Extraits tirés de la transcription de BIDI – partie-1, avril 2018

Alors aujourd’hui, je vais m’exprimer sur la suite logique du processus d’évidence de votre résurrection, tout en vous rappelant toutefois, qu’il existe aujourd’hui sur cette terre, d’innombrables lignes temporelles qui se chevauchent et se superposent aussi bien dans les relations qu’à l’intérieur de vous-même. Cela veut dire aussi que certains parmi vous vivent la résurrection sans savoir même de quoi il s’agit, si ce n’est que ces individus ressentent cette Joie à nulle autre pareille qui ne correspond à aucune circonstance ni à aucune perception de l’énergie ou de la vibration. Comme vous le constatez, la trame temporelle qui concerne le plus d’individus sur Terre est celle de la confrontation. Cela vous l’observez en vous, autour de vous mais aussi à l’échelon des pays, des états, des groupements, des associations. Bref tous les secteurs de vie de l’éphémère sont dorénavant impactés par ce processus de la résurrection.

Même en s’y opposant, même en l’ignorant parce que la personne et l’individu au travers de son ego, de son rêve d’individualité, sera toujours en résistance, en confrontation par rapport à ses désirs, ses souhaits et ses projections même au sein de l’éphémère.

Ceci étant dit, le déroulement de la résurrection pour nombre d’entre vous, certes moins important que ceux qui ont découvert la résurrection sans même savoir de quoi il s’agit, commencent à vivre la finalité du processus de la résurrection aboutissant, comme je l’ai expliqué, ici même en ce monde, à la présence plus ou moins constante de l’ensemble de ce qui constitue la conscience Une et Nue.

C’est-à-dire qu’au sein du théâtre de votre propre conscience, soit il existe seulement la conscience de l’ego, et où la trame temporelle sera le conflit, intérieur comme extérieur, particulier comme général et global. Il y a ceux, parmi l’humanité, qui suivent la trame temporelle des événements, constatant par le ressenti, par la mesure, par l’observation qu’il y a un immense changement sans pour autant avoir suffisamment d’intériorité pour le moment à mener à bien la finalisation de la résurrection et de l’Évidence, où là il ne peut y avoir de conscience Nue, et où donc se manifestera par intermittence, les réflexes de la personne. Car la personne, dans ses modes de fonctionnements habituels, n’a pas encore finalisé ou achevé le processus de la résurrection.

Pour ceux d’entre vous, dont la trame temporelle, est de finaliser la résurrection avant même l’Appel de Marie ou avant l’événement, vivent dorénavant une forme de complétude, d’aboutissement qui est bien plus que l’Évidence et la Joie, mais qui est le fonctionnement de manière simultanée des différents fragments de la conscience. Et c’est le fonctionnement simultané de ces divers aspects de la conscience qui débouche inéluctablement sur cette finalité qui est la conscience Une et Nue. Là où tout ce qui a trait à votre histoire, même personnelle, ne peut plus vous affecter, ni quelque événement survenant autour de vous, en vous comme sur le monde, ne peut que vous remplir de Joie. Car vous voyez à ce moment-là, au-delà des apparences, derrière les apparences, ce qui se joue en vous comme autour de vous.

Retenez que plus vous êtes nombreux à emprunter cette trame temporelle ultime, – celle de l’achèvement de la résurrection et de l’établissement permanent de la conscience Une et Nue au travers de votre corps et de votre personne – permet d’amplifier et de démultiplier à la fois la conscientisation collective de la présence de la Lumière mais aussi le déclenchement de l’événement. D’ailleurs, quelle que soit la trame temporelle que vous vivez, que cela soit par les injonctions de la Lumière, par la vibration ou par l’intermédiaire du contact avec la conscience Nue, tous sans exception se dirigent vers la réalité et la finalité de la résurrection.

À ce moment-là, vous vivez réellement et concrètement que vous êtes pure Lumière malgré la présence du corps opaque dense de cette dimension et malgré la présence plus ou moins résiduelle de votre conscience corporelle et de la conscience éphémère. C’est ainsi que la Légèreté, la Joie, le sourire, l’absence de questionnement, l’évidence de chaque minute de votre vie, quoi que vous en viviez, ne peut que vous remplir de satisfaction, de paix, d’absence de questions, d’interrogations, où vous laissez réellement la vie se vivre plutôt que de vivre votre vie.

Il y a réellement maintenant pour ceux qui ont finalisé la résurrection par le sacrifice conscient et lucide de chaque instant en tant que personne, il y a cette évidence : vous devenez alors en quelque sorte non plus seulement le témoin de la Lumière mais le témoin de la résurrection et de sa finalité. À ce moment-là et au-delà des transsubstantiations qui ont commencé, affectant bien évidemment non pas seulement votre conscience mais même votre structure du sac de viande, vous apportant la preuve pour vous comme pour votre environnement de la réalité de la Lumière, de la réalité de l’Éternité et avant tout de la réalité de l’Amour que vous êtes sans effort, sans attitude, sans réaction, libéré de tout passé, de tout conditionnement comme de tout avenir. Cela n’est pas un vain mot mais la stricte vérité que les injonctions de la Lumière vous conduisent déjà ou vous conduiront à vivre avec de plus en plus de certitude, de Légèreté, de sourire et de Joie. Il existe donc, on peut le dire, quelle que soit votre trame temporelle, individuelle comme collective qui existe sur la Terre, une forme de convergence claire, nette et précise qu’il vous est donné même d’observer, pas seulement dans votre vécu mais aussi sur l’écran de ce monde concernant l’action de ce qui fut nommé les Éléments, les changements, les bouleversements se produisant à tous les échelons de la vie. C’est dans ce moment qu’il faut vous rappelez que ce que la chenille appelle la mort, le papillon l’appelle résurrection.

