Par Yvan Poirier

Salutations Chers Frères et Sœurs de la Lumière UNE,

Sur plusieurs réseaux de communication en matière de spiritualité, d’ésotérisme et de croyances qui se veulent utopiques, je vois ici l’opportunité de vous donner mon point de vue à l’égard de ce qui est appelé « La Nouvelle Terre ».

Ainsi, j’aimerais vous offrir de comprendre par une nouvelle perspective ce que représente cet adage vis-à-vis l’au-delà de ce terme et de son Principe multidimensionnel qui est bien différent dans ce que nous lisons, entendons ou voyons dans des lectures ou des vidéos où chacun proclame sa perception d’un soi-disant « Nouvelle Terre »!

Dans ce contexte, j’aimerais, plus particulièrement, vous référer à une vision tout à fait scientifique de l’Illustre Dre et Astrophysicienne Giuliana CONFORTO que j’admire au plus haut point. J’aime beaucoup son approche scientifique et spirituelle qui nous révèle des Vérités qu’elle explique avec beaucoup de simplicité, tout en étant métalogique.

Voici donc un bref résumé de quelques extraits de son livre « Le Petit Soleil » à travers lequel elle nous donne comme point de vue face à la vision d’une « Nouvelle Terre intérieure ». Toutefois, sa vision est à la fois, scientifique et spirituelle, à partir du Noyau Cristallin intraterrestre ou Central de la Terre qui a été découvert et prouvé depuis déjà plusieurs années. Cette vision intérieure peut, sensiblement, nous faire découvrir l’Évidence intérieure de cette « Nouvelle Terre », voire ce Noyau Cristallin qui a vécu sa Libération en 2011 et qui vit, en ce moment même, son Ascension.

Voici donc quelques extraits issus de son livre :

« Nous savons que les humains n’ont jamais parvenu à comprendre ce qui se passe en dessous du manteau terrestre, ni dans l’atmosphère au dessus de sa tête, car nous sommes entourés par ce que nous nommons les ceintures de Van Allen, qui ne nous permettent pas de voir ce qu’il y a au-delà et ce qu’elles nous cachent.

Nous sommes confinés dans une sorte de pomme. Nous visons non pas dans son cœur (la zone autour des pépins) mais dans la pulpe du fruit. Nous ne savons donc pas ce qu’il y a au cœur de la pomme, ni au-delà de sa peau. Mais ce qui est important, c’est que nous savons que l’espace extérieur est constitué de la magnétosphère, et que cette dernière est le résultat de l’activité du cœur intérieur de la terre.

Nous savons aussi que cette magnétosphère est constituée de plasma. Le plasma est un matériel fluide très dense. La magnétosphère est donc décrite comme une sorte de ceinture qui se comporte comme un miroir constitué de ce plasma radioactif. Nous ne pouvons donc pas voir au-delà du miroir, mais nous ne voyons que la face du miroir dans lequel nous regardons. Nous voyons donc simplement ce que le miroir nous montre.

En réalité la magnétosphère est constituée de multiples couches de miroir (comme les ceintures de Van Allen qui sont multiples), de 700 à 25 000 km de hauteur. Les anciens astronomes les avaient appelées les sphères de cristal. Ils se basaient sur l’astronomie de Ptolémée qui était l’antithèse de l’astronomie Copernicienne. L’astronomie moderne donc Copernicienne, utilise des télescopes qui ne parviennent pas non plus à franchir la magnétosphère.

En réalité, ils ne font qu’observer l’intérieur du miroir. Mais elle est parvenue à l’aide de sondes, à passer dans ces fameuses ceintures. Elle a découvert une sorte de zone de cristal liquide qui forme les couches externes de ces champs de Van Allen.

Donc dès que nous observons le ciel étoilé, nous regardons véritablement dans un miroir, non seulement dans un miroir, mais dans de multiples couches de miroirs. Et ces couches de miroirs nous montrent alors nous-même, sous notre forme véritable (énergétique). Ce que nous croyons voir, c’est ce que la science nous a obligé à croire. C’est-à-dire la séparation entre les planètes alors que la réalité est que toutes les planètes sont imbriquées les unes dans les autres.

