Traduction : SOTT
Étant donné le fort état d’intoxication dans lequel se trouve la plupart des gens, l’évolution rapide de l’environnement dans lequel nous vivons, et la capacité incroyable de l’iode à renforcer la santé des gens et améliorer leur vie, j’ai décidé d’écrire le résumé qui suit sur la supplémentation en iode en guise d’introduction au sujet. Les informations présentées ici se fondent sur les recherches préliminaires disponibles sur ce fil du forum de discussion concernant l’iode et sur les livres Iodine: Why You Need It, Why You Can’t Live Without It [« L’iode : pourquoi vous en avez besoin et pourquoi vous ne pouvez vivre sans », ouvrage non traduit en français – NdT] (5e Édition) du Dr Brownstein, et The Iodine Crisis [« La crise de l’iode », ouvrage non traduit en français – NdT] de Lynne Farrow.
L’iode est un micronutriment essentiel. Cela signifie que chaque cellule de chaque individu en a besoin. Les biologistes évolutionnistes estiment que la consommation de poissons et fruits de mer, et donc l’absorption d’iode, a joué un rôle important dans le développement cérébral humain et l’évolution. L’iode possède également d’excellentes propriétés antibactériennes, anticancéreuses, antiparasitaires, antifongiques et antivirales.
Malheureusement, la carence en iode dans la population générale est d’une proportion pandémique dans notre monde moderne en raison du fait que les toxines environnementales comme le bromure, les pesticides et les additifs alimentaires supplantent l’iode dans notre corps. Les techniques agricoles modernes ont également abouti à des sols appauvris en iode et autres minéraux. Ainsi, les cultures ayant poussé sur un sol appauvri en iode manquent d’iode.
Certains régimes et modes de vie peuvent également prédisposer une personne à développer une carence en iode. Ceux qui mangent beaucoup de produits boulangers (pain, pâtes, etc.), qui contiennent des quantités élevées de brome, sont à risque. De même que les végétariens et ceux qui n’aiment pas les produits de la mer ou le sel.
Selon le Dr Brownstein, auteur du livre Iodine: Why You Need It, Why You Can’t Live Without It, environ un tiers de la population mondiale vit dans une région de carence en iode. Lui et d’autres chercheurs ont testé des milliers de personnes et ont abouti à des résultats concordants : approximativement 96 % des patients testés manquaient d’iode. L’Organisation Mondiale de la Santé a reconnu que la carence en iode est l’unique plus grande cause évitable au monde de retard mental. La carence en iode a été identifiée comme un important problème de santé publique dans 129 pays et jusqu’à 72 % de la population mondiale souffre d’un trouble de carence en iode.
Les maladies suivantes sont liées à une carence en iode :
- cancer du sein
- cancer de la thyroïde
- cancer des ovaires
- cancer de l’utérus
- cancer de la prostate
- maladies thyroïdiennes auto-immunes
- hypothyroïdie
- maladie fibrokystique du sein
- TDAH
- fatigue chronique
- fibromyalgie
En outre, l’iode a été utilisée pour traiter les troubles suivants :
- TDAH/TDA
- athérosclérose
- pathologies mammaires
- contracture de Dupuytren
- production excessive de mucus
- mastoses
- goitre
- hémorroïdes
- maux de tête et migraines
- fibromyalgie
- fatigue chronique
- hypertension
- infections
- chéloïdes
- maladies hépatiques
- syndrome néphrotique
- maladie de l’ovaire
- lithiase salivaire
- maladie de La Peyronie
- maladies de la prostate
- kystes sébacés
- troubles de la thyroïde
- infections vaginales
- syphilis
- fibrome utérin
- empoisonnement aux métaux lourds (mercure, plomb, arsenic)
- scarlatine
- bronchite et pneumonie
- obésité
- dépression
- douleur mammaire
- eczéma
- malaria
- maladies génito-urinaires
- rhumatisme
- amygdalite
- toux
- maux d’estomac
- confusion mentale
- allergies
- irrégularité menstruelle
- infection des gencives
- psoriasis
- arythmie cardiaque
- cholestérol élevé
- constipation
- cheveux fins
- diabète de type 2
- problèmes oculaires
- reflux gastro-œsophagien
- sclérose en plaques
- gastroparésie
- prolifération bactérienne de l’intestin grêle
- etc., etc. !
Le vaste échantillon de troubles améliorés grâce à une supplémentation en iode est un grand indice de l’importance de ce nutriment et de sa carence généralisée.
Selon Lynne Farrow, auteur de The Iodine Crