par Sylvain Didelot
Bonsoir à toutes et bonsoir à tous,
J’ai commencé par vous Mesdames qui êtes si nombreuses à être ouvertes à l’énergie de cette année, dont je vais parler.
Je suis Lady Nada.
Pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je suis une incarnation de l’amour, comme d’autres Guides sans doute, mais j’essaye d’en porter le chemin, j’essaye d’apporter à l’être humain la compréhension de ce que peut apporter cette énergie, qui embrasse tout dans votre vie.
Je suis venue vous parler de cette nouvelle année, mais plus généralement des énergies que vous allez traverser, maintenant, plus tard, de ce qui a changé quelque part. J’aimerais que vous compreniez qu’il a été énoncé déjà que les anciennes règles ne marchent plus, ou mal. Alors, vous subirez, comme notre canal aujourd’hui, et comme d’autres plus tard, des sortes de… vous allez l’appelez peut être des vagues de mal chance, vous allez peut-être appeler cela des problèmes, des malheurs, ou des trucs négatifs comme vous aimez à évoquer cela.
En vérité, tout cela est fait pour provoquer en vous un nettoyage, pour provoquer une sur-réaction, pour provoquer quelque chose en vous qui va dire : « est-ce que je continue à jouer le jeu précédent, est-ce que je vais m’arrêter à cette somme de circonstances, qui, ici et maintenant, voudrait me faire abandonner tout ce que je fais dans l’apparence ? ». Il ne s’agit pas ici d’un message de la vie vous invitant à la quitter, ou vous invitant à changer votre chemin, il s’agit d’un message de la vie qui vous invite à aimer et à embrasser l’expérience, c’est dur, c’est dur d’intégrer ce type d’expérience en vous et de vous dire juste : « ah bon, tiens y a ça, y a ça en moi, ok, je me propose ça comme expérience, ok », mais derrière cela, la question que se pose souvent l’être humain c’est : « comment vais-je gérer cela ? ».
Alors vous mettrez tout en œuvre, intellectuellement, pour gérer cela. Sans doute avez-vous un bout de chemin à faire, sans doute avez-vous dans l’amour des renseignements à échanger, à vous donner, des choses à comprendre dans les couples, dans les échanges, dans les liens familiaux, dans d’autres types de liens, parce que c’est très important cette communication d’amour entre vous, cet espace entre vous. Mais peut-être devez-vous juste vous dire : « ok c’est là, c’est là maintenant », et je vous y invite, réagir de manière différente à ces évènements en vous disant : « comment est-ce que j’aurais réagi avant », en comprenant bien que ce « avant » est quelque part en conscience de ce que vous aimeriez faire maintenant, parce que vous êtes toujours dans d’anciens réflexes pour la plupart d’entre vous, mais vraiment de vous dire « comment est-ce que j’aurais réglé ce problème avant ?…
Avant j’aurais essayé de le résoudre le plus vite possible, sans laisser le temps résoudre ce problème, avant j’aurais essayé de résoudre ce problème, seul, sans comprendre que l’univers fait la moitié du chemin, avant j’aurais essayé de maîtriser chaque aspect de ma vie, sans comprendre que cela est impossible et que parfois il faut se laisser flotter, un peu, en se disant que demain est un autre jour, comme certains se le disent et où vous pouvez penser, dans certains égos, que cette phrase est très légère, mais elle est tout-à-fait réelle et vraie, puisqu’elle vous permettra, entre deux jours, entre trois jours, de communiquer avec un aspect plus grand de vous-mêmes pour recevoir une réponse sans doute plus simple. Tout est-il aussi urgent que vous l’évoquez ? Tout est-il aussi important que vous l’évoquez ?
Alors dans ce nouveau mode de réaction, quand vous aurez posé sur la table ce « comment j’aurais agi avant, comment j’aurais réagi avant », en vérité, posez-vous ensuite cette deuxième question : « comment est-ce que je peux réagir dans l’amour, comment est-ce que je peux réagir dans l’unité ?. Dois-je résoudre ce problème seul ? » J’aimerais que vous compreniez que dans les nouvelles énergies que vous traversez, essayer de résoudre un problème, seul, va être de plus en plus compliqué, parce que votre accélération temporelle, parce que les dimensions-mêmes que vous traversez, ne vous permettent pas d’emmagasiner autant d’informations qu’avant, et de les régurgiter au point de vue intellectuel aussi rapidement qu’avant.
Alors cela va permettre de rassurer sans doute ceux qui, parmi vous, se disent qu’ils sont devenus vieux d’un seul coup, ceux qui, parmi vous, vont se dire que rien ne semble fonctionner comme avant, qu’ils ont perdu la tête, qu’ils ont perdu du temps etc. Non. Comprenez aujourd’hui que dans ce monde du Un, que dans cette unité que représente la race humaine, dans cette unité que représente l’énergie qui vous traverse, vous devez créer des réseaux.
Si vous désirez rester seul dans votre coin, soyez-le quelques temps si cela peut permettre de calmer le mental, mais n’y restez pas très longtemps. N’y restez pas trop longtemps parce que la vie n’est pas faite pour être vécue seule. Elle est faite pour vivre en interaction, je ne parle pas ici de couple, ce dont je pourrais parler, ce que j’évoquerais peut-être à un autre moment, mais ce n’est pas le propos ici et maintenant. Le propos ici et maintenant, c’est bien de vous dire de comprendre, d’intégrer, sans doute par d’abord un outil intellectuel, cette notion de dire que, quand nous sommes Un, quand vous êtes Un, cela ne signifie pas que vous êtes seuls, cela signifie l’inverse, cela signifie que la multitude est là pour vous.
Alors posez vos problèmes, apprenez à vivre ces vagues de manière différente, à vous dire « Ok, demain, je pose ça », écrivez-le et laissez-le, ne gardez pas tous ces problèmes dans votre tête inutilement en pensant que cela va permettre de les résoudre. Ces difficultés n’en sont pas pour la plupart du temps, elles ne sont que des obstacles mineurs, mais l’accumulation de problèmes quotidiens vous empêchent de reprendre l’aspect Divin de vous-mêmes, vous empêchent de revoir les choses avec ce recul qui est : « ok j’ai créé ça, et j’ai créé ça dans l’amour, j’ai pas créé ça pour me faire peur, j’ai créé ça pour éprouver l’amour, le mettre à l’épreuve. Est-ce que je m’aime vraiment, est-ce que j’aime vraiment la personne avec qui je vis, est-ce que j’aime vraiment les personnes avec qui je travaille, est-ce que j’aime vraiment ma famille, est-ce que j’aime vraiment cette situation, est-ce que j’aime vraiment cette autre situation ? ».
Alors ici il ne s’agit pas de dire oui à tout en disant j’aime tout, mais bien de se dire : aimer cela signifie se sentir uni, mais pas forcément garder une liaison absolue à l’autre. Je m’explique ici. « Est-ce que j’aime vraiment tout cela ? ». Encore une fois tout est une question de lunettes, de regard dirait mon canal, mais de se dire que ce problème est un challenge positif… « ah comment… ouah génial… une nouvelle épreuve, un nouveau jeu… comment est-ce que je vais me sortir de là ». Alors bien sur le mental va vous dire : « oui mais ça c’est un jeu qui te coûte en énergie, en temps, en argent », peut-être, mais c’est un jeu quand même. « Qui a la clef, qui a ma prochaine clef, qui peut m’aider ». Ne restez pas seuls, mais encore une fois, quand je dis est-ce que j’aime, la question c’est : parfois, est-ce que j’aime suffisamment cette situation, cette personne, mon compagnon, ma compagne, pour lui dire que je ne l’aime plus. Est-ce que j’ai suffisamment de respect pour elle, pour lui, pour moi-même, pour lui dire qu’humainement, le plus grand amour qu’elle puisse recevoir ne viendra pas de moi, ce moi, que vous personnifiez. Et nous savons ici, qu’il faut aimer quelqu’un immensément, qu’il faut aimer une situation, un environnement, immensément pour être capable de dire : « je ne veux plus de cette situation, parce qu’elle n’est pas celle qui génère le plus grand amour qui soit ». Comprenez à quel point c’est aimer une situation, aimer quelqu’un que de lui dire cela, parce que j’entends ce que vous êtes en train d’imaginer ou de penser autour de cela : « mais c’est brutal, cela peut faire mal… ».