Dans ce contexte vis-à-vis la magnétosphère, l’héliosphère est une “salle aux miroirs”, composée de cristaux liquides, confinés par des champs magnétiques, à même de refléter d’infinies images d’un même corps. Si les champs magnétiques changent, les miroirs et les images se déplacent… C’est la révélation que nous n’avons pas observé des corps réels, mais uniquement leurs “ombres”, comme disait Giordano Bruno, à savoir leurs images qui peuvent être agrandies et déformées par le fait que les “miroirs” sont courbés et capables même d’échanger le temps avec l’espace.

Mais à cause de la courbure des miroirs, nous les voyons isolées, localisées, parce que nous croyons qu’elles sont séparées par des distances. Cela est comparable à la lumière blanche diffractée par un prisme, qui se sépare en différentes couleurs. En réalité, les différentes couleurs sont issues de la même lumière. L’illusion vient du fait que nous croyons qu’il existe un espace qui sépare les couleurs, nous croyons à l’image que nous voyons dans le miroir.

Cette même illusion se répète lorsque nous regardons le ciel, car nous croyons que les planètes sont séparées par l’espace, alors qu’en réalité elles sont imbriquées les unes dans les autres par une géométrie multidimensionnelle. Kepler a essayé d’expliquer cela en disant que nous ne sommes pas dans un univers à trois dimensions ou un espace à deux dimensions,mais nous sommes comme le prétendait Einstein également, dans un espace à géométrie multidimensionnelle.

Ce que nous voyons est une projection multidimensionnelle de notre réalité, les planètes de notre système ne sont pas du tout si distanciées que nous pourrions le croire, mais elles nous semblent séparées à cause de la différence et de la succession de radiofréquences dues à la différence de composition de leur couche minérale. Elles ne sont donc pas séparées, mais le semblent, à cause de leur différence de fréquences; comme lorsqu’on se contemple dans les trois miroirs de l’armoire de toilette d’une salle de bain qui nous reflètent quasiment à l’infini.

Donc lorsque nous observons le firmament étoilé, nous ne voyons pas la réalité. Mais nous nous regardons dans un miroir multidimensionnel formé de plasma, qui nous reflète en infiniment de fois, dans d’infinies quadri-couches dimensionnelles. Nous voyons « l’ensemble » de la terre se composant de plusieurs couches, qui sont les planètes que nous croyons voir dans le ciel. Nous voyons alors les images d’une illusion, simplement parce que nous croyons qu’il s’agit de la réalité. Ce que nous voyons comme des objets séparés dans le ciel, tels les planètes et le soleil, ne sont pas là où nous les voyons, mais nous ne voyons qu’une projection en quadruple dimensions, d’images plasmatiques multidimensionnelles.

L’énergie primordiale qui engendre le mouvement de ces images projetées sur cet écran d’images, est produite par le cœur, le noyau de la terre, le petit soleil cristallin. Alors ce qu’on nous dit depuis toujours est complètement faux. On nous dit que nous recevons l’énergie par les rayonnements solaires qui proviennent du soleil situé très loin de la terre et que nous devons apprendre à utiliser efficacement ce rayonnement, cette énergie.

Mais en réalité le soleil que nous voyons n’est que image reproduite du vrai soleil qui se trouverait au centre de la terre. Ce qui sous-entendrait aussi que nous-même avons « tout » à l’intérieur de nous, une sorte de soleil intérieur qui alimente le courant de la vie, notre réalité humaine et notre réalité spirituelle. Effectivement, mais nous parlons d’abord de ce que nous savons de notre réalité matérielle. Le point clé est que nous ne savons pas ce que signifie notre réalité matérielle, nous ne savons pas ce qu’est le temps, nous ne savons pas ce qu’est l’espace parce que nous sommes installés dans une salle aux miroirs.

