POUR S’ASSURER DE FAIRE SON ASCENSION, CHACUN GAGNE À APPORTER SA CONTRIBUTION EN S’Y PRÉPARANT MENTALEMENT…
Depuis que Dieu a repris les rênes de la planète, en 1957, il a décrété l’abolition de l’ancien paradigme, qui enfermait dans la Roue de la Vie, par les rétributions karmiques, autant positives que négatives, et qui maintenait de manière inexorable dans la densité et la dualité. Vers le tournant du dernier millénaire, il a aboli l’ancienne Hiérarchie spirituelle, appelant tous les Guides invisible à se soumettre à ses nouveaux diktats et imposant aux guides incarnés de mettre un terme à leurs activités publiques, donc de fermer leurs centres, s’il en détenaient un, de cesser d’enseigner, de porter des titres, de s’entourer d’un décorum, de s’adonner à des rites et rituels particuliers, d’accepter un traitement spécial, pour se fondre dans la masse et rayonner simplement et humblement leur Lumière spirituelle dans le silence et le secret. Ainsi, plus aucun guide incarné ne peut s’identifier tel quel; offrir de direction spirituelle; exprimer de la compassion, dans la compréhension ancienne du terme; continuer à instruire en aparté ou en public, sous peine de sanction de régression. Tout cela en vue de permettre à chaque être incarné de s’assumer entièrement dans son autonomie et son indépendance, de s’affranchir de toute influence extérieure et d’évoluer à sa manière et à son propre rythme, en puisant en lui-même, ce qui lui impose d’éveiller ou d’activer ses propres facultés, s’interdisant de tenter d’évoluer par interposition de personne. Ainsi, un Ancreur ou Artisan de Lumière ne peut plus intervenir dans la vie d’autrui, et sporadiquement, que si un autre le reconnaît dans sa sagesse, l’invite implicitement à le faire, parce que, ayant toutes ses connaissances et ses ressorts personnels du moment, sans lui demander de se substituer à lui, pour partager sa Lumière, lui expliquer ce qui se passe présentement dans les coulisses de la Vie et lui apprendre la manière de se tirer de son impasse évolutive.
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Dès que Dieu a repris le Pouvoir direct du système solaire, dans les années 1980, il a décrété la Fin d’un Monde, le terme de l’Âge noir, soit la fin de l’expérience dans la troisième dimension, sur la Terre, une expérience pénible dont il n’avait plus rien à apprendre, à travers ses émissaires incarnés, déjà presque un million d’années en retard sur leur programme évolutif originel. Ce retard évolutif apparent s’explique par l’enfermement produit et maintenu par les Archontes, ces faux-dieux manipulateurs, assistés des Forces de l’Ombre et de certains extraterrestres dégénérés, très avancés dans les découvertes techniques et technologiques, mais réfractaires à la Lumière spirituelle, insensibles au destin d’autrui et très cruels entre eux, en raison de leur nature régressive et rétrograde, le résultat de leur manque de conscience spirituelle. Ainsi, le Créateur a promulgué l’amorce du processus de l’Ascension devant abolir les vieux schèmes et élever, de gré ou de force, toutes les créatures incarnées dans la Conscience de l’Unité. Toutefois, dans le respect de la liberté individuelle de chacun, il laisse les êtres libres de choisir de poursuivre leur exploration de la troisième dimension, la dimension matérielle, de s’élever dans la cinquième dimension, celle du Paradis terrestre ou du Ciel sur Terre, ou plus haut, dans la Conscience cosmique ou de retourner trouver leur Famille spirituelle d’origine dans une autre partie de la galaxie ou dans une autre galaxie. Comme la Terre, qui s’était offerte à servir le projet évolutif très particulier de l’humanité, mais avait refusé de l’endosser au point que celle-ci pourrait la détruire, comme elle avait fait dans d’autres sphères, dès qu’elle s’est sentie menacée dans son intégrité, en raison de la prédation extraterrestre et de l’exploitation humaine éhontée de ses énergies et de ses ressources, elle a lancé un appel à la Source divine de lui permettre d’amorcer immédiatement son Ascension, acceptant que les humains plus conscients, inoffensifs, la suivent dans son projet, mais requérant que les retardataires évolutifs, qui pouvaient représenter pour elle une menace, pouvant l’entraver dans sa démarche, soient prélevés de sa surface et transportés ailleurs dans un monde correspondant à leur type de recherche. Requête qui fut intégralement acceptée, ce qui lançait officiellement le processus d’Ascension de la Terre et de l’humanité.
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Pour suivre la Terre dans son Ascension, chaque être incarné, en raison de sa liberté inaliénable, doit en faire la demande formelle à son Centre divin, lui demandant d’en informer la Synarchie spirituelle et l’Absolu lui-même. Dès lors, sa requête étant automatiquement acceptée, le processus s’enclenche, l’induisant dans les expériences qui l’aideront à le nettoyer et à le purifier, soit à éliminer les obstacles, les faux attachements et les ombres résiduelles de toutes ses incarnations antérieures et à briser ses résistances personnelles, jusqu’à ce que, ayant déjoué son mental et dissous son ego, elle produise en lui la transparence requise à la Grande Traversée, à la Grande Inversion. Pour se faciliter la vie, le requérant gagnerait à se donner inconditionnellement à la Lumière, ce qui implique un détachement complet de la dynamique de la troisième dimension, ce qui l’amènera progressivement à s’élever dans la Grâce.
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Puisque la Source divine a rétabli les conditions idéales de l’Évolution conformes à son Plan cosmique originel, chacun peut demander de passer dans l’Éternité par le phénomène de l’Immortalité, en emportant son véhicule physique transformé, ce qui laisse entendre que chacun, peu importe son degré d’évolution, sa fonction, son rang, son âge, sa condition ou autre contingence, peut passer dans le Nouveau Monde sans devoir passer par la mort, dans la mesure où sa compréhension est suffisante et que son état de santé n’est pas détérioré au point que ses propres craintes, qui deviennent sa loi, ne contrarient les ajustement dans son ADN et son ARN, imposant le passage de son véhicule physique d’une base carbonée à une base siliciée, donc à une base cristalline.
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Dans les plans supérieurs de la Conscience divine, l’Ascension du système solaire, avec la Terre, est déjà consommé : il s’est produit victorieusement, écartant du même coup toute influence extérieure négative. Pour chacun, l’Ascension n’est plus un projet à mener, mais une réalité à accepter, par une prise de conscience l’amenant à dépasser les apparences, à échapper aux reflets résiduels du Monde de Maya (le Monde trompeur de l’Illusion). Déjà, plus rien n’est ce qu’il paraît être, même le chaos ambiant, qui ne révèle que l’agonie de l’ancien monde. Cependant, puisque chacun est, par ses pensées, ses paroles, ses actes et ses ressentis, le créateur de son univers, chacun doit comprendre ce qu’est et implique l’Ascension, pour éviter de se maintenir dans l’illusion de la densité et de l’éphémérité, le résultat de ses propres projections mentales et affectives erronées. Chacun doit bien saisir que l’Ascension, qui est immédiatement accessible à ceux qui sont prêts, mais qui pourrait se poursuivre sur quinze générations, soit jusque vers l’année 2360, pour les conscientes plus lentes à s’ouvrir, ne représente pas l’amélioration des conditions du monde actuel, mais le passage à une dimension supérieur, au moins la cinquième, qui n’a rien à voir avec les présentes conditions que l’humanité connaît présentement. Par la Fusion dans l’Absolu, elle implique l’abolition complète de la dynamique de l’ancienne grille terrestre et systémique, en voie de dissolution, et la connexion à la dynamique de la nouvelle grille d’énergie christique. Elle implique donc le passage d’un paradigme ancien, de nature linéaire, à un paradigme entièrement nouveau, multidimensionnel, dont les individus et la collectivité devront inventer entièrement le décor. Dans l’Ascension, qui représente un renversement dans la Réalité vraie, il ne reste rien de l‘ancien monde de la densité et de la dualité, d’où il est inutile d’entretenir avec autrui un mode de relations désuet, de recourir à sa créativité mentale pour manifester des rêves vains, stériles ou chimériques ou de conserver intérieurement des velléités qui ne correspondent à rien de ce qui existe dans les plans supérieurs.
