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Nous sommes vraiment 100% créateurs de notre vie. Ce n’est pas uniquement le résultat de l’écoute de la vidéo de Louis Hay, mise en ligne hier, c’est le constat vécu d’un humain divin comme tout le monde. Vous aurez remarqué que je suis du genre provocatrice. C’est un « défaut » que je ne tente plus de corriger puisque tout à sa raison d’être et que je ne cherche plus à atteindre une quelconque perfection qui n’est que l’entretien de l’illusion de se croire minable et imparfait. Il faut des gens qui s’élèvent du troupeau, qui osent affirmer autre chose que la pensée unique véhiculée à longueur de temps par tous les médias. Seuls quelques irréductibles, un peu fous osent bousculer les convenances et c’est pour le plus grand bien de l’ensemble. Accepter ce qui est oui, dans la mesure où nous créons ce que nous pensons. Changer sa perspective du monde en changeant le regard que l’on porte sur soi-même oui, mais communiquer, témoigner de cela est important pour accélérer le mouvement d’éveil. Il a fallu que je lise les messages des êtres de lumière canalisés par Joéliah pour savoir que le christ auquel je croyais était en fait un principe universel habitant chaque être humain.

Là oui, j’avais trouvé ce que je cherchais depuis toujours, la justice, l’égalité, la fraternité, l’amour et la liberté. Et même si ces vérités étaient inscrites en moi, il a fallu un déclencheur. Je sais bien que chacun est éclairé par lui-même et que s’affirmer en disant ce que l‘on pense peut être dangereux tant pour son ego qui risque de gonfler que par le fait de s’exposer à la critique. Mais je m’en fous.

 

C’est devenu un instrument d’affirmation de soi, d’amplification de ma foi et une occupation réjouissante de mon temps quotidien. En plus, ça me permet de « rencontrer » des personnes qui ont les mêmes croyances, la même vibration. Puisque j’aime faire ça, puisque ça m’apporte tant de satisfaction, je continue.

 

Il est impossible de goûter à l’amour, de trouver la liberté et la joie, sans avoir envie de le partager. Enfin, c’est ce que je vis.

J’ai eu quelques jours de flottement, un peu de souffrance parce que la peur d’être abusée n’était pas totalement effacée de ma mémoire. Il m’a suffit de m’abandonner à la vie, de dire oui, pour retrouver la lumière, la joie et la sensation amoureuse intérieure.

Nous sommes notre propre juge, bourreau, censeur…Et pourtant, il ne suffit que de se plonger totalement en la vie, en ayant confiance en soi, pour que tout se déroule facilement, de façon magique.

En premier lieu, s’aimer totalement tout en changeant son mode de pensée concernant la notion de bien et de mal, est essentiel. Mais, on constate vite que cet exercice qui demande d’être ferme dans son choix, amène rapidement des résultats qui motivent pour aller de l’avant.

Plus je m’aime et plus la vie me renvoie cette croyance dans le quotidien.

Plus je suis en accord avec moi-même et plus je rencontre des gens en résonance, qui ont la même foi que moi, la même vision du monde.

Plus je m’accorde de liberté et moins j’attache d’importance au comportement des autres. Idem pour ce qui est de la critique.

Plus je m’accepte telle que je suis, totalement sans faire semblant de ne pas voir mes « défauts » et de les refouler et plus j’accepte l’autre tel qu’il est.

Depuis que j’ai arrêté de vouloir être parfaite et que j’accepte de faire des erreurs, ma vie est beaucoup plus cool, sans pression inutile. Puisque l’amour et la lumière sont en moi, je ne les cherche plus à l’extérieur puisque je sais qu’en aimant ce que je suis, les gens me traiteront de la même façon.

C’est mathématique ! Puisqu’il s’agit d’une loi, il est facile de la vérifier dans sa vie.

Il n’est pas nécessaire de passer des heures chez un psy quand on décide de ne pas se mentir et qu’on veut s’aimer entièrement. La vie nous renvoie exactement ce qu’il nous faut pour qu’on s’aime mieux, pour qu’on soit plus libre et que l’on reconnaisse que nous sommes créateurs de tout ce qui nous arrive.

Quand on ose suivre son instinct, les idées positives qui viennent régulièrement en tête, les inspirations de notre cœur, la vie devient facile et radieuse même si la pluie tombe dehors. C’est exactement ce que je vis aujourd’hui. Il m’a suffit de lâcher les dernières peurs relatives à mon passé de victime d’inceste, pour que mon cœur s’ouvre et que je ressente à nouveau, l’énergie d’amour circuler en moi.

