Une eau biocompatible est une eau non désinfectée chimiquement, elle sera filtrée mécaniquement ou de source.
L’eau biocompatible est une notion qui a été lancée par Joseph Országh en 1995 sur la base des critères de la Bio-électronique Vincent. C’est une eau potable répondant à d’autres critères que l’eau légalement potable, et dont la consommation prolongée ne peut en principe porter de préjudice à la santé. Une eau biocompatible n’est jamais obtenue par désinfection chimique. Elle est faiblement minéralisée (contenant de 10 à 250 mg/l de sels minéraux), légèrement acide et possède un caractère redox indifférent ou légèrement réducteur, jamais oxydant (par rapport à l’eau chimiquement pure).

Par exemple, l »eau de pluie est biocompatible après micro filtration, l’eau de source est naturellement biocompatible.

Extrait de boire de l’eau biocompatible


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Trouvé sur La Source Vitale


C’est donc au cours des années 90 que ce processus, par lequel s’hydrataient les cellules, fut découvert. Parallèlement, les études entreprises déjà depuis fort longtemps par le Dr Coanda puis par le Dr Flanagan, sur les Hunzas, ont démontré que c’était leur eau de consommation courante, provenant des glaciers voisins, qui leur assuraient la longévité qui les rendit célèbres.

Cette eau était en effet dotée de caractéristiques hors norme puisque remplie de ces fameux nanocolloïdes, ces minuscules sphères cristallines possédant une haute charge négative et dont le principal intérêt est de diminuer très fortement la tension superficielle de l’eau. Nous avons vu qu’une eau ordinaire présentait habituellement une tension se situant aux alentours de 70 dynes/cm, alors que l’eau des Hunzas n’était plus qu’à 42 dynes/cm, rendant possible une hydratation en profondeur des cellules puisque cette eau à faible tension pouvait franchir la barrière lipidique des membranes.

La consommation d’une telle eau implique une conséquente amélioration de l’absorption des nutriments par la cellule, en l’occurrence multipliée par trois. D’autre part, puisque la cellule est mieux nourrie, la sensation de faim à l’origine de nombreux problèmes de surpoids disparaît. Enfin, cette eau très circulante emporte jusqu’à soixante quatre fois plus de toxines et de déchets qu’une eau ordinaire et, au-delà du bénéfice que l’on peut en retirer au plan de la santé, cela a pour effet de libérer progressivement des zones de cellulite et de supprimer l’aspect capitonné de la peau.

Autre particularité exceptionnelle de l’eau des Hunzas, elle contient des ions H- en grande quantité, c’est-à-dire un hydrogène ionisé qui protège le corps contre les dommages provoqués par les radicaux libres, et cela sans entraîner aucune cascade radicalaire comme le font les autres antioxydants. De plus, il faut savoir que l’hydrogène joue un rôle important dans les réactions cellulaires productrices d’énergie. Ainsi, une eau riche en ions H- permet-elle non seulement aux performances physiques d’être améliorées, mais aussi au terrain biologique de réajuster ses déséquilibres et de s’orienter sur un axe alcalin/réducteur limitant l’oxydation dans l’organisme.

Enfin, l’apport massif d’électrons soutenu par l’hydrogène stimule la qualité de la communication intercellulaire. Les échanges d’information entre les milliards de cellules de l’organisme sont ainsi dynamisés pour une interactivité optimale.

Extrait de http://hunzas.blogspot.com/