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Jour après jour, avec la dislocation de l’astral et le télescopage d’autres plans, pour dévoiler l’Unité de la Conscience cosmique, le Voile d’Illusion s’amincit, ce qui annonce que, prochainement, plusieurs phénomènes nouveaux, inusités, pourraient se produire, ce qu’il faudrait éviter de craindre. On devrait notamment capter des signes dans le ciel, sous la force de corps célestes en rapide déplacements ou la formation d’orbes furtifs. Déjà, au lever et au coucher du soleil, on peut fréquemment voir des traits de lumière horizontaux qui préfigurent les fissures qui, dans leur fusion, se produisent entre les plans. Incidemment, c’est par le contact avec la Nature, dans ses secteurs les plus vierges, que chacun recevra les signes les plus évidents des changements qui se produisent, alors que se révèle de plus en plus la fusion du monde extérieur et du monde intérieur. Il ne devrait pas tarder que les Régents des Élémentaux y signalent leur présence, en signe d’appui indéfectible, aux âmes pures. Avec les transformations qui vont se produire d’ici la fin de novembre, tout être incarné devrait être en mesure d’accepter cette réalité que le monde est en transformation rapide, même s’ils ne devaient pas comprendre qu’il s’agit de signes avant-coureurs de la concrétisation du phénomène de l’Ascension planétaire et collective.
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En ce moment même, bien au-delà de votre conscience humaine, soit au-delà de ce que vous pouvez percevoir de vous-mêmes dans votre globalité, vous êtes subtilement préparés à la Grande Transition. C’est la raison pour laquelle vous vous réveillez très fatigués presque tous les matins, plus fatigués qu’au moment de votre coucher. Vous ressentez une envie de rester allongé pour éviter de commencer la nouvelle journée de vie, comme si vous souhaitiez demeurer à l’endroit d’où vous venez ou dans l’état dont vous sortez, mais dont vous n’avez plus souvenance. Un travail colossal se s’effectue pendant votre corps se repose et se régénère, mais ce travail se poursuit dans vos moments de veille. Sauf que, dans le jour, vous êtes trop occupés ou préoccupés pour vous en rendre compte. N’empêche que, parfois cependant, dans un profond ressenti ou dans un décalage avec la réalité, vous développez la certitude qu’il se passe quelque chose d’inhabituel et d’important. Vous ressentez que, avec le monde, vous accélérez sans cesse, d’une façon considérable votre mutation, votre transformation.
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DANS CE CONTEXTE, SI VOUS ASPIREZ SINCÈREMENT À VIVRE LA PLÉNITUDE ET LA BÉATITUDE DE L’IMMORTALITÉ ET DE L’ÉTERNITÉ, HISTOIRE DE VOUS AIDER À COMPRENDRE LES CONDITIONS INÉLUCTABLES DE LA GRANDE INITIATION QU’EST L’ASCENSION, AVEC L’ÉTAT D’ESPRIT DANS LEQUEL VOUS DEVEZ DÉSORMAIS VIVRE, VOUS GAGNERIEZ À CONNAÎTRE ET À ASSMILER LES PRINCIPES DU NOUVEAU PARADIGME QUI SUIVENT :
— Désormais, maintenant que l’Instant éternel a été rétabli, chacun doit constamment vivre dans le moment présent, concentré sur ce qu’il fait, sans projection dans le passé ni le futur. Car, au-delà des apparences, les ponts avec le temps et l’espace ont tous été coupés et brûlés, d’où il n’y a plus moyen de retourner en arrière, d’où il n’existe plus d’hier auquel vous devriez mourir pour vous construire un nouveau demain. Par l’expérience agréable ou désagréable que le moment présent vous proposera, dans une synchronicité parfaite, vous comprendrez sur quel point de votre être la Lumière travaille, pour accroître dans votre globalité des points de clarté et de transparence ou pour en dissoudre des points d’ombre. Et vous n’aurez rien d’autre à faire que d’observer ce qui se passe, soit ce que la Lumière produit à votre intention, acquiesçant volontiers à son œuvre, afin d’être libéré, purifié, d’ouvrir votre conscience. Dans les faits, la majorité des Témoins de la Lumière achèvent leur purification intérieure, vivant les dernières séditions qui surgissent des éléments résiduels qu’ils ont balayés sous le tapis pendant trop d’incarnations pour en retarder le règlement définitif, parce que, se sentant faibles, trop émotifs ou démunis, ils redoutaient de leur faire face.
