Le temps s’accélère. Nul n’est capable de le démontrer pourtant tous le ressentent. Les minutes font bien toujours 60 secondes, les heures soixante minutes et les jours 24 heures. Pourtant rien n’est plus comme avant. Comment démontrer avec nos instruments de mesure l’accélération du temps si eux aussi sont pris dans cette accélération temporelle ? Le cristal de quartz lui-même s’accélère, sa vibration augmente, il est donc normal que la référence du temps soit faussée ! Et l’horloge atomique de référence alors ? Même principe, si nous sommes pris dans une accélération quantique où chaque particule élémentaire, électron, proton, neutron, quarks mêmes, monte en vibration, bien évidemment nos instruments de mesure resteront muets et les scientifiques railleurs. Et pourtant le temps s’accélère !
Tout le monde le dit, tout le monde le pense et chacun cherche une explication à cette étrange sensation. Est-ce que le fait de vieillir nous donne l’impression que le temps s’écoule plus vite ? Pourtant ma journée s’organise de la même façon depuis des années, je ne dors ni plus ni moins, et je dois chaque jour accélérer le rythme pour faire tenir dans une journée ce que je faisais autrefois sans bousculade. Je suis désormais obligé de faire plusieurs choses à la fois pour pouvoir boucler mes obligations de la journée, faire les tâches ménagères, répondre au téléphone, s’occuper des enfants… Je risque le burn-out, je suis au bord de l’épuisement ! Serais-je l’objet d’un gigantesque effet Mandela qui transforme ma perception du temps ?
La charge vibrante de chaque particule élémentaire augmente sous l’effet de la compression tachyonique à laquelle la Terre est actuellement soumise, c’est ce que le contacté Cobra annonce avec la percée par compression de la lumière à la surface de la planète (Cobra signifiant curieusement “COmpression BReAkthrough”), et donc la percée du voile. Chaque travailleur de lumière à la surface de la planète canalise en conscience ces énergies de lumière, chacun sa vibration, chacun sa couleur, pour ancrer ces nouvelles vibrations dans la matière. Chaque personne participant en conscience à ce plan d’ancrage de la lumière dans la matière et donc à cette accélération quantique est ce que l’on nomme communément un travailleur de lumière.
Je sais que je ne suis pas fou, et vous n’êtes pas fous non plus ! Acceptez cette réalité d’accélération, prenez-la même comme un signe de fin des temps. C’est un peu comme si toute l’humanité s’impatientait de vivre l’Apocalypse, la grande divulgation, et pressait le pas pour y arriver le plus tôt possible? Mais c’est en réalité le contraire qui est nécessaire, nous voulons et nous devons faire une pause, souffler, respirer un peu et arrêter de faire tourner la roue du hamster pour alimenter une matrice qui se nourrit de nos énergies. Et cette matrice se fait de plus en plus pesante du fait de cette pression de lumière.
Nous vivons une étrange course de vitesse, où seule la tortue la plus lente peut gagner. Pour gagner cette course il nous faut ralentir, intégrer les nouvelles vibrations et ne pas se laisser emporter par ce torrent temporel. Et même si tout notre environnement matriciel nous pousse à accélérer, pour satisfaire les objectifs de notre employeur, les attentes de notre conjoint, les exigences de notre niveau de vie, la percée par compression de la lumière passera nécessairement par une décélération générale de nos activités, du mental, de la respiration…
Le temps (ou plutôt notre perception du temps) va continuer à s’accélérer de manière exponentielle jusqu’à l’Événement, jusque la percée du voile, jusqu’à l’élimination de l’anomalie plasmique retenue par le voile à la surface de la planète. Cette perception d’accélération temporelle est d’ailleurs très probablement le résultat d’une distorsion transitoire. Notre conscience est prise dans un paradoxe. Nous sommes bombardés par le haut d’énergies de lumière et retenu par le bas par l’ombre et l’anomalie plasmique, fondement de notre environnement matriciel. Nous sommes à la fois tirés vers le haut et vers le bas par deux courants contradictoires, deux forces adverses, les forces de l’ombre et celles de la lumière.
Écartelés entre deux réalités, entre deux mondes, deux choix, celui de l’ombre et de la lumière, nous percevons la montée vibratoire sans encore pouvoir nous échapper de notre condition d’esclavage, au service d’une Cabale, d’une matrice noire. C’est sans doute la raison fondamentale de cet irrépressible envie d’ailleurs, de cet inexorable accélération du temps jusqu’à la pause, jusqu’à l’Événement !
Source: https://revolutionvibratoire.fr/