par Bertrand Duhaime

Cliché énergétique du 13 février 2018.

En ce moment, vous amorcez le dernier tronçon du Portail écliptique qui va fermer le règne du Coq de Feu. En effet, vendredi prochain, le 16 février, tout va changer, une énergie nouvelle va pénétrer votre monde, apportant des révélations tout à fait neuves, inconnues jusque-là, et les accomplissements vont commencer à se multiplier.

De toute évidence, il ne pourra en être ainsi que pour ceux qui ont su relever les défis des dernières années, voire des derniers mois, et qui se sont entièrement abandonnés à la vie, mettant fin à toute peur, à tout doute et à toute résistance. Car, comme vous le savez fort bien, la Vie ne peut jamais retourner à un être davantage que ce qu’il vibre et s’attire par son ouverture de conscience ou son degré d’expansion, donc par le taux vibratoire commun de ses pensées, de ses sentiments, de ses paroles et de ses actes.

danser-de-joieL’aspect le plus intéressant de la présente phase énergétique, c’est qu’elle vous élève sur une nouvelle bande fréquentielle ajustée au Monde nouveau. Du coup, votre être entier se tire d’une existence menée à la dure pour entrer dans une existence bien différence, soit dans une vie nouvelle, fraîche, douce et facile où vous obtiendrez plus de support que jamais des instances subtiles lumineuses. L’énergie va vous inculquer un nouveau rythme et vous apprendre une nouvelle manière de faire les choses désormais dépourvue de pression ou de tension.

Mais ce nouveau mode de vie vous appartient déjà, comme il vous a toujours appartenu, sauf que, par ce que vous avez purifié, dégagé, coupé et largué, il vous semblera plus naturel et vous en viendrez à l’accepter plus spontanément. Aussi, dès que vous commencerez à éprouver le moindre sentiment de contrainte, de limite, de complication, d’impuissance, de carence ou de pénurie, comme il ne s’agira plus que de séquelles d’illusions tenaces, résultant de vos nombreuses expériences difficiles et douloureuses en incarnation, vous gagnerez à faire l’effort conscient de changer les énergies de votre univers personnel, de les considérer pour ce qu’elles sont, des rémanences vaines, futiles et stériles.

Par exemple, si vous êtes porté à expédier les tâches que vous n’appréciez pas trop, parce qu’elles vous rebutent, vous pèsent ou vous empêchent de vous adonner à des activités plus intéressantes, de votre point de vue, vous pouvez changer votre perception en l’acceptant de plein gré, en vous rappelant que rien n’arrive par hasard, que tout sert à vous instruire sur vous-même, à vous apporter plus d’être. Vous le savez, ce n’est pas le terme d’un périple qui enrichit le plus, ce sont les diverses étapes qui y conduisent.

De ce fait, si vous continuez de faire tout ce qui vous déplaît à la hâte, en coupant les coins ronds, vous ne pouvez pas saisir le message qui vous est adressé, qui vous révèle une inadéquation à ajuster. Vous oubliez de vivre pleinement le moment présent dans les expériences agréables comme dans les expériences moins agréables ou définitivement désagréables, vous tentez de parvenir au terme de cette expérience particulière sans prendre trop conscience des étapes qu’elle comporte, de sorte que vous n’en développez pas la maîtrise.  Surtout, vous ne vous investissez pas dans votre tache avec amour, ce qui mine rapidement votre énergie et explique certains de vos moments de grande fatigue, en plus d’enlever toute valeur ascensionnelle à cette œuvre.

