Par Yvan Poirier

Salutations chers Frères et Sœurs de la Lumière UNE,

Sur plusieurs réseaux de communications en matière de spiritualité, on nous parle de la soi-disant : « Nuit Noire de l’Âme ». Cette orientation, plutôt paradoxale, issue de l’invisible chez les êtres humains, nous semble parfois ambiguë et évasive selon ce dont certains nous dévoilent. On tente d’expliquer cette finalité en essayant d’en comprendre les tenants et aboutissants provenant de différentes sources d’information qui se chevauchent ou même se contredisent. Je pense que plusieurs expliquent ces mécanismes de manière beaucoup plus ésotériques et des manifestations extérieures, plutôt d’en comprendre, directement et indirectement, d’un dévoilement de notre propre intérieur.

Dans ce contexte, j’ai pensé vous donner mon point de vue, sans enlever quoi que ce soit des autres interprétations face à cette conjoncture, plus ou moins, difficile à évaluer ou même à jauger à l’égard de la toile de fond de la vie des êtres humains et de leur conscience. Donc, c’est avez plaisir que je vous offre une vision multidimensionnelle de cet état vibratoire tout à fait distinct, mais qui va, probablement, vous permettre de saisir d’autres aspects qui n’ont pas encore été divulgués ou expliqués sur d’autres niveaux, autant du côté humain sur la surface de ce monde enfermé que sur les plans vibratoires et multidimensionnels.

L’Éminence et l’Évidence de cette progression multidimensionnelle est inévitable

Tout d’abord, en ces moments de Grâce et de Pardon qui se veulent libérateurs, cette histoire de la « Nuit Noire de l’Âme » est, totalement, fondée et avérée pour quiconque avec son Âme. Après avoir lu cet article, il est possible que votre position face à cette situation pourrait changer de point de vue afin d’admettre, d’emblée, que nous la vivons tous/toutes, et ce, sans équivoque possible. Cette soi-disant nuit n’est certes pas du folklore exotérique ou ésotérique ou philosophique au sein de notre monde et de nous-mêmes. Elle fait, intrinsèquement, partie du processus multidimensionnel de Résurrection qui se dévoile enfin en nous.

Qui plus est, nous devons, essentiellement, traverser cette période avec discernent, Abandon et Amour du Coeur sans en contester ou en revendiquer dans ce qu’elle est et fera au sein de notre vie de tous les jours. Je dois mentionner que le processus est identique pour quiconque, mais chacun la vit selon son taux vibratoire, sa propre ligne de temps autant dans l’accueil que dans l’acception qui demeurent des Clés dans un lâcher prise sans conditions.

D’autre part, dans cette perspective au niveau de la Résurrection, il est important d’aborder le sens profond de l’Âme, afin d’en expliquer ses aspects multidimensionnels, dans l’objectif de regarder quelle est sa raison d’être, son rôle, ses fonctions, intimement liées à la conscience. J’ai pensé vous dresser les grandes lignes de ses manifestations, mais aussi d’éclaircir quelles sont ses prérogatives et ses attributs au sein de notre monde de matière et dans nos consciences.

Signes intrinsèques dans l’Âme

Ceci étant dit, voici donc un bref aperçu de la manifestation de l’Âme au sein de ce monde collectif ainsi qu’en nous sur un plan individuel. L’Âme est une mémoire corporative autant individuelle que collective qui est influençable, altérable et impulsive par nos comportements, nos habitudes, nos pensées, nos façons de réagir ou d’agir devant une situation ou une personne, quelle qu’elle soit. La personne qui vibre par l’Âme, c’en est une qui vibre en fonction du connu, de l’expérience et des fluctuations des égrégores en place, ainsi que des lignes de temps auxquelles elle est associée.

Je vous signale que l’Âme est presque identique en apparence à une mosaïque infra-structurelle d’un Mandela. Comme vous le savez sans doute, quand nous dessinons ou colorons un Mandela, jamais les couleurs seront les mêmes et jamais ses formes géométriques vont vibrer de la même façon pendant l’exercice et après coup. Ainsi, lorsque nous nous appliquons à dessiner ou à colorer un Mandela, nous exprimons à travers nos dessins et colorations, nos États d’Âme dans ce qu’elle vit au moment où nous exerçons cette application.