La vraie question, ici, est : qu’est-ce que l’amour ferait à ma place ? Est-ce que l’amour accepte tout ? Non. L’amour ne peut pas accepter certains comportements avec lesquels nous ne sommes pas alignés parce que l’amour, la liaison, implique un alignement. Suis-je aligné avec ce que je mange ? Si oui continuez, si non changez. Suis-je aligné avec cette situation, si oui continuez, si non changez. Suis-je aligné avec ces personnes, si oui continuez si non changez. Pourquoi je parle ici de changement, je parle ici de changement parce que beaucoup de situations qui vous perturbent, sont dues à un effet de stagnation, à un effet de ralentissement, à un effet de volonté de contrôler, et cette volonté à contrôler vous freine, dans l’expression de l’amour que vous êtes. C’est pour cela que je vous dis qu’une nouvelle méthode de résoudre les problèmes, c’est de comprendre, intellectuellement, mais on fait ce petit bout de chemin avec vous.
En vérité, tout cela n’est qu’une épreuve d’amour que vous vous êtes imposée. Elle n’est pas obligatoire. Quand je dis que vous vous l’êtes imposée, c’est parce que l’humain aime s’imposer des challenges, parce qu’il pense que c’est ce challenge, c’est ce combat qui va l’amener à la paix. Aucun combat ne mène à la paix. La paix est quelque chose qui arrive en défaisant la peur. Ainsi l’idée n’est pas de combattre ces difficultés ou ces choses qui vont vous tomber dessus pour être mises en amour, pour utiliser la bonne expression, mais bien de les regarder, de les observer, et de comprendre ce que l’amour a à voir là-dedans.
Alors j’entends certains d’entre vous : « qu’est-ce que l’amour a à voir avec mes dettes ? » Et ici la question est : quelle dette penses-tu avoir ? Pourquoi te penses-tu indigne ? Pourquoi te penses-tu indigne de l’abondance ? « Mais je ne m’en pense pas du tout indigne ». Cherchez bien, cherchez bien au fond de vous ce qui ne résonne pas avec ça, et après quand quelque chose résonne en disant : « y a peut-être cette part de moi-même que je n’aime pas, que je ne voudrais pas voir valorisée, que je ne pense pas devoir valoriser, que toute cette histoire de valeur d’ailleurs ne me va pas, je ne veux aucune valeur ». Tout cela engendre le manque, toutes ces réflexions engendrent le manque, et ce manque, vous ne manquerez pas de le voir, parce qu’il est la résonance de votre pensée.
Mais une fois que, en vous se crée ce déclic, cette compréhension, alors vous pouvez demander à l’Univers, aux Anges, aux Guides, à qui vous voulez : « montre-moi qui peut m’aider à résoudre ce problème ». Alors ce qui, ou ce quoi, peut venir de l’au-delà, peut venir de nous, ou peut venir d’un autre vous-mêmes, un autre éclat de vous-mêmes que vous appelez une autre personne. Mais là ce sera alors efficace, car vous aurez encore une fois effectué la moitié du chemin, sans vous juger, en observant simplement, en vous disant « tiens, c’est là, ok, j’ai créé cela, je veux que cela soit décréé ». Mais pour le décréer, pour l’effacer, quand vous ne pensez pas encore complètement alors que vous pourriez être capable de faire cela vous-même, alors il vous faudra chercher qui peut faire cela.