Notre réalité est un espace formé de multiples miroirs, donc de multiples illusions. Nous ne savons pas ce qu’est le temps. Nous pensons toujours que le temps est une flèche linéaire qui se dirige dans une direction et qui continue indéfiniment dans cette même direction, jusqu’à une fin qui par exemple peut être la mort ou autre chose… 

Mais en réalité dans notre vie, nous expérimentons plusieurs sortes de temps, par exemple le moment de la conception, le moment de l’orgasme, les sécrétions hormonales…, qui représentent toutes des événements de durée très courts, qui dans un milliardième de seconde peut générer une quantité incroyable d’informations, dont celles des informations génétiques qui sont transportées à ce moment-là.

Alors la vie s’imprime, se manifeste elle-même, par exemple au moment de la conception en de très court clin d’œil. Il s’agit donc d’un tout autre rythme par rapport à ces milliards de formes de flèches ou lignes de temps, qui nous rendent dépendant par exemple des crises financières, du chômage et toutes ces choses… qui dépendent de notre perception linéaire du temps. Mais nous ne savons toujours pas ce qu’est le temps.

Nous avons le cerveau le plus complexe de tous les animaux. Nous avons un potentiel intérieur, une sensibilité intérieure pour savoir sans voir, sans utiliser de paroles, sans reproduire des expériences extrêmes. Nous pouvons apprendre par l’expérience intérieure, la perception, le ressenti qui ne nécessitent pas toujours de vraies expériences.

Le soleil intérieur est le premier vecteur de mouvement, le moteur primordial de toute forme de vie qui se manifeste dans le monde visible. Il est aussi ce vecteur dans le monde invisible, que nous ne voyons pas, mais que nous pouvons ressentir. Cela signifierait tout d’abord que nous avons tout en nous, comme le système solaire qui se trouverait à l’intérieur de la terre. Il serait donc inutile de chercher des solutions à l’extérieur de nous, mais nous devrions retourner en notre intérieur pour en trouver?

Nous devrions plutôt nous situer au milieu. Nous devrions reconnaître que nous sommes les protagonistes, les créateurs de notre monde intérieur, et reconnaître que le monde extérieur est le miroir de nos convictions. Donc si nous voulons participer à la transformation de l’univers, nous devons laisser tomber nos certitudes, toutes nos vieilles croyances et tous nos concepts. Principalement toutes nos vieilles convictions.

Nous devons apprendre à acquérir cette force d’expansion par l’expérience. Ce qui signifie que nous ne pouvons pas être heureux. Nous ne pouvons pas « devenir heureux », tant que tout le monde n’est pas heureux. Nous serons heureux, seulement lorsque la société sera capable de puiser l’infinité de ces ressources en elle-même. Lorsqu’il n’y aura plus d’armées, plus d’armes pour nous faire mutuellement la guerre. Mais si nous reconnaissons que nous sommes Un, l’unité, une seule terre, un seul monde, et que nous voyons la différence seulement parce que nous regardons dans un jeu de miroir, et que nous sommes le centre de ce monde… nous serions heureux.

Nous sommes un monde unique interdépendant de beaucoup d’autres mondes. Nous sommes dans ce monde, mais nous ne…. Ce que nous pouvons conclure, c’est que si nous voulons participer à cette transformation, nous devons reconnaître et accepter que nous existons dans tous les mondes à la fois. Ce qui sous entend que la séparation entre terriens et extraterrestres, n’est elle-même aussi qu’une illusion. En réalité les extraterrestres n’existent pas à l’extérieur de notre monde, parce qu’il existent au travers des trous noirs, dans chacune de nos cellules, etc. »

Dans le même contexte, j’ai pensé vous référer à une vidéo qui rassemble plus largement l’information écrite dans le texte précédent :

[youtube v= »zVnHZKPVdlo »]

 

Avec tout mon Amour!

À SUIVRE…

  

Ce SÉMINAIRE est actuellement en direct et en replay ICI…

[do_widget id=text-96]