par Frank Hatem

Encore une confirmation de la théorie magnétique de l’univers de Léon Raoul et Frank HATEM

Commentaire d’un article de L’Express.fr

« Grâce à un survol de Jupiter, la sonde Juno a remis en cause plusieurs hypothèses développées par les scientifiques.

Juno avait en effet été lancée (par la NASA) en août 2011, avant d’atteindre l’orbite de Jupiter en juillet 2016. 

Une planète loin des prévisions scientifiques

D’après les premiers constats, la plus grande planète du système solaire s’avérerait être bien différente de ce que les scientifiques avaient pu imaginer jusqu’alors. « Il se passe tellement de choses là-bas qu’on n’attendait pas, que ça nous pousse à revenir en arrière et repartir à zéro dans notre manière de comprendre Jupiter« , a souligné lors d’une conférence de presse Scott Bolton, responsable scientifique de la mission. (…)

Une analyse du champ magnétique de Jupiter a révélé qu’il était beaucoup plus intense à proximité de la planète que ce que les modèles mathématiques prévoyaient. Il est environ dix fois plus puissant que le champ magnétique terrestre. »

Voilà qui est fort intéressant. Nous avons toujours dit qu’il n’y a pas de « planètes gazeuses » ou de « planètes liquides ». Elles ne peuvent être gazeuses ou liquides qu’en surface, mais au cœur de ces planètes se trouve nécessairement un noyau suffisamment dense pour créer un champ magnétique important et stable, seul capable de faire en sorte que la planète tourne sur elle-même et autour de leur Soleil. En effet, pour qu’il en soit ainsi, il faut que le noyau de la planète soit un aimant solide disposant de ses deux polarités magnétiques fixes, SINON ELLE NE PEUT PAS TOURNER car seule la dualité magnétique permet la rotation en synchronisme avec une étoile (le Soleil) et des satellites, même si, dans des cas particuliers, les rotations n’ont pas la même vitesse (mais sont compatibles), ou même si les satellites ne font qu’une rotation par révolution orbitale (apparence de non-rotation) comme la Lune ou Mercure, mais avec souvent un balancement synchronisé (par ailleurs inexpliqué par les astrophysiciens).

En tout cas, aucune masse gazeuse ou liquide ne peut disposer de polarités fixes et donc n’a de raisons de tourner. C’est absolument irrévocable et nous avons toujours dit qu’on s’apercevrait un jour qu’il en est ainsi.

Ce qui est intéresssant avec Juno, c’est

1°) qu’elle constate, une fois sur place, que le champ magnétique est beaucoup plus important qu’on ne l’imaginait, ce qui est normal si le noyau est solide et très volumineux (dix fois celui de la Terre). Très souvent on nous dit que des planètes ont un très faible champ magnétique ou pas de champ du tout. Ces hypothèses sont donc TOUTES caduques, puisque de toute évidence, ce n’est qu’une fois sur place qu’on peut vraiment le savoir. Donc à quoi bon soutenir de telles hypothèses issues de calculs fondés sur d’autres hypothèses, en liaison avec des théories fausses comme la théorie de la gravitation (on le démontre abondamment, la gravitation est d’origine magnétique et non due à une courbure de l’espace ou à autre chose).

2°) Que la planète n’est en fait ni liquide ni gazeuse malgré les apparences. Son noyau est solide et imposant. Cela signifie aussi que toutes les descriptions de Saturne, Uranus, Neptune, ou d’autres grosses planètes, décrites comme souvent gazeuses ou liquides, sont également caduques. Seules des sondes sur place peuvent le montrer, et nul doute que TOUTES s’avéreront avoir un noyau solide et imposant, seul susceptible, grâce aux relations magnétiques avec le Soleil, de créer et entretenir des rotations régulières et des mouvements orbitaux, ainsi qu’on l’explique et le démontre dans le livre « Au-Delà du Quantique » volume I, aux Editions Ganymède.

Et si vous voulez voir les appareils de démonstration qui prouvent cela, venez faire un tour en Seine-et-Marne DIMANCHE 18 JUIN 2017 (10 h), on vous donnera l’adresse via le contact de cet article.

