par Xavier Séguin
Depuis quelques années, des chercheurs des médecines alternatives se passionnent pour les ondes scalaires. J’ai voulu savoir de quoi il retournait. Et j’en suis resté baba. J’ignorais tout d’elles, leur nom, leur fonction, leurs caractéristiques, et pourtant je m’en servais tous les jours.
Les ondes scalaires, on en reçoit et on en émet à chaque instant, mais on n’en sait rien. On ne s’en soucie pas. Tous les êtres vivants émettent des ondes scalaires. Et pas seulement eux.
Nous vivons ça sans arrêt. Elle pense à un ami très cher dont elle n’a pas de nouvelles, le lendemain il lui téléphone. Sans le savoir elle a émis des ondes scalaires qu’il a capté.
Cent fois par jour, nous captons des bouffées de ces ondes bénéfiques, qui modifient notre tonus, et nous apportent de douces pensées.
Les roches aussi émettent ces ondes. C’est ainsi qu’elles nous parlent. D’où la fascination qu’exercent les grandes pierres sur tous les sensitifs. Ils captent leurs ondes scalaires.
« Les arbres chantent » disent les aborigènes. Traduite en physique, cette affirmation signifie qu’ils émettent en permanence un quota de ces ondes scalaires, typiques de l’espèce, de la longueur et du volume de l’arbre.
Nous aussi, nous émettons des ondes en spirale ; les ondes émises par le cerveau humain sont des champs de torsion, affirment les chercheurs russes depuis 40 ans. C’est-à-dire encore des ondes en vortex. Elles passent les cages de Faraday à l’inverse des ondes électromagnétique. Leur puissance augmente avec la distance et, dès lors que la résonance est établie, elles sont reçues à des milliers de kilomètres en dépit de leur faible puissance ! » (source)
L’incontournable Nikola Tesla a été le premier à s’intéresser à ces ondes bizarres. A la différence des ondes électromagnétiques, elles ne progressent pas de façon linéaire, mais en spirale, comme notre ADN, comme les protéines. La spirale d’une émission scalaire s’emmêlent à d’autres spirales scalaires émises par différents acteurs qu’elle rencontre : animaux, humains, plantes et minéraux, tout parle la langue scalaire.
Ces toutes puissantes ondes spirale transportent leurs informations à très grande distance sans s’affaiblir. Mieux encore, elles s’additionnent et se multiplient en chemin, de sorte qu’un paquet d’ondes scalaires envoyé à des milliers de kilomètres renforce ses effets et sa puissance au fil du trajet.
Ces fameuses ondes scalaires, je m’en sers depuis des années pour guérir. Elles ont reçu beaucoup de noms au fil des modes. C’est le vril ou l’énergie subtile, c’est l’énergie d’éveil, c’est le mystère qui fait la guérison. C’est aussi la médecine de demain. L’art de guérir.
Par la vertu des ondes scalaires, les maladies mortelles et les maladies incurables ne le sont plus. Une révolution ahurissante est en marche.
L’art de guérir est depuis longtemps au centre de mes préoccupations. C’est un pouvoir qui se transmet, celui d’émettre à volonté ces ondes scalaires, agents premiers de la guérison.
Dès l’enfance, les phénomènes paranormaux ont exercé sur moi une irrésistible attraction. La pseudo-vérité scientifique distillée dans les écoles m’a toujours parue bidon. Il y a quelque chose d’autre, ce qu’on nous dit n’est qu’un écran de fumée, il existe un autre monde au-dedans de celui-ci. Avec d’autres règles, d’autres lois qui émergent enfin ces derniers temps.
J’ai fait une plusieurs sorties de corps conscientes dès l’âge de 14 ou 16 ans. Des nuits passées entre la vie et la mort m’ont permis d’explorer l’antichambre de l’autre monde. Ces expériences au seuil de la mort ont marqué à jamais ma conception du monde et le sens de mon existence. Cela suffit-il à expliquer l’irruption d’un don, celui de guérir — ou plus exactement de remettre en route le guérisseur intérieur des malades.
Pour moi, les maladies sont des signes de dysfonctionnement d’un dispositif dont nous disposons tous, et que les Amérindiens appellent le guérisseur intérieur. Ce guérisseur automatique est grippé, endormi, mais toujours présent quelque part en nous.
