est-il pas de même pour la nourriture ?

Qu’avez-vous absorbé que votre corps a rigidifié ? des pensées toutes faites sur le bon ou le mauvais cholestérol, sur l’incidence pondérale et bien des choses encore, afin de créer une limitation de votre champ d’énergie jusqu’à en faire une certitude.

Ce que j’absorbe, je suis ! Non, le corps n’est pas cela, cette chose misérable qui empêche de vivre ou d’aimer.

Qu’avez-vous encore réduit qui finalement vous empoisonne ? l’amour sous une forme et celle-ci n’est-elle pas parfaite ? non, cela ne l’est pas car ce que vous percevez pour vrai n’est REEL.

Allez-vous continuer le chemin de perdition ou consentez-vous à distribuer votre énergie de telle manière que plus rien ne vous soit accessible ?

Vous êtes de gros dormeurs ! Vous aimez vos chambres, vos lits, que sais-je, vos bouquins, vos bandes dessinées…

Est-ce à vous de décider de ce que vous voulez lire ou interpréter ? Ou bien, cela appartient-il à une certaine forme de pouvoir qui vous échappe ?

Assez, Assez !

Jetez-moi ces ouvrages innombrables qui prétendent diriger votre vie. Filez vous acheter des boules QUIES pour ne plus entendre le chant des sirènes.

Dormez les yeux ouverts, les fenêtres ouvertes,

Le Monde vous appelle ! ALLEZ VOUS LE SUIVRE ?

(…)

 

Fin du Message des Guides, dans la Toute Puissance du Verbe.
Reçu et retranscrit par Ashana

Source: www.lesloisducoeur.com