Alors dans ce qui est dit ici, et qui est aussi parfois l’expression « lâcher-prise », le lâcher-prise est une, j’allais dire, une ancienne méthode, mais qui fonctionne toujours. Mais qu’est-ce qui change ici, qu’est-ce qui change maintenant. Ce qui change maintenant, encore une fois, je vous l’ai dit toute à l’heure, c’est l’accélération que vous êtes en train de vivre, c’est la vitesse à laquelle vos prises de conscience vont se faire, de plus en plus rapidement. Et ce que je vous invite à faire, c’est à vous aimer, c’est-à-dire à ne pas vous juger, arrêtez de vous dire dans votre mental, c’est un conseil encore une fois, arrêtez de vous dire j’ai mal agi, j’ai mal fait, je n’aurais pas dû faire ceci, je n’aurais pas dû me marier, je n’aurais pas dû accepter ce travail, je n’aurais pas dû accepter de dire oui à cette personne ou non à cette autre personne.
Stop. C’est fait.
Comment est-ce que cela peut être développé dans l’amour ? Comment est-ce que je peux exprimer mon amour à l’autre ? Si vous pensez que cela ne résonne pas en vous, que cela ne s’aligne pas en vous, que cela ne génère pas de paix en vous, alors rétablissez cette paix, en comprenant que ce qui se passe ici, soyons clairs, se passe à l’extérieur de ce que vous êtes vraiment. Ça ne se passe pas dans votre état Divin qui est en paix naturellement, ça se passe dans le monde extérieur, ça se passe dans un monde illusoire que vous traversez et dont la tangibilité ne nous échappe pas, pour vous. Mais cela se passe ailleurs, et juste cette compréhension : « ça ne se passe pas en moi, ça se passe dans mon mental qui projette, mais ça ne se passe pas dans ce que je suis vraiment, ça ne se passe pas dans l’étincelle de lumière et d’amour que je suis vraiment ». Voilà une notion différente dans ce lâcher- prise que je tiens à prononcer parmi vous, à inclure plus profondément, ce début de lâcher-prise qui consiste à dire : « ça ne se passe pas en moi », dans le sens de ça ne se passe pas dans qui je suis vraiment. Ça se passe et ça se place dans un autre espace, dans un espace mental, dans un espace physique, mais est-ce qu’en dehors de votre tête il se passe quelque chose ?
Regardons cet exercice que je vous propose : imaginez, soyons conscients, que votre monde va disparaître dans 48h. Qu’est-ce que cela amène dans votre mental, là maintenant. Ça vous amène rarement à un état de paix, plutôt des angoisses, plutôt des choses à faire, plutôt des choses à ne pas faire, plutôt des choses à dire, plutôt des choses à ne pas dire. Ça se passe où ? Uniquement dans votre mental, uniquement dans une idée, uniquement dans une réflexion. C’est pour cela que les maîtres d’ascension que nous sommes, on vous invite souvent à la paix, on vous invite souvent au silence, même si on sait que le silence mental est difficile pour vous, on vous invite à comprendre que les espaces de silence, à comprendre que les espaces vides, sont plus réels que vos pensées, sont plus réels que votre réalité perçue. Parce que quand vous vous placerez dans ces espaces, vous pourrez utiliser toute l’énergie relative qui vous permettra de trouver le dénouement le plus simple à votre histoire créée, le dénouement le plus simple à votre mentalisation de ce qui se passe.
