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par Lydia

Je continue de m’émerveiller de la magie de la vie, des synchronicités, de la simultanéité de l’ouverture de cœur et de conscience, des questions « jetées en l’air » sans attentes, qui trouvent naturellement les réponses, simplement en se laissant guider par l’élan lui-même porté par l’enthousiasme, la passion d’être en vie, ici et maintenant.

L’abondance est révélée dans cette profusion d’idées émergeant de façon logique, cohérente, sous la direction du cœur qui harmonise et donne une vue d’ensemble qui en révèle la beauté, l’intelligence, la pertinence et la reliance.

Ce message de Miriadan vient encore à point puisqu’il pose les bases d’une réflexion que seuls le désir de paix et d’unité intérieures permettent de concevoir.

C’est la description du monde des cellules, des atomes, des molécules, la chimie interne, l’univers infini de l’intérieur de notre corps qui est en perpétuel mouvement, où les cellules se divisent, se multiplient, se régénère, c’est fascinant. La synchronicité est aussi dans le fait que lorsque je me connecte à la terre, je puise la chaleur en son magma, cette énergie qui impulse le désir d’agir.

On peut aussi voir que dans cet espace matériel, éthéré, énergétique, l’instantanéité de la manifestation et les lois universelles qui sont à l’œuvre. La manifestation des pensées, l’inter reliance entre les cellules, l’harmonisation des corps dans un simple mouvement qui démarre d’une intention et se concrétise par tous les systèmes inconscients faisant appel au cerveau, aux muscles…

 

On comprend aussi l’importance de vivre dans l’harmonie, de se faire confiance tout comme à la vie et de coopérer à ce mouvement incessant intérieur en se laissant porter, guider par l’élan, l’impulsion de l’instant. Puis d’être l’observateur neutre afin de voir la portée des pensées, leurs conséquences et en même temps l’acteur qui se réjouit de l’action sans trop s’attacher au résultat.

La dualité est un système d’apprentissage, de reconnaissance, de révélation, qui place dans un mouvement évolutif lorsqu’on décide d’unifier tout ce que nous sommes.

Ça n’est pas le mental qui initie cela bien qu’il y participe activement, il part en éclaireur et pose des hypothèses inspirées, intuitives.

Les deux lobes du cerveau et le tronc cérébral œuvrent ensemble à donner du sens, de la cohérence à ce que nous percevons et la connaissance issue de la conscience peut être appréhendée et structurée de façon à pouvoir transmettre l’info ; c’est magique !

Puis lorsqu’on agit dans la matière, c’est le résultat de l’union des trois cerveaux; celui de la tête, celui du cœur et celui du ventre.

Notre vie, notre état d’être sera en fonction du cerveau que nous privilégions et le top, c’est de se positionner dans le cœur parce qu’il est la balance, l’équilibre, la justesse, l’harmonisateur parfait de tous les systèmes qui nous donnent l’existence sur cette terre.

L’amour lumière manifestés dans les différentes dimensions de nos corps physique et subtils, c’est l’union harmonieuse de ces deux principes de bases qui régissent tout.

Et comme le chaud et le froid à l’extrême peuvent détruire, faire souffrir, la position au centre offre le confort intérieur, la tiédeur, le bien-être.

Ce message de Miriadan éveille des connaissances vivantes à l’intérieur: notre corps physique témoigne de nos origines divines, à chaque instant, chaque micro-seconde, par sa constitution si complexe et magnifique, il est la création sublime de la Source, du vivant!

Cette connaissance qui est en chacun, inscrite dans la mémoire cellulaire, l’âme, la conscience Une, se révèle par l’abandon en toute confiance à la volonté de l’amour lumière essenciels.

Loin des modes d’apprentissage humain où on est face à une autorité proclamée qui se nourrit de la gloire que lui procure la reconnaissance de ses pères et surtout de ses élèves, il s’agit là d’une reconnaissance intime, intérieure, qui demande une écoute, une ouverture de cœur et d’esprit afin que l’intelligence de ce dernier divulgue ou rayonne l’information. C’est dans la capacité de rayonnance et d’harmonisation du cœur que le mental peut capter et traduire l’info.

Comme dans cette unité intérieure, tous les corps agissent de concert au service de l’amour et de la lumière, de la croissance, la compréhension intuitive peut être interprétée et traduite par le mental.