— L’abandon inconditionnel à la Lumière divine implique l’entrée dans l’Ère de Grâce et le terme de l’effort et de la lutte : nul n’a plus à agir, nul n’a plus rien à faire, nul n’a plus à se débattre, à performer, à posséder quoi que ce soit, à accumuler des biens, à améliorer son paraître, à assurer sa notoriété, à entretenir un lignage, à chercher à laisser une trace, à tenter de devenir quoi que ce soit, à jouir plus que de besoin. Nul n’a plus à chercher, à mener de quête, à pratiquer de rituel, à suivre des cours de spiritualité, à lire des textes de métaphysique, à chercher à se faire prendre en charge, à accepter un coaching, à jouer de rôle, à accomplir de mission, à exprimer de compassion. Chacun n’a plus qu’à être totalement. Pour chacun, le temps est venu de se reconnaître dans Qui il est plutôt que de s’identifier à ce qu’il croit ou veut être.
— L’abandon inconditionnel à la Lumière implique encore la dissolution des faux liens affectifs et le terme de l’intrusion dans les affaires d’autrui. Il a été dit que, pour se réaliser, un être devrait tôt ou tard abandonner père et mère, frères et sœurs, parenté et amis, toutes les relations de sa communauté, pour découvrir, sans interférence, les véritables membres de sa Famille d’âmes. Ainsi, aussitôt qu’il a atteint l’état adulte, chacun doit être entièrement retourné à sa destinée afin de pouvoir évoluer à son rythme et à sa manière, selon sa compréhension et ses moyens, sans la moindre intervention de la part d’autrui qui pourrait le déformer ou le dépersonnaliser. Nul n’a à se soucier du destin d’autrui, même des êtres les plus chers, puisque chacun a droit à ses choix, que, comme tous les autres, il n’a pas choisi de vivre à la présente époque par hasard et qu’il a reçu, à l’origine, tout ce qu’il lui fallait pour s’assumer personnellement tout au long de son parcours évolutif, d’où nul ne lui doit quoi que ce soit, d’où personne n’est responsable de ce qu’il peut avoir fait de ses talents et de ses facultés subtiles, notamment de sa créativité. À l’inverse, nul n’a plus à tenir compte de l’opinion d’autrui ou du regard des autres pour déterminer la validité de ses choix, il n’a qu’à s’en remettre au verdict de sa propre conscience intime, infaillible, et d’elle seule.
— La Clef des clefs de l’Évolution, c’est l’Amour vrai, qui n’est pas l’affection. L’Amour n’est pas un sentiment captatif et collant d’affection, mais une énergie de cohésion et de libération des influences indues. Au nom de l’Amour inconditionnel et impersonnel, chacun est appelé à se libérer complètement, car l’Absolu doit prendre en lui toute la place, s’il compte faire son Ascension. Ainsi faut-il appliquer constamment la Règle d’or, considérer autrui dans l’égalité, considérer n’importe quel autre être humain, sans préférence, sans favoritisme, sans privilège, donc sans exception ni acception, comme un autre soi-même, faisant pour lui ce qu’on aimerait qu’il soit fait pour soi, non en répondant à ses attendes illégitimes, mais en agissant selon l’éclairage de sa propre conscience par rapport à son état immédiat. Du reste, l’Amour doit englober toutes les créatures, part de l’Absolu, donc mener au respect des autres formes de vie et à la quête du bien commun, mais tout en veillant à son propre bien et en s’accordant la première place. Si chacun fait ainsi, nul ne sera exploité ni négligé.
— Vous êtes parvenus à l’heure de la Liberté totale, de la Liberté idéale. Chacun doit veiller à assumer sa pleine liberté et à exercer sa complète souveraineté. Ainsi, il doit commencer par s’affranchir de ses propres esclavages, des moyens de sabotage, ceux qui ressortent de sa sensualité, de son esprit de possession et de domination. Il doit appliquer la règle du Juste Milieu : un peu de tout, au besoin, mais sans abus, ce qui exclut de s’impliquer dans ce qui ne plaît, ne convient pas ou ne sert pas. Ensuite, il doit s’affranchir de ses liens relationnels frauduleux, surtout avec ceux qu’il appelle à tort sa «douce moitié» et ses «êtres chers», puisque personne n’est la demi-portion d’autrui ni ne doit présenter une plus grande préciosité à ses yeux. Les affinités, qui amènent souvent à développer des préférences et à s’empêcher de s’ouvrir à une différence dérangeante, mais enrichissante, peuvent engendrer la monotonie, confiner à la routine, réduire à l’ennui, induire dans la stagnation, qui est toujours suivie d’une régression spirituelle. En troisième lieu, ne considérant comme Gouvernement légitime, que l’Absolu, avec sa Synarchie divine, chacun doit secrètement se dissocier de toute organisation sociale, professionnelle, politique, religieuse, spirituelle ou autre qui tenterait d’établir sur lui de l’ascendant, par exemple en tentant de s’interposer entre lui et sa conscience spirituelle. Bien que nul n’ait à s’y opposer ouvertement, il n’empêche que toute forme de gouvernement est une imposture qui s’arroge de faux droits sur les individus et les masses. Sans pécher par séparativité, sans s’extraire de l’Unité, sans se dissocier de son devoir de fraternité et de solidarité, toute conscience bien formée peut assumer son propre destin par elle-même.
À ce propos, dans l’immédiat, il importe particulièrement de couper complètement ses liens de dépendance et de compensation karmique. Les gens qui restent attachés à ce qu’ils appellent leurs êtres chers, leurs amis, leur patrons ou subalternes et autres relations du genre, se maintiennent prisonniers de la Roue des existences. Ils développent avec ces gens des liens karmiques, sains ou malsains, qu’ils doivent sans cesse revenir expurger, en changeant de rôle. Ainsi, le dominateur doit devenir soumis ou le soumis, dominateur; le parent se fait l’enfant de son enfant, qui devient, du coup, son parent; l’employé devient le patron de celui qui était son patron, etc.… Ainsi, sur la scène du monde concret, de vie en vie, par nécessité compensatoire, ils se retrouvent toujours dans les mêmes dynamiques existentielles qui les empêchent de vivre des expériences nouvelles, de rencontrer de nouveaux êtres qui pourraient changer leur trajectoire évolutive, en plus de l’enrichir, ou les aider à s’élever dans les plans de la Conscience cosmique. La majorité des nouvelles rencontres, qui vous paraissent en un rien de temps si familières, comme si vous les aviez toujours connues, participent souvent de ces jeux de transfert de rôle. Évidemment, chacun gagne à user de son discernement, car il peut aussi s’agir de frères ou de sœurs d’âme, de membres d’une même Famille cosmique. Dans les plans supérieurs, où porte l’Ascension, il n’existe nul lien de familiarité et d’affinités particulières, il n’existe, dans l’Amour divin, que le lien de l’Unité des âmes et des Esprits dans la Conscience de l’Absolu. Ainsi, chacun doit abandonner son rêve de retrouver ses êtres chers dans l’au-delà, de sauver les autres et le monde, surtout ses dits intimes et familiers. Seul l’Amour vrai engendre un lien éternel entre les êtres.
— Œuvrant dans une nouvelle grille christique, vous ne pouvez plus jamais interpréter les faits à la manière d’autrefois, comme vous ne pouvez jamais plus recourir aux antiques procédés ou perpétuer les anciens modes de penser et d’agir, surtout le mode de la réaction, plutôt que celui de l’action responsable. Ainsi, vous auriez tort de croire que vous savez ce qu’un autre pense ou ressent, puisque lui aussi, il évolue et continue d’évoluer, s’opérant en lui, à son su ou à son insu, des changements considérables dans tous les aspects de son être. Si vous persistiez à recourir à vos anciens modes d’évaluation et de jugement, vous risqueriez de vous retrouver, dans votre compréhension, à des lieues du fait réel ou de la cible visée.