Quand on veut plus de liberté, par exemple, on va être mis en situation de faire un choix pour confirmer ce désir. Certains appellent ça la mise à l’épreuve, mais je considère les choses autrement. Je pense plutôt que comme nous avons le libre arbitre, personne d’autre que nous ne peut décider les idées sur lesquelles nous allons nous focaliser et comme tout ce que nous pensons se réalise, il faut que notre souhait soit confirmé. Heureusement parce que si toutes nos pensées créaient immédiatement, juste en les émettant, il deviendrait très dangereux de penser !

Pour cette raison, nous devons nourrir un désir suffisamment longtemps et avec une certaine puissance émotionnelle pour qu’il se réalise.

Ce qui est le pus difficile, c’est de savoir exactement ce que l’on veut. C’est pour ça que j’émets des idées larges. Comme, « je veux être libre ». Même si je suis dépendante de cachets et que jusqu’à maintenant je focalisais dessus en voulant à tout prix diminuer, j’ai choisi de faire confiance à la vie et de maintenir uniquement le désir « je veux être libre » sans chercher à savoir comment c’est possible, ni en tenant compte du fait que ça fait trente ans que je suis dépendante de ça.

Je focalise uniquement sur quelques vérités que j’ai vérifiées :

« J’ai confiance en la vie bienveillante »,

« J’ai confiance en ma lumière intérieure »,

« Je suis un humain divin »,

« J’ai droit au bonheur »,

« Je veux aimer et être aimée »…

Ce ne sont pas que des affirmations, ce sont des choses que la vie m’a amenée à comprendre en l’interprétant avec l’œil de la foi en l’humain divin et en l’amour.

J’ai pu constater qu’à chaque fois que je lâchais une peur, les choses s’amélioraient. Le fait d’utiliser les rayons sacrés, a consolidé ma foi et maintenu mon désir d’aimer malgré tout ce que j’ai pu vivre de dramatique.

Je me suis éclatée, ce matin en réalisant deux nouvelles vidéos.

J’ai l’évier plein de la vaisselle d’hier mais j’ai préféré commencer par faire quelque chose que j’aime plutôt que de me lamenter sur le temps pourri, la pluie qui m’empêche d’aller au jardin, de laver du linge…

Personne n’est là pour me dire « c’est crado ! » ou encore « T’as pas fait la vaisselle ! ». Je n’ai plus la voix de ma mère dans la tête qui me reproche ce laissé aller ! Simplement parce que je m’autorise à faire ce que je veux quand je le veux.

Plutôt que de pleurer sur le fait de ne pas travailler, j’en tire avantage en lâchant prise et en utilisant ce temps offert pour guérir et m’éveiller à ma véritable nature.

J’ai confiance en l’aspect divin de ce que je suis, pour me diriger vers ce qui me permettra de gagner ma vie en faisant quelque chose que j’aime, qui sera utile à mes contemporains. Déjà, le fait de savoir qu’en travaillant sur soi de façon à libérer les vieilles croyances duelles à l’origine des guerres et des inégalités, je participe énergétiquement à l’évolution de la société, m’aide à ne pas culpabiliser.

J’ai vraiment confiance puisque je peux déjà constater que malgré que je n’aie que le RSA comme revenu, mon compte se remplit miraculeusement. J’ai changé mon regard sur cette chose que je croyais responsable de la misère dans le monde. En prenant contact avec cette énergie de l’argent, qui est l’expression de la générosité de la mère divine, une forme d’amour qui sert à multiplier, amener plus de liberté d’action et de confort, j’ai totalement changé mon point de vue. Le résultat est là, concrètement. Je n’ai pas encore gagné le ticket de loterie mais c’est tout simplement parce que j’ai encore certains blocages, craintes et fausses croyances. Je peux déjà constater la différence énorme. J’ai déjà lâché la peur de manquer, libéré le sentiment d’indignité, d’illégitimité. La croyance en la fatalité. Je « travaille » plus au niveau général comme le fait d’accueillir la facilité dans ma vie, en toutes choses. Le droit au bonheur, au confort. Et puis surtout, la confiance en la vie et en soi-même puisque tout découle de là.

Une petite vidéo, « fait maison » en hommage à l’être divin qui habite désormais en moi chaque instant de ma vie. Je l’ai invité à squatter mon corps physique !

Los Jaivas

Un dia de tus dias

http://youtu.be/s9x9xzIzL_I