Un guerrier tonique et vigoureux se respecte comme il respecte son corps. Dans cet état optimal, aucune maladie ne peut l’atteindre; aucun microbe, aucun virus. Toute la difficulté consiste à retrouver l’état optimal en question. Ce qui, dans notre monde déstructuré, tient de la gageure.
J’ai vécu longtemps seul, à l’écart de la foule et du bruit. J’ai longtemps fréquenté la nature, celle de ce monde, et celle des autres mondes. Depuis une vingtaine d’années, mes aventures ont changé de nature. Adepte du voyage intérieur, je me suis promené le long de la ligne de temps. J’ai eu accès à des époques révolues, des gloires oubliées. Ces expériences extrêmes ne sont pas à l’origine du pouvoir de guérir qui m’a été donné, puisque je l’avais déjà avant. Mais elles l’ont certainement renforcé.
Depuis quatre ans, j’ai expérimenté différents protocoles de guérison à distance, avec des résultats incroyables. La portée des ondes de guérison a pu atteindre plusieurs milliers de kilomètres :
– le Lac Saint-Jean au Canada, 5500 km à vol d’oiseau.
– l’île de la Réunion, 9600 km à vol d’oiseau.
– Marseille, Lunéville, Marbourg en Allemagne et Avebury au Royaume Uni.
Les transmissions sont parfois instantanées, parfois ressenties avec un délai toujours inférieur à une demie heure. L’effet de guérison n’est pas amoindri par la distance. Au contraire, les ondes reçues soient plus puissantes que les ondes émises, ce qui est conforme aux recherches actuelles sur les ondes scalaires.
Toutefois aucune mesure n’a été prise. Il s’agit des sensations des personnes concernées, donc subjectives. Mais c’est le sujet qui importe.
Certaines personnes étaient trop gravement malades pour établir un protocole de recherche. Je me suis contenté d’émettre à l’aveugle, sans autre feed back que l’accusé de réception –amélioration notoire et/ou guérison– que m’ont transmis les malades ou leurs proches.
Les guérisons à distance semblent aussi efficaces que les guérisons en présence. Elles ont l’avantage d’être moins fatigantes pour le malade, qui ne quitte pas son environnement familier.
Guérir demande un engagement total du malade. Avant tout cycle d’émissions d’ondes scalaires, je teste la bonne réception par le malade. Il se peut que le test ne soit pas concluant. En ce cas, la guérison à distance ne pourra pas s’effectuer.
Parfois le malade ne m’adresse pas sa demande en personne. S’il n’y croit pas tout à fait, rien ne marche. Son libre-arbitre fait écran à la guérison.
Je n’ai rien d’un toubib, je ne prescris rien, j’ignore la médecine. Il s’agit d’un acte posé dans une toute autre sphère.
Cet acte n’aura aucun effet sans l’adhésion entière du malade. Son guérisseur intérieur ne sera pas éveillé en écho à mes émissions scalaires. Sans le secours de son guérisseur intérieur, le malade ne guérira que peu de temps, et il y a de fortes chances que sa maladie revienne le tourmenter.
Se guérir est un acte volontaire. Je donne les clés, mais c’est toujours au malade d’ouvrir la porte.
Une idée folle m’est venue
Il y a autre chose de fascinant dans les ondes scalaires, et c’est sur ce point que je veux conclure. Avec un ami guérisseur qui suit les mêmes pratiques, nous faisons plusieurs fois par jour un échange d’ondes scalaires. Je lui envoie les miennes, il m’envoie les siennes.
Nous avons découvert les bénéfices considérables de cette cure permanente d’ondes scalaires. Imaginez une bande d’éveillés qui s’enverraient mutuellement ces ondes, non pour guérir, mais pour rester au top de la forme physique, mentale, affective.
Combien de temps faudrait-il pour éradiquer les maladies ? Et pour éveiller la planète entière ?
Si cette perspective vous enchante, faites-le moi savoir, je pourrais développer cette piste dans un nouvel article. Et si vous êtes vraiment intéressé, dites-le moi aussi. Je pourrais organiser des stages d’émission-réception d’ondes scalaires. N’hésitez pas à me contacter, la rubrique contact est faite pour ça.
Vous serez béni comme vous bénissez.
Source: http://eden-saga.com/