— Chacun gagne à cesser de juger des réalités, soit des événements, des situations et des expériences, en termes de bien et de mal, ce qui ramène sans cesse dans la dualité qui tend à densifier la substance de l’être et à le maintenir dans l’enfermement. Tout est tout simplement pour apprendre une leçon salutaire, positive ou négative, donc toujours constructive. Agréable ou désagréable, tout vécu sert à indiquer, directement ou à rebours, la bonne direction. Rien n’arrive jamais par hasard, comme rien n’arrive à un moment inopportun. Aussi, dans ses aléas, faut-il immédiatement tenter de tout situer dans sa juste perspective évolutive et s’en remettre à la Lumière divine, pour l’intervention appropriée, ce qui, souvent, devient simplement l’acceptation d’observer et de laisser passer.
— En principe, dans la présente Ère de Grâce, déjà amorcée, chacun devrait vivre dans la douceur, la facilité, la légèreté, l’élégance, l’insouciance, la joie sereine, la confiance dans la Vie. Si tel n’est pas le cas, on devrait vérifier où, par manque de compréhension ou de détachement, on résiste, créant un obstacle au cours naturel de la vie, sans cesse en expansion vers un plus grand bonheur. Dès qu’on accepte de savoir, la Lumière commence à se faire; mais si, en revanche, on ne veut rien entendre, la Lumière se fait quand même, mais dans la douleur et la souffrance.
— Bien qu’il faille avoir la sagesse d’aller consulter, lorsque, connaissant certains malaises, lorsque vous conservez des doutes sur votre état de santé ou que vous ressentez des craintes à son égard, il faut savoir que la majorité des phénomènes physiques et psychiques, souvent très bizarres, qui se produisent en vous, relèvent d’ajustements subtils dans l’une ou l’autre des parties ou des dimensions de votre être. Cela dépend de la durée de la manifestation : ce qui perdure mérite le recours à l’avis d’un expert. Les transformations inhérentes au processus de l’Ascension se produisent jusque dans le corps physique. Ainsi, dans les actuels changements accélérés, le corps et l’esprit ne parviennent pas toujours à suivre la cadence. Très souvent, il suffit de demander explicitement à vos guides subtils d’intervenir en réduisant les entrées d’énergie, en harmonisant vos énergies ou en les répartissant autrement, pour obtenir rapidement un grand soulagement.
— Chacun gagne à éviter de juger. D’abord, tout jugement de valeur, qui témoigne de la prétention personnelle à la vérité, campe tout en bien ou en noir, en bien ou en mal, selon des critères trop personnels pour être d’application universelle, d’où, partiaux et subjectifs, il deviennent plus ou moins faux et injustes, donc peu utiles et salutaires. Dans le jugement, un être s’érige en tribunal par rapport à la cause évolutive de l’autre. Ainsi, tout jugement exprime une impression de supériorité par rapport à l’autre qui se trouve pourtant dans sa vérité du moment, dont il peut changer peu de choses dans l’immédiat, sinon, il aurait déjà effectué les changements qui s’imposent, si tel était le cas. En outre, par son jugement, chacun se lie au sort heureux ou malheureux d’autrui, rapportant dans son univers, par le canal subtil qu’il engendre par son geste inadéquat, un dixième du destin de l’autre, l’ajoutant à ses propres difficultés évolutives. Constater n’est pas juger, bien que tout constat ne soit pas à partager, surtout s’il risque de diminuer un autre aux yeux de quelqu’un. Chacun gagne à abandonner toute idée préconçue et toute attente à l’endroit des autres, qui sont toujours à leur place, dans un schème évolutif parfait taillé sur mesure.
— Pour chacun, l’heure est à l’expression de son Être d’Amour et de Vérité, en se montant tel qu’il est, en toute intégrité, honnêteté, authenticité, quoi qu’il advienne. Chacun doit accepter de se présente nu, soit dans toute sa transparence et d’exiger autant des autres.