Et comme l’inconscient est aussi de la fête, il délivre ses connaissances, ses dons et talents, tout ce que la mémoire a engrangé et qui vient de l’âme.

Je suis invitée en ce moment à me questionner à propos des origines galactiques.

Pas pour palier à un manque supposé d’amour de soi en espérant par exemple découvrir une filiation royale, angélique…(puisque nous portons toutes les fréquences en latence, en potentiel) mais tout simplement par effet de résonance, une résultante de cette introspection, cette fouille archéologique interne.

Quand l’amour de soi repose sur l’acceptation de tous les aspects de l’être, la reconnaissance de l’intelligence de chaque corps, leur pertinence tout comme celle de toute énergie qui amenée au cœur, s’équilibre et s’harmonise naturellement, la vision de soi et de la vie, change totalement.

Le point de vue central qu’offre le cœur, permet de voir au-delà de la dualité, du jugement et on commence à pouvoir comprendre les choses de façon beaucoup plus objective, profonde et globale.

On n’est plus limité par le mental émotionnel soumis aux mouvements chaotiques de la dualité, balloté d’un pôle à l’autre, simplement parce qu’on ne considère plus les choses en termes de limitations.

La stabilité qu’apporte la paix intérieure, quand on accueille sans jugement tout ce qui se manifeste en soi, permet de voir clair sans être ramené dans le passé de façon brutale ou dramatique.

Ce positionnement dans le cœur réunit le passé et le présent dans le sens ou ce passé conserve les enseignements tirés de chaque leçon de vie.

Je ne rejette pas du tout la théorie de mélanges génétiques élaborés avant la création de l’humanité bien qu’il reste encore une question à savoir si c’est une projection, une image de notre constitution ou une réalité historique. Je n’entre pas en résonance avec l’idée selon laquelle des vilains reptiliens auraient forcé, manipulé les consciences qui allaient intégrer les grands singes.

Comme pour toutes choses, je me fie à mon ressenti et à une forme de logique basée sur la constitution essentielle de l’humain divin: l’amour et la lumière.

L’amour ou énergie, capacité de reliance, de fusion, de communion et la lumière, la conscience, intelligence pure.

L’amour et l’intelligence sont liés à la notion de liberté parce qu’on ne peut forcer personne à aimer, à vouloir aller vers l’autre, ni transmettre la sagesse par la théorie, la force ou la conviction.

Ces deux énergies se cultivent et se développent de l’intérieur dans la libre circulation qui permet l’expansion et par l’expérimentation, la compréhension ‘viscérale’ des lois universelles, des principes.

On « sait » quand les trois cerveaux ont intégré l’info simultanément.

Pour toutes ces raisons et sachant que la source est omnisciente, omniprésente et omnipotente, rien ne peut être fait dans la contrainte, sans l’accord de l’être qui va vivre l’expérience.

Je distingue ici les divers degrés de conscience et quand je parle de l’être, il s’agit de cette part issue de la source qui s’exprime en le soi et l’âme, selon le principe de la vie, du masculin et du féminin associés, à l’image de la source. Pour qu’il y ait Un, il faut nécessairement qu’il y ait au moins deux à la base sinon il n y’ aurait pas de vie, de mouvement.

Ce texte qui parle des dimensions résonne très fortement parce que ça correspond exactement à ma vision intuitive des choses et je remercie une fois de plus Magali de pouvoir exprimer cela de façon structurée.

Voilà une base de compréhension qui pose le cadre, le contexte et donne un sens à l’expérience ici et maintenant, tout corrobore, les pièces du puzzle trouvent leur place, tout est parfaitement harmonisé.

Je constate qu’hier, j’ai eu mal au crâne et comme c’est très rare, j’ai supposé que c’était dû à une forme d’ouverture de conscience, à l’intégration de données nouvelles et la libération d’énergies, de vieilles pensées, de croyances obsolètes.

Certainement la continuation du nettoyage au niveau des croyances relatives au père, au pouvoir, à la peur de la puissance de l’amour, à l’idée d’être manipulée par le divin, le soi, l’aspect masculin de la source. Ce qui se traduit au niveau mental par l’incapacité d’admettre que c’est le divin qui gère tout, que le libre arbitre est très relatif…

Puis au niveau concret, le blocage face au feu. J’ai fini par allumer le poêle en prenant tout de même soin d’offrir à la source intérieure, la peur de mettre le feu.

