par Lilaluz
C’est ma manière de nommer la cellule primordiale, la cellule souche lumière.
On pourrait également lui donner le nom d’étincelle primordiale, ou de « cristal ».
Si je préfère lui donner le nom de « cellule Holon » c’est pour mieux souligner le besoin d’activation de ce potentiel lumière par la connaissance et la conscience.
Le terme « Holon » vient du vocabulaire Maya et de ses calendriers, qui lorsqu’ils se combinent avec notre « présence intérieure » deviennent des outils d’activation et de connaissance cosmique.
Certains chercheurs pensent –à juste titre- que les énergies du ciel amènent chaque jour des ondes de formes qui « sonnent » sur notre planète et sur nous-mêmes.
Ces vagues d’énergies façonnent notre propre bulle aurique.
La lumière du jour et de la nuit aide notre conscience à se développer, stimule la cellule lumière primordiale ce qui entraîne notre intégration dans le tissu luminique global à condition d’y mettre un peu d’intention consciente.
Quelque part dans votre corps se trouve ce trésor. Il n’est pas placé pour tout le monde au même endroit ! Nous venons avec des objectifs différents, donc notre potentiel lumineux est placé à un endroit stratégique sur notre parcours individuel.
Le plus souvent il est placé dans le Temple du Cœur, c’est-à-dire dans l’espace du cœur où se rencontrent les artères.
Cet espace creux semble vide mais si l’on inverse notre regard (comme pour la photographie), alors cet espace est lumière habitée de ce que nous sommes véritablement : c’est le « Je Suis ».
Cette phrase « Je Suis » n’est pas une invitation à se prendre pour quelque chose de divin, ce qui serait une illusion, un moyen narcissique de s’affirmer dans une direction sans que cela soit validé par la Présence Intérieure véritable.
Le « Je Suis » est le son que produit votre âme en découvrant cette lumière primordiale, c’est le son qui sort du cœur qui se conscientise à son essence véritable et se rebaptise à sa divinité retrouvée.
Source: http://www.lilaluz.net/