Alors, vous ne pouvez que vous douter qu’elle ne pourra que se répéter aussi longtemps que vous tenterez d’échapper à la leçon de vie qu’elle comporte, que vous bouderez la meilleure attitude à adopter dans cette situation particulière. Ne vaudrait-il pas mieux que vous l’abordiez dans l’amour et le détachement et que vous l’exécutiez de votre mieux, puisque, dans cet état différent, vous modifieriez vos vieux modèles de comportement et que vous vous aiguilleriez sur une voie plus sûre. Vous ne tarderiez pas à constater que, lorsque vous vivez une expérience dans le bon état d’esprit, la vie prend un autre sens : elle s’adoucit, elle devient plus intéressante, plus exaltante. La Vie vous porte au lieu de vous écraser, parce que, dépassant vos préventions, vous ne pouvez plus la subir.

Actuellement par moments, vous pouvez avoir l’impression de vous retrouver assis entre deux chaises. À l’intérieur de vous, les engrenages de la Grande Mécanique se retrouvent entre deux positions, c’est-à-dire que les roues dentées ne sont plus accouplées aux anciennes, mais qu’elles ne sont pas encore accouplées à de nouvelles, ce qui donne un grincement, résultat d’un raté, un peu comme cela se passe lorsque vous tentez de changer l’embrayage manuel d’une voiture, mais que vous n’y parvenez pas au premier mouvement.

Nous le signalons, parce que vous pouvez trouver là l’explication d’une irritabilité inhabituelle qui peut, parfois, vous entraîner temporairement dans un état de chaos : vous échappez des objets, vous vous heurtez à des meubles, vous vous blessez avec un instrument que vous tenez. Il ne s’agit pas d’une sanction, mais d’une alerte vous invitant à corriger sans retard votre manière d’embrayer, de sorte que tout puisse prendre un cours d’une nouvelle normalité, à la fois plus adéquat, plus doux, plus agréable, plus sécuritaire.

D’autre part, il nous faut commenter que, même s’Il s’est toujours produit des décès dans votre entourage. Les transitions des derniers mois revêtent une importance particulière parce qu’elles impliquent souvent des personnes qui ont joué un rôle d’une importance particulière dans votre passé. Ils ont pu vous prendre dans leurs bras lorsque vous étiez tout petit, vous accompagner dans votre vingtaine, vous guider ou vous assister lors des grands changements ou pivotements de votre processus d’expansion de conscience. Dans le présent contexte, lorsque des gens effectuent leur grand passage du monde terrestre à l’Au-delà, ils mettent un terme à une histoire commune, à savoir que vous n’aurez plus d’autres expériences à vivre avec eux. Ils ferment pour toujours le chapitre d’un partage de vie.

Très souvent, lors d’une telle épreuve, vous ressentez que certaines amarres qui vous entravaient encore dans votre navigation, sur le Grand Océan de la Vie, cèdent, de sorte que vous pouvez pousser plus loin au large. Évidemment, vous ne savez pas trop la direction nouvelle que vous prenez, ce qui peut vous rendre un peu insécure par rapport à celle qu’il vous faut prendre. Présentement, en gagnant plus de liberté, d’autonomie, d’indépendance, nombre de vos semblables se retrouvent dans ce même état de dérive. Ils se sentent perdus, esseulés, abandonnés, et ils tentent de s’agripper un peu à n’importe quoi, dans l’espoir de retrouver un peu de stabilité, un soupçon d’apparente certitude. Ils passent par un processus sans fin de guérison sans trop y parvenir. Ne sachant pas qu’ils ont atteint le Port depuis belle lurette, ils continuent de chercher, de s’activer, de s’occuper.

À vrai dire, dans la phase présente, votre plus grand besoin réside dans la nécessité de mettre un terme à votre dérive. Comment? En incarnant votre infinitude cosmique jusque dans votre plan physique de manière à revivre complètement, à prendre conscience de votre Réalité totale. Il s’agit là de l’unique manière de vous ajuster à votre Direction véritable. Vous saurez y être parvenu par le sentiment de confiance en vous et de liberté infinie que vous y gagnerez. Vous ne penserez presque plus à votre passé. Les voiles de votre navire vont se remplir d’une brise fraîche et vivifiante qui vous poussera de plus en plus vite dans la Bonne Direction.

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