— Chacun doit souvent se rappeler qu’il est dans ce monde, pour compléter certaines expériences ou pour servir la Lumière à travers ses semblables en instance d’éveil, mais qu’il ne lui appartient pas. Il participe d’une Réalité transcendante qui s’exprime partout sans se laisser enfermer ou accaparer. Aussi est-il plus que son corps, ses possessions, son cercle de relations intimes, son vécu quotidien, son histoire personnelle.
— Chacun doit accepter de dissoudre sa personnalité et de perdre son mental mortel, pour devenir rien, de manière que l’Absolu puisse occuper toute la place à travers lui. Autrement dit, il doit constamment s’investir dans la simplicité, l’humilité, la transparence et l’esprit d’enfance (confiance totale en l’Absolu et insouciance du Fils de Dieu). Ainsi, il doit refuser tout rôle et toute mission autre que de rayonner, sans fard ni fausse pudeur, ce qu’il est et devient. Cela implique qu’il doit renoncer aux prétentions et aux désirs qui risqueraient de le maintenir dans la densité et la dualité de manière à faire plus de place à l’Essentiel. Bien sûr, dans le contingent du quotidien, il doit veiller à combler ses besoins légitimes, le temps que la Lumière l’élève dans la Pleine Conscience, mais il doit éviter de s’ajouter des boulets mentaux ou matériels qui l’empêcheraient d’atteindre son But ultime. Dans l’Ordre de la Plénitude, il n’existe plus de vœux, de désirs, de velléités, de besoins, il n’existe que l’Être total toujours plein et satisfait de lui-même.
— Pour ce qui a trait à l’Approvisionnement universel, source d’abondance et de prospérité, chacun est désormais appelé à croire que les ressources et les moyens viennent de l’Esprit de Vie, de sa foi en lui-même et de son évaluation personnelle, plus que de ses efforts, de son travail ou son emploi ou de sa créativité mentale. Présentement, la Source unique pourvoit à tous les désirs licites et à tous les besoins légitimes des êtres incarnés, dans la mesure qu’ils n’y font pas opposition par leur doute et leur peur. L’économie attire la pénurie. L’accumulation de réserves exprime un doute sur le Pouvoir de la Providence à intervenir correctement au moment opportun.
— Chacun doit veiller à toujours se trouver au carrefour de la bonne expérience, menée au bon endroit et au bon moment. Mieux, il doit surtout se convaincre, quoi qu’il arrive, que, désormais, il en est toujours ainsi et que, s’il n’y a pas d’obstacle, tout se produit toujours dans la plus parfaite synchronicité. Ainsi, ce qu’il a détient son sens de la même manière que ce qu’il n’a pas ou que ce qu’il croit lui manquer. En fait, un être ne manque jamais de rien, même dans le plus grand dépouillement : il se trouve simplement dans les bonnes circonstances pour se poser les bonnes questions par rapport à ses choix ou à son agir conscients ou inconscients. En cela, ne pas choisir, c’est choisir de ne pas choisir. Pour l’être qui vit dans la Conscience de l’Absolu, ne serait-ce que quelques moments chaque jour, quoi qu’il soit appelé à faire et où qu’il soit appelé à aller, quoi qu’il se passe autour de lui, il se trouvera toujours dans la plus complète sécurité et comblé pour ce qui le concerne.
— La quantité des désagréments et des événements chaotiques, qui risque d’augmenter dans le monde, peut masquer le fait que l’Ascension suit son cours normal, donc qu’elle se poursuit à son rythme de croisière naturel et que la Libération devient plus imminente qu’il ne paraît. Le présent brouillard de confusion, résultat du ras-le-bol, de l’opposition, de la contestation, de la révolte, de la haine, qui en mène plus d’un trop souvent à la déception, à la frustration, même à la désespérance, quand ce n’est pas, chez certains, au désir de fuite ou d’annihilation, ne témoigne que de la vérité d’un monde qui s’effondre sur ses fausses bases. Car, pour construire le Monde nouveau, il ne doit pas rester pierre sur pierre des fondations illusoires et éphémères. Ce brouillard va bientôt commencer à se lever pour dévoiler les premiers contours du Nouveau Monde. Du reste, celui qui sait se relier à l’Absolu, par son Centre divin, s’assure l’impunité et l’intégrité parfaites, et, sans pouvoir les nier, il les comprend autrement et il n’en ressent plus les contrecoups, sachant qu’il n’est pas concerné. Les affaires du monde inférieur ne peuvent atteindre celui qui sait se situer et se maintenir dans un plan supérieur de la Conscience cosmique.