J’ai des sensations bizarre à ce sujet, c’est comme une peur qui remonte de très loin et ne trouve pas de raison d’être dans cette vie.

D’ailleurs ça n’est que depuis que je libère de pensées émotions relatives aux vieilles croyances, aux blessures d’enfance que ce problème avec le chauffage a surgi.

J’ai reçu la newsletter du site de Pamela Kribbe et d’instinct j’ai écouté un channeling que je ne peu pas insérer dans le blog mais qui m’a bien aidé à nettoyer le poêle et à l’allumer.

Ces peurs venues de nul part peuvent s’expliquer par celle de la puissance divine qui est liée aussi à la culpabilité induite très souvent par la notion de karma telle qu’elle est transmise la plupart du temps.

Plus je suis dans l’unité intérieure et plus je me dis que ces connaissances ancestrales transmises par un système patriarcale sont faussées, perverties.

Il est clair que pour changer de paradigme il est nécessaire de se délester de la notion de punition et de récompense qui ne fait que nourrir l’illusion.

On n’a pas a mérité l’amour, la vie est une expérience où on apprend à aimer dans le respect de toute vie. Et ça commence en soi puisque cet amour est à l’intérieur.

Dans la journée d’hier, j’ai eu de drôles de sensation au niveau du crâne et une douche, un shampooing agrémenté de lumière dorée, un massage du crâne, dans la détente de la chaleur de l’eau, ont absorbé la douleur. Tout au long de la journée j’ai senti des picotements, des réchauffements et comme je ne chauffais pas pour être plus à l’écoute du corps physique et de ses besoins, ça m’oblige à scanner régulièrement mon état intérieure et à me relaxer.

C’est la pluie qui m’a poussé à rallumer le poêle aujourd’hui parce que ça humidifie l’appart et bien que la température ne baisse pas, c’est difficilement supportable parce que c’est pénétrant. Par contre, quand il y a du vent dehors, quand l’air et sec, la température entre 14 et 16° est vivifiante.

Là encore, je vois que je ne peux rien prévoir, qu’il me faut agir au jour le jour, en suivant les besoins immédiats du corps, enfin de l’ensemble des corps et ça me plait finalement.

J’ai bien l’impression que tout ceci m’a préparée à diriger mon attention, en fin de soirée,  sur des lectures à propos des reptiliens, des lignées galactiques et à tomber sur des points de vue plutôt neutres.

Je connais la faculté de projection du mental, de l’ego et la majorité des infos qu’on trouve à ce sujet est tellement négative que jusqu’à maintenant, je ne voulais pas entre dans ce jeu.

Guérir les blessures que porte l’enfant intérieur permet d’aborder les choses avec légèreté, sous l’angle de la curiosité enfantine avec un cerveau vierge de toutes connaissances, de toute certitude et croyances ancrées, figées, sclérosantes.

L’intelligence du cœur et une des seules certitudes que j’aie, comme le fait d’être originaire en premier lieu, de la source père mère, de l’amour lumière.

Le reste, c’est de l’expérience qui permet de comprendre cette essence originelle et de retourner au foyer, aux origines, en ayant compris, en partie, ce que sont l’amour et la lumière.

D’où l’importance de faire la paix en soi si on veut retrouver la mémoire sans que ça plonge dans la peur et la culpabilité.

De toute façon comme tout est orchestré par la conscience divine, c’est la confiance en la source, en sa propre guidance qu’il faut nourrir et développer. Le reste vient en son temps.

Je me réjouis déjà de voir que les boules de synovie que j’aie au poignet depuis 2009 ont diminué de moitié, c’est très encourageant! Là encore, je n’ai rien demandé de particulier, cette guérison se réalise d’elle-même. Je suppose que c’est dû à la libération de la peur, de la culpabilité, de tout ce que j’ai lâché depuis cet été de façon plutôt intensive.

Enfin soutenue dans le sens où je suis de plus en plus présente à mon corps et relâche régulièrement les tensions.

J’ai écrit cela depuis ce matin puis tout au  long de la journée entre deux activités.

J’ai la pêche et la légèreté dans la façon d’agir y est pour beaucoup!

 

Si vous souhaitez partager ce texte, merci d’en respecter l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog : « Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr

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