Beaucoup d’entre vous ont demandé à être nettoyés, à vivre une nouvelle vie, à changer, et ce vœu a été entendu, ce vœu a été accepté, mais pour que votre vie change, nous avons dû balayer ce qui ne correspond pas à votre énergie, et qui ne signifie pas que cela corresponde à aucune énergie, ça signifie que pour vous ça ne résonne pas, que pour vous ce n’est pas aligné. Alors on vous représente toute cette somme, toute ces dettes pour que vous les regardiez, et que vous-mêmes soyez capables de dire : « ok j’efface ça, j’accepte ça, je sais que j’ai créé ça », mais pas simplement de dire cette phrase intellectuellement, mais d’être convaincus de cela, absolument dans une foi certaine de : « parce que je suis Dieu j’ai créé ça ». Mais comprenez ceci : vous avez créé ça par amour, pour l’amour, dans l’amour, pour vous-mêmes. Vous vous êtes servi ce que vous appelez une épreuve sur un plateau.
Alors encore une fois, parce que cela reste vrai, l’indicateur de la paix reste la clef. L’indicateur de la paix en vous va vous dire : « oui c’est ça qu’il faut faire. Dois-je déménager ? Ici au moins je maîtrise les choses, même si je sais que déménager m’apporterait tellement plus… ». Si quand vous dites cette phrase dans votre tête, vous vous mettez à rêver, à être plus léger et à vivre différemment, à ressentir différemment, alors le corps et ce peu de mental ont la réponse. Bien sûr le mental pensant continue à vouloir garder la position qui vous met en sécurité, la position la plus stable possible, celle qui ne fera pas trop de vague pour utiliser une de vos expressions. Si quand vous prenez une décision, la paix s’installe en vous à cette décision, si vous prenez suffisamment de recul, que vous lâchez un petit peu l’émotionnel, pour être dans le ressenti du corps, dans l’émotion du corps, et pas dans l’émotion du mental allais-je dire, en ce qui est ressenti, alors dans ces années qui viennent, et encore plus, vous allez comprendre que le corps répond. Parce que chaque particule de votre corps contient une part de vous-mêmes. Parce qu’en accédant à ces parts de vous-mêmes, vous accèderez à quelque chose de plus entier que juste la partie mentale de vous-mêmes, à laquelle vous acceptez de vous associer. Vous acceptez de vous associer à votre cerveau, à votre mental, mais vous êtes aussi vos mains, vous êtes vos bras, vous êtes vos jambes, vous êtes votre cœur, vous êtes tout cela. Alors associez-vous un peu plus à ce tout que vous êtes, rien que dans l’espace de votre corps, et vous comprendrez qu’il vous parle. Il vous parle et il est capable de répondre à vos questions en accédant à d’autres champs d’énergies, à d’autres champs d’informations.
Ceci est un des changements de cette année, qui peut ce résumer en vous disant : « je me suis offert des épreuves, par moi, pour moi ».
J’aimerais vous laisser en compagnie de Maître Saint Germain que vous aimez tant et qui vous aime tant, pour qu’il évoque avec vous des raisonnements plus énergétiques, plus dans l’énergie, plus dans la souplesse qui est la sienne, et si je suis intervenue sur l’amour c’est pour vous expliquer que les épreuves sont amour. Que si vous semblez les cumuler actuellement c’est plutôt le signe du nettoyage que vous avez demandé et soyez convaincus que ce nettoyage est en cours. Il n’est pas exactement celui que vous auriez espéré, certes, mais il est en cours, et l’accélération du temps vous amènera à une réponse rapide. Et plus tard, quand vous observerez ces périodes que vous pourrez tous plus ou moins percevoir cette année, vous vous direz « ouah je me suis offert ça et tu sais comment je l’ai réglé ? En regardant, en observant et en aimant, et tout a semblé magique après, et tout a semblé différent, parce que j’ai changé ma vision, parce que j’ai compris qui je suis, parce que j’ai pris ma responsabilité, j’ai cessé de me demander ce que j’ai fait pour avoir tel malheur, j’ai compris que je me le suis offert, non comme une épreuve, non pour me faire peur, la peur c’est ce que perçoit le mental, l’amour c’est ce que perçoit le corps et le cœur. Alors je m’offre à ce corps, je m’offre à ce cœur et je comprends qu’ici sont mes réponses ».
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