— Si vous apprenez à constamment vivre dans la Conscience de l’Absolu, vous pourrez observer de plus en plus que ceux qui vont tenter de s’opposer au rayonnement de votre Lumière, comme les matérialistes, les sceptiques, les sectaires, les ennemis déguisés, vont s’y casser les dents, alors que vous n’en ressentirez plus jamais de détriment, mais que, au contraire, vous y trouverez une nouvelle conviction et, avec elle, une nouvelle force que vous aurez envie d’appliquer dans la joie et la plus parfaite sérénité. Vous confirmerez que vous comportez correctement, soit en Messager de Lumière, par le fait que, dans votre quotidien, vous éprouverez de plus en plus de facilité à régler vos dilemmes existentiels et que votre joie grandira sans cesse. Au contraire, si tout se complique, vous saurez que, inconsciemment, vous résistez à la Vie.
— Dans la présente phase de nettoyage et de purification, chacun sera soumis à une véritable provocation concertée des Forces cosmiques tant qu’il refusera d’assumer ses responsabilités évolutives et de faire face à ses points d’ombre, pour les offrir à la dissolution que la Lumière qui l’habite peut produire. Dans ce jeu amoureux, cette fois, personne, dans sa personnalité, n’aura le dernier mot, puisque c’est l’Esprit de Vie qui va vaincre et rétablir et imposer sa Loi. Pour s’éviter des expériences désagréables inutiles, chacun n’a qu’à bien se prendre en main en vivant dans le renoncement, pour ce qui est du transitoire et de l’illusoire, et en acceptant la Vie totale, par un abandon de toute résistance à la Lumière. Dans cette initiative, plus un être s’unit et s’abandonne à l’Absolu, par son Centre divin, plus tôt il s’assure l’élévation dans l’État de Grâce, une vie facile et agréable, dans l’attente de la manifestation de la Plénitude et de la Félicité perpétuelle.
— Pour conclure, on gagne à apprendre que la présente mission des Montreurs de Voie ou Ancreurs de Lumière, si c’en est une, ce n’est pas de fuir la Terre, pour trouver un refuge sécuritaire dans le Paradis de la cinquième dimension, c’est de demeurer sur la planète pour ajouter leur rayonnement lumineux et pour rassurer leurs frères évoluants, en phase d’éveil, sur ce qui se passe dans le monde : l’Ascension. Si les plus conscients et les plus lumineux devaient quitter la scène du monde, que pourrait-il bien arriver dans ces heures de profond désarroi de la multitude? En retour, ils sont assurés que, en toute circonstance, en raison de leur courage d’accepter d’agir comme le capitaine d’un navire en perdition, qui quitte son poste le dernier, après que tous les autres ont été portés en lieu sécuritaire, ils recevront, entre autres bénédictions, toute la protection requise, avec une assistance personnelle tangible des Forces invisibles, en plus de voir tous leurs besoins comblés.
— Celui qui aspire à l’Ascension, parce qu’il la perçoit comme une panacée aux maux qu’il ne parvient pas à harmoniser dans sa propre vie se leurre sur sa possibilité de la connaître de façon imminente, rêve en couleurs, dans une tentative impossible de fuir vers le haut. L’Ascension est le résultat d’une purification complète et d’une soumission totale au Plan cosmique, permettant une fusion intime de ses différentes dimensions et une fusion dans l’Absolu, non un moyen d’échapper à la responsabilité de remettre à l’ordre ce qu’un être a déréglé.
© 2012-16, Bertrand Duhaime (Dourganandâ). Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde. Publié sur : www.larchedegloire.com. Merci de nous visiter sur : https://www.facebook.com/bertrand.duhaime.
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