Néanmoins et au préalable, il faut dire que l’Âme est immortelle, dans le sens où elle nous permet de nous réincarner au sein d’un monde de densité. Toutefois, elle est surtout diamétralement opposée aux vibrations et à la fréquence de l’Esprit ,qui n’a pas de formes dans sa mosaïque infra-structurelle, comme celles de l’Âme. L’Esprit est, fondamentalement, géodésique dans sa géométrie quantique. Il est un Feu Ardent du Soleil, du Cœur Vibral ainsi que de la Source Centrale qui sont Éternels.

Il faut mentionner, également, que l’Âme est notre propre création afin de nous aider à parcourir un cheminement de vie normal ou spirituel dans l’incarnation ainsi que dans l’expérience individuelle qu’elle soit émotionnelle, mentale et physique, et ce, dans un corps carboné. Elle est immortelle pendant les cycles incarnationnels, mais non éternelle dans le sens multidimensionnel. L’Âme est une autre procréation et cocréation de l’Esprit. D’ailleurs, pour la très grande majorité des Âmes qui vivent sur Terre, elles proviennent, initialement, soit de Sirius A, B ou C. Tout dépend de l’expérience dans la densité qu’elles doivent expérimenter au sein d’un monde, d’un plan ou d’une dimension.

L’Âme est Amour bien entendu! Elle est, initialement, attraction dans la densité ou dans la matière. Son regard est, avant toute chose, tournée vers la densité, l’expérience dans la matérialité. Elle est donc l’Anima ou l’animatrice de la vie dans la densité durant les expériences quelles qu’elles soient. Elle permet d’animer le corps, ses cellules, les chakras, les corps subtils, voire toutes les contreparties de la conscience éphémère ou unifiée qui y sont inscrites dans leur multidimensionnalité. Elle est une contrepartie chimique dans le corps, tout en étant alchimique dans son Essence qui suit le chemin de la conscience de la personne/ego qui la porte au sein de son corps, surtout suite à l’enfermement.

À la base, lors de notre première Incarnation originelle de Sirius, elle n’était pas sous la tutelle ou l’asservissement des forces Archontiques, mais bien Libre d’errer et d’expérimenter dans la matière de ce monde qui n’était pas enfermé à l’époque. Depuis déjà plus de 320 000 ans, l’Âme a été piégée et magnétisée par la matrice astrale ainsi que par la loi d’action/réaction qui l’ont emmené à vivre dans des dualités à en plus finir. C’est pour ça, en outre, que nous sommes à vivre cette : « Nuit Noire de l’Âme » afin de nous sortir de cet enferment à tous les niveaux de notre existence.

Donc, elle garde en son centre la personne/ego qui conscientise une vie axée sur l’expérienciel au sein de la densité. Elle peut encore autant se manifester dans les dualités ,qu’elles soient dans l’ombre ou la Lumière. Elle s’identifie, encore, à la personne/ego en suivant tous ses PAS, ses choix illusoires et ses gestes, peu importe les désignations et les décisions, soit de servir la Lumière ou l’Ombre. Elle est inconditionnelle quoiqu’elle est collective, en suivant le chemin qu’on lui trace, parce qu’elle est autant enfermée que la personne/ego.

L’Âme suit les lois, les règles, les conditionnements et une hiérarchie quelconque lorsqu’elle est enfermée dans une densité qui lui est présentée. Sans ces oppressions issues des forces Archontiques, elle a été plutôt créée pour être Libre et non assujettie à une forme quelconque de contrôle. Elle vit autant les peines, les souffrances, les doutes que la personne/ego, bien inconsciemment, enfermée qui lui imposent ou lui font vivre. Elle est aussi vulnérable que la personne/ego dans la matérialité parce qu’elle suit son cheminement, qu’il soit conscient, inconscient ou spirituel. Je le souligne de nouveau : elle est aussi enfermée comme l’est la personne/ego.

Ainsi, l’Âme a besoin d’évoluer tout comme la personne/ego. Elle peut être pure comme impure ou corrompue à cause des expériences que la vie enfermée lui donne de vivre. Elle contient en elle toutes les expériences vécues dans la densité autant dans cette vie-ci que dans les cycles de vies antérieures durant l’enfermement. Elle maintient en vie toutes les incarnations, parce qu’elle en est le porte-étendard.

L’Âme était à l’origine d’une soi-disant mission ou vocation à exécuter et à expérimenter au sein d’un monde, mais dans une expérience, supposément libre, de tous jougs. Elle permet de vivre dans la densité tout ce qui est d’un ordre expérimental et émotionnel plutôt corruptibles que magnifiés. Elle porte une fréquence par un nom vibratoire et un nombre sacré qui lui ont été attribués et donnés lors de sa création. Elle est l’identité de la vie humaine qui permet de vivre le destin chez chaque être humain. Elle n’est pas comme telle, l’Impersonnalité, parce que celle-ci n’a pas d’attributs du genre. Elle est donc la mémoire corporative qui est inépuisable dans un monde de densité.

L’Âme permet ainsi l’incarnation autant dans un monde dissocié que dans un monde unifié. Elle peut se manifester dans différentes dimensions, telle la 3ème Dimension Unifiée afin de vivre l’incarnation, consciemment, comme et quand elle le veut, mais, sans être enfermée dans une matrice astralisée. Je profite de cette occasion pour vous signaler que je vais aborder les mécanismes incarnationnels manifestés dans la 3ème Dimension Unifiée lors du prochain séminaire. Vous pouvez trouver le lien du séminaire à la fin de cet article.

L’Âme est littéralement neutre parce qu’elle suit le mouvement de l’expérience humaine quelle qu’elle soit. Elle vit l’expérience qu’on lui suggère ou on lui impose par sa sagesse ou par la personne/ego que cela soit dans des scènes de  bienveillance ou de malveillance. Elle possède une conscience fragmentée parce que enfermée, qui a été limitée par l’expérience dans la forme et de la personne/ego qui la vit, peu importe les plans d’existence au sein de la matrice astrale. Néanmoins, l’Âme est autant individuelle que collective dans ses Actions dimensionnelles et multidimensionnelles.

Évidemment, il existe des Familles d’Âmes qui proviennent de différents plans, mondes et dimensions. Tout se réalise à partir du moment où l’Être multidimensionnel choisit son plan d’existence et d’expériences ainsi que les lieux d’incarnations où il souhaiterait expérimenter. Vous comprendrez que dans le contexte de cet article, je ne vous parlerai pas de ces Familles d’Âmes. Il y a déjà suffisamment de livres, de sites et d’articles qui partagent cette information.

L’Âme fait partie d’un Feu, communément appelé, le Feu de l’Âme qui est relié à une autre création que celle de l’Esprit. L’Âme représente une interface d’Énergie interdimensionnelle qui permet de vivre des expériences dans des densités matérielles et éthériques sur différents plans et dimensions d’existence, soit, par exemple : en 3ième dimension dés-unifiée comme notre monde enfermé, ou encore, dans une 3ième Dimension Unifiée où elle existe sur différents plans intermédiaires où les Êtres qui y vivent sont totalement Libres de tout enfermement.

La Conjoncture évidente de la « Nuit Noire de l’Âme »

Donc, comme vous pouvez le constater l’Âme est dans une phase de transformation et de retournement imminents. Dans ce contexte, il est, important, de vous donner une vue d’ensemble de ces manifestations qui touchent, nécessairement, la vision relative à sa soi-disant « Nuit Noire de l’Âme ».

Au cours des dernières années, j’ai présenté un atelier sur « LES 12 CLÉS QUI OUVRENT LES PORTES À L’ASCENSION » afin d’expliquer les tenants et aboutissants relatifs à cette : « Nuit Noire de l’Âme ». Ainsi, il s’agit de brosser une vue d’ensemble, de plusieurs particularités et effets, de ce dont nous vivons intrinsèquement sur le plan personnel que cela soit négatif ou positif ou même multidimensionnel.

Il est, définitivement, pas toujours facile de traverser cette période de la « Nuit Noire de l’Âme » lorsque nous sommes dans des situations de peurs, de contrôle, de colère, de frustration, d’angoisse, d’anxiété, de doutes, etc. Ces mécanismes arrivent soudainement au cours de nos vies par différentes voies de l’intérieur que plusieurs pensent ou déclarent que tout cela provient de l’extérieur. D’ailleurs, c’est souvent dans des moments où en s’attend le moins que cette nuit se manifeste.

Donc, cela s’amorce par différentes phases de fatigue, d’impatience, d’intolérance pour toutes sortes de situations ou d’événements que nous avions l’habitude de vivre, et qui ne nous dérangeaient presque pas. On se retrouve, subrepticement, à ne plus avoir cette tolérance d’antan que nous avions à supporter ces situations, qui nous rendent plus intransigeants plutôt que flexibles. Les vibrations, les radiances et les énergies sont brutales, et on se demande ce qui se passe, soudainement, autant dans le corps que dans la conscience qui vivent se virage inattendu.

Justement dans le cadre de cet atelier, je partageais les mécanismes qui sous-tendent la dépression ou le burn-out. Toutefois, ce qui était d’autant plus intéressant, c’est que je surnommais ces états comme étant un « Burn-In » ou manifestation de dissolutions du désordre occulte de l’intérieur, donc, celles de la « Nuit Noire de l’Âme ».

À cet égard, on n’arrive plus à s’aimer, à se faire confiance ou même à ne plus faire confiance à presque personne. On se sent moins heureux, il semble que tout est lourd dans notre vie que cela soit personnel, familial, professionnel ou sociétal. On a l’impression de ne plus apprécier la vie, le domaine ou le travail que nous exerçons depuis des années. On se sent déconnecté, déstabilisé et démuni devant ce qui se présente en nous, comme étant un nouvel État que nous méconnaissons.

Nous avons de la difficulté à donner notre opinion autant sur des sujets banals que sur des décisions à prendre où on ne trouve pas de réponses ou de solutions convenables. On se récuse sur soi-même par la peur de mal paraître devant les siens que ce soit personnel, familial ou professionnel. Nous avons même peur de nous sentir jugé. Cela peut être lors de certains sentiments de peurs relatifs à une forme d’insécurité, peur du manque de quoi que ce soit.

Il est aussi possible que nous prenions de nouvelles tendances à consommer, exagérément, des substances comme le tabac, des médicaments, de l’alcool ou même des drogues douces ou plus fortes afin de fuir ce nouvel État que nous ne comprenons nullement. Cet État mental, émotionnel, psychologique, physique et psychique fait en sorte qu’on se sent vulnérables, incapables de trouver des solutions ou des palliatifs qui pourraient nous aider à traverser cette phase qui nous semble, à première vue, interminable. On se sent plus nerveux, anxieux, plus aux aguets qui peut même apparaître comme de la paranoïa. Pour certains, c’est avoir l’impression qu’ils vont mourir. Effectivement, c’est une mort, mais celle de la personne/ego qui se dissout afin de faire place à l’Impersonnalité qui est Éternelle.

Ces mécanismes se répercutent autant dans le corps que dans la conscience, soit par des fibrillations inusitées, des inconforts physiologiques autant au niveau de la poitrine, de la tête que du plexus solaire, en plus des états de découragement ou démoralisation ou même d’inquiétude qui se manifestent en nous. Cela apparaît spontanément à un moment donné sans nous avertir. Ces mécanismes permettent de réaliser qu’il y a, semble t’il, à l’intérieur de nous un processus d’inversement ou de basculement que nous ne pouvons contrôler ou cesser de se produire et de se généraliser au sein du corps et de la conscience.

Ainsi, il semble qu’on ne se reconnaisse plus, en vivant ces États qui vulnérabilisent notre conscience jusqu’à nous sentir médiocres et même incapables de faire ou d’accomplir ce dont nous avions l’habitude de réaliser facilement. Nous rentrons, facilement, dans des émotions subjectives qui sont, plutôt, alternatives selon l’humeur ou l’énervement qui surgit à l’improviste. Nous avons l’impression que tout nous dérange ou nous décourage. Nous n’avons plus le même sentiment d’urgence de nous en sortir comme avant. Nous avons l’impression que le courage qui était plutôt égotique ou de la personne/ego n’a plus la même amplitude ou la même fermeté et énergie.

Nous doutons sur ce que nous faisons, pensant que tout est tout croche, pas bien fait, non aligné, etc. On se met aussi à douter sur les autres ou sur n’importe quoi et sur n’importe qui, qui nous importunent, sans en connaître les raisons, les situations ou les aboutissements. Le discernement que nous avions semble prendre une débarque, nous faisant descendre, moralement et énergétiquement, parce qu’on se sent vulnérable, peu importe ce que nous pensons ou sur ce que d’autres pensent de nous.

De cette manière, nous perdons littéralement confiance en nous, en nos capacités d’actualisations parce que nous sommes plus suspicieux, plus susceptibles et de plus en plus, irritables face à notre environnement quel qu’il soit. Nous sommes plus sensibles à la critique et aux jugements. Cela nous dirige à ne plus faire confiance à quiconque. La fatigue nous envahit de plus en plus. Un besoin de dormir, de nous reposer et de rien faire qui fait partie de ces états impulsifs et contradictoires que nous n’avions pas l’habitude de vivre. Il semble que nous ayons plus d’énergie pour accomplir nos tâches ou nos responsabilités, à cause de cette fatigue qui semble chronique où nous nous sentons, continuellement, épuisés. Là s’installe un sentiment d’insouciance, de paresse, de oisiveté et de volonté où on ne se sent plus capables d’exercer nos responsabilités.

Dans ces États alternatifs, il est possible qu’on se mette à se plaindre, à critiquer, à blâmer, à râler ou à exagérer nos propos qui peuvent être méchants ou complètement insensés. On se reconnaît plus dans ces comportements et attitudes. Il peut aussi intervenir dans la conscience le fait de nous sentir coupables de se trouver dans ces situations que nous ne pouvons contrôler, et qu’il nous semble que le ciel est en train de nous tomber sur la tête. Dans plusieurs de ces cas, la pensée de se suicider peut apparaître. On a le goût de poser un acte sans retour, accident ou tout ce qu’un suicidaire peut penser faire pour s’enlever la vie. Le plan émotionnel est à son comble où il semble que nous n’avons plus rien à faire ici-bas. Nos pensées sont incohérentes et démunies de Joie, de Paix et de Sérénité. La peine, la tristesse et le désarroi prennent la place de l’attitude positive que nous avions l’habitude d’avoir.

Cette impression de régresser et d’en avoir marre nous envahissent de plus en plus. Du fait qu’on ne prenne plus notre place devant quiconque ou dans des situations qui nous incombent de vivre ou de faire suite à nos réactions ou à nos pensées, qui  se diffusent de manière inusitée, et qui nous semblent, sans intérêt. C’est le cas où nous tombons dans un État dépressif et de dépréciation où on se demande comment et pourquoi devrions-nous nous en sortir ? Ainsi donc, c’est, en grande partie, cette mécanique subtile et inopinée de la « Nuit Noire de l’Âme » que nous pouvons, essentiellement, vivre à un moment où on s’en attend aucunement.

Dans le contexte de cette « Nuit Noire de l’Âme » j’ai pensé vous offrir une vibraconférence privée sur le suicide. Peut-être que cette vibraconférence pourrait vous aider à saisir de l’intérieur que cette nuit noire peut nous isoler dans cet état, extrêmement difficile, à traverser.

« LE SUICIDE N’EST, CERTES PAS, LA SOLUTION FACE AUX PROBLÈMES PERSONNELS »

Avec tout mon Amour!

À suivre…

 

 

Source: LaPresseGalactique.org

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