Vous constatez tous, à différents stades, dans différentes strates, qu’existe en vous et surtout je dirais dans les phases ultimes, si je peux les nommer ainsi, de votre résurrection, que quel que soit ce qui se manifeste dans votre corps, dans votre vie, le plus souvent, le sourire et la Légèreté demeurent. C’est ainsi que vous apportez la preuve, non seulement à vous-même, mais aussi à tout regard extérieur, de la réalité de votre vécu et de votre transmutation.

La conscience Nue est installée au-delà de tout processus vibratoire par une aptitude naturelle dorénavant de ne plus exprimer le moindre doute concernant la dualité, le bien/le mal, l’amour ou pas l’amour, le vrai ou le faux. Parce que vous savez pour le vivre, dans ce cas-là, que tout ce qui est appelé « vrai » ou « faux » n’est que relatif à la situation éphémère. Il n’y a qu’une vérité c’est la Vérité absolue m’étant fin à toutes les vérités relatives ainsi que l’Archange Anaël vous l’avait expliqué longuement dans l’histoire de votre libération.

Chacun de vous, quelle que soit la strate qu’il explore, est tout à fait à même de constater, non pas le processus de la résurrection mais sa finalisation dorénavant. Et à ce moment-là, la Joie et l’Amour deviennent tellement habituels que vous ne les remarquez plus. Mais par contre, vous constatez une forme de légèreté nouvelle, la transsubstantiation de votre corps, la disparition de différentes manières des attachements, des habitudes, de tout ce qui faisait vos repères auparavant.

Vous n’avez plus besoin de repère ni de cadre car l’Amour et la Liberté vous fournissent l’ultime repère et l’ultime cadre. Il peut vous sembler d’ailleurs, par moments, éprouver une forme d’irréalité ou d’illusion réelle de ce monde dès l’instant où la conscience Nue n’est plus chevillée, c’est le cas de le dire, à ce corps mais vit la Liberté dans ce corps mais aussi hors de ce corps. Il ne s’agit pas ici de sortie du corps ou d’expérience hors du corps au niveau astral, mais bien plus de la translation des consciences qui étaient séparées au sein de cette conscience Nue, là où tout problème n’est plus un problème. La notion même de problème ne peut plus exister quoi qu’il arrive, même si c’est un problème, il n’est pas vu comme le problème qui arrive mais comme la solution qui est derrière. C’est une attitude de la conscience, une attitude de fonctionnement qui se fait naturellement. Vous n’avez pas à le forcer, il ne sert à rien de faire ou de pratiquer un positivisme mental mais simplement d’être lucide, honnête et clair avec vous-même.

Clair avec soi-même aujourd’hui, c’est simplement accepter ce que la vie vous présente sans aucune restriction même si parfois il peut être nécessaire d’agir au niveau de l’éphémère. Mais vous savez pertinemment à ce moment-là, pour le vivre en chaque circonstance, que l’Éternité prend réellement toute la place. Rappelez-vous que cette légèreté nouvelle en même temps qu’un sentiment de perdre les limites du corps, – je ne parle pas ici de ce que j’avais évoqué à savoir la perception d’un deuxième corps plus ou moins mobile, c’est-à-dire le corps d’Éternité –, mais bien plus un affranchissement de plus en plus large même par rapport à ce corps d’Éternité. La conscience devient réellement nue, indépendante de votre forme actuelle comme indépendante même de votre forme future. Là est la vraie Liberté, quelle que soit votre trame temporelle, quelle que soit votre assignation, quels que soient vos choix.

L’évidence de la Lumière, l’évidence de la Grâce, l’évidence de votre résurrection doit occuper votre temps, votre conscience, vos journées et vos nuits, que vous le vouliez ou non. Ce processus est normal, même si cela aboutit dorénavant, non plus à des injonctions de la Lumière pour ceux qui sont le plus avancés sur cette trame temporelle mais bien plus une capacité à ne plus être figé dans un cadre, dans une forme, dans une définition, dans les habitudes de ce monde ou dans quelque élément concernant un futur. Parce que pour ces individus, ces frères et ces sœurs-là, en quelque sorte, si je peux dire, l’événement a déjà eu lieu. C’est lui qui est responsable de cela. Mais rappelez-vous que ce sont des trames temporelles et que certains ont, dans ces trames temporelles, quelques souffles d’avance sur la réalité collective. Pour ceux qui vivent cette finalisation de la résurrection, et dont le sourire est omniprésent, quoi que dise le corps, quoi que dise le monde, quoi que dise la société et quoi que disent les habitudes, vous êtes réellement non seulement libérés mais affranchis de la forme…

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