Une théorie qui rappelle furieusement les travaux de Tesla.
KILAUEA, Hawaï, 7 mai 2013
Un article avant-gardiste publié la semaine dernière apporte un nouvel éclairage sur la théorie de la gravité et son potentiel impact significatif sur les problèmes auxquels fait face la race humaine, les sources alternatives d’énergie entre autres.
Nassim Haramein, directeur de recherche à l’Institut de Physique Unifié d’Hawaï, a écrit un article intitulé « Gravité quantique et masse holographique », qui a été validée et publié dans le journal Physical Review and Research International.
Cet article discute de la théorie d’Haramein sur « l’univers connecté », qui offre par des formules algèbriques et des équations géométriques une nouvelle vision alternative de la gravité.
Le travail d’Haramein montre que tout dans l’univers est connecté, de l’échelle la plus grande à la plus petite, grâce à une compréhension unifiée de la gravité.
Il démontre que c’est l’espace qui définit la matière et non la matière qui définit l’espace.
« Rappelez-vous que la matière est faite de 99,9 % d’espace », dit Haramein.
« La théorie du champ quantique expose que la structure même de l’espace-temps, à un niveau extrêmement petit, vibre avec une énorme intensité.
Si nous pouvions extraire un infime pourcentage de toute l’énergie contenue au sein des vibrations se trouvant dans l’espace de l’un de vos doigts, cela représenterait assez d’énergie pour alimenter les besoins mondiaux pendant des centaines d’années.
Cette nouvelle découverte a le potentiel d’ouvrir un accès à l’exploitation de cette énergie comme jamais auparavant, ce qui révolutionnerait la vie telle que nous la connaissons aujourd’hui ».
La base de la recherche d’Haramein est une prédiction audacieuse sur le rayon de charge du proton, qui a été récemment vérifiée par une expérience. Moins d’un mois après l’envoi par Haramein de son article à la Bibliothèque du Congrès, l’Institut Paul Scherrer de Suisse a publié une nouvelle mesure sur la taille du proton, confirmant la prévision d’Haramein.
« Les protons sont les blocs de construction initiaux de notre univers – ils sont au centre de tout atome et donc sont partout et en tout », a dit Chris Almida, directeur exécutif de la Fondation Projet Résonance, organisation parente de l’Institut d’Haramein.
« Il est primordial de comprendre précisément la structure du proton avant même de commencer à comprendre ‘l’univers connecté’. La prédiction d’Haramein s’est confirmée et est parfaitement exacte (dans la marge d’erreur de toute expérience), alors que la théorie du modèle standard est largement périmée ». Almida poursuit, « Si la théorie de Nassim est correcte, l’idée de résoudre certains des problèmes les plus répandus de l’humanité pourrait être à notre portée ».
L’approche d’Haramein pourrait potentiellement déverrouiller de nouvelles découvertes dans les domaines de l’énergie, du transport et même du voyage dans l’espace.
Un documentaire de 20 minutes par le réalisateur Malcolm Carter illustre ces nouvelles idées de manière séduisante.
Le site (en anglais) de Nassim Haramein et la bande-annonce du documentaire (cliquez en haut à gauche du site: resonance.is.
PDF de l’article de Nassim Haramein (en anglais)