3°) La théorie selon laquelle la Terre aurait fortuitement un champ magnétique à cause du mouvement de masses de fer en son sein est caduque. Il y a fort à parier que PARTOUT où on ira voir sur place, on trouvera un champ magnétique, cela n’a rien de fortuit, toutes les hypothèses prétendant que telle ou telle planète ou satellite n’en a pas tomberont les unes après les autres car toutes les planètes, comme toutes les masses de l’univers, comme toutes les particules atomiques, SONT DES AIMANTS COMPLETS MUNIS DE LEURS DEUX POLARITES MAGNETIQUES. Il ne peut en être autrement puisque seul le magnétisme dualiste peut être issu du néant et non pas des champs positifs d’une part, des champs négatifs d’autre part. Les modèles utilisés pour prédire ces caractéristiques des planètes sont battus en brèche par l’une des planètes les mieux connues et les plus proches de la Terre. Comment donc attacher le moindre crédit aux caractéristiques attribuées à des planètes lointaines qu’on dit gazeuses ou pas, disposant d’un champ magnétique ou pas. Cela n’a plus aucun intérêt. Il est vrai que ces planètes qu’on découvre à des dizaines d’années-lumière de notre système solaire sont bien trop loin pour qu’on y envoie jamais une sonde, et donc on peut toujours tout dire sans risque d’être démenti.

Ce que nous disons pour notre part, c’est QU’IL N’EST PAS POSSIBLE QU’UNE ETOILE SOIT DEPOURVUE DE PLANETES. Sinon elle ne pourrait être chaude et brillante, c’est le synchronisme des rotations avec les planètes plus petites (qui peuvent tourner d’une seule masse contrairement aux grosses), et en synchronisme avec l’étoile centrale la plus proche, et évidemment encore plus chaude car encore plus grosse, qui, du fait de la taille de ces étoiles, impose un frottement entre les différentes couches qui ne parviennent pas à tourner à la même vitesse, produisant chaleur et lumière. Et en aucun cas il ne s’agit d’explosions nucléaires « auto-contrôlées » (on se demande par qui). Le « carburant » serait usé depuis longtemps.

« Enfin, le noyau de la planète pourrait être plus grand que prévu par les scientifiques. Il ne s’agirait donc pas à priori du « petit noyau solide » qu’ils avaient prédit. Toutefois, les résultats seraient à ce sujet « peu clairs », et ne permettraient du coup pas de définir précisément la nature du noyau. 

Le prochain survol se fera en juillet »

Nous, nous prédisons que CHAQUE FOIS qu’on s’approchera d’une planète, on s’apercevra qu’elle a un noyau solide et un champ magnétique suffisamment puissant pour être en relation avec son étoile-soleil. Et de même que l’on découvre de l’eau partout où il y a rotation (ce qu’on a également prédit), en particulier A L’INTERIEUR des planètes qui tournent (ce qui rend également caduques toutes les théories sur l’arrivée de l’eau sur la Terre et ailleurs), mais pas sur les planètes dont la rotation est insuffisante ; de même que les grosse planètes ont quasiment toujours des anneaux (ces anneaux sont inexplicables sans la dualité magnétique, équilibrée au niveau de l’équateur) ; de même que les planètes NE PEUVENT PAS SE PERCUTER (alors qu’on essaie d’expliquer l’origine de la Lune par l’arrachement de masses à la Terre lors d’une énorme collision) du fait que la répulsion joue autant que l’attraction lorsque les masses sont suffisamment importantes l’une par rapport à l’autre, toutes ces prédictions (et bien d’autres) de la théorie magnétique de l’univers de L. R. et F. HATEM se révèlent justes, année après année, tandis que celles des astrophysiciens officiels s’effondrent les unes après les autres, jusqu’au « Big Bang » bien entendu qui a tellement changé qu’il est devenu méconnaissable et ne peut même plus jouer le rôle de propulsion des masses dans l’espace !

Comme disait Einstein, « il est plus difficile de vaincre un préjugé que de désintégrer le noyau d’un atome ». Et la Science physique encore matérialiste d’aujourd’hui n’est faite que de préjugés et d’hypothèses à partir de quelques observations justes. Mais la Science n’est pas question d’observation de la matière. Aujourd’hui on démontre (et on a raison) que la matière n’existe que grâce à l’ACTE D’OBSERVATION (autrement dit grâce à la conscience mais on n’ose pas le dire), et malgré cela, on continue d’étudier la matière au lieu d’étudier la conscience ! Allez comprendre.

Remarquez, cela laisse de la place pour les métaphysiciens, qui eux expliquent depuis des décennies la conscience (et l’énergie qui y est liée) à partir du néant à chaque instant, et sa capacité créatrice purement magnétique. Les lecteurs de la Presse Galactique en sauraient-ils plus que tous les Prix Nobel de la Terre ? S’ils lisent les articles de l’Hyperscience cela se pourrait bien… Si vous trouvez cela prétentieux, ce qui n’est pas notre propos, il n’en tient qu’à vous de vérifier. A bientôt le 18 juin.

Retrouvez les chroniques de Frank Hatem sur la Presse Galactique

[do_widget id=text-85]