par Ozalee
Bonjour à tous ????
J’espère que vous vous portez bien en cette période qui peut être vécue comme un carrefour pour plusieurs d’entre nous. Au programme: réorientation, nouvelle inspiration, mais aussi dépassement pour naître à soi-même.
Bon visionnage et à tout bientôt !
[youtube v= »Ixl7XegxYzU »]
En filigrane, la lumière surgit. Douce, subtile, encline à dévoiler les secrets que nous prenons tant de mal à garder précieusement. S’il était temps de s’en libérer? Non pas en hurlant, en tambourinant des pieds ou en s’énervant. Mais bien en accueillant l’impuissance avec tendresse, et le lâcher prise avec largesse. Tout espace intérieur est le bienvenu. Il n’y a qu’ainsi que vous laissez la place à quelque chose d’autre d’émerger de vous.
Mais pas tout de suite non plus. Ce qui sort de vous n’a pas encore de forme, comme des lumières dans le lointain sans qu’on ne distingue l’ampoule. C’est magique, magnifique, et pourtant certains peuvent encore lutter face à ce qu’ils ne connaissent pas. Comme si des racines les retenaient fermement là où ils sont, malgré leur volonté d’aller de l’avant. Parce-qu’ici il ne s’agit pas d’aller de l’avant, mais de retourner à ses fondations. Les inspecter, en déceler les fissures et décider de continuer ainsi, en réparant, ou en changeant la structure. Cela demande alors de la patience, mais la certitude – la foi – que quelque chose de nouveau est alors en marche est bel et bien présente aussi.
Pour cela, nous vous tendons un miroir afin de vous regarder: avec vos peurs, ce qui est convenable ou pas (d’après vos croyances, certaines ancrées sur plusieurs générations), ce qui est acceptable ou pas, vos doutes et vos envies. Le tout est de regarder chacune de vos facettes, chaque parcelle de votre être. L’aimer, la chérir et la libérer. Ce verbe prend alors deux sens: libérer dans le sens d’exprimer (les murmures de votre coeur), et libérer dans le sens de nettoyer (les craintes construites sur le passé ou vos croyances).
Ayez patience et foi. L’un ne va pas sans l’autre. Comprenez dans vos cellules à quel point prendre son temps n’est pas signe de faiblesse ou d’échec. Prendre son temps c’est avant tout se libérer de ce dernier. C’est comprendre que la vie ne se contient pas dans un sablier. La vie est hors du sablier.
Ce nouveau cycle vous invite à revenir en vous-même, à nourrir cette nouvelle vie en gestation non plus en la protégeant, mais bel et bien en l’aimant.
Vos capacités n’ont jamais été aussi proche d’être révélées…même si vous vivez pour certains une période que vous jugerez sombre. Rappelez-vous, le sombre n’est jamais loin de la clarté.
Auteur: Farah Sahbi – Ozalee
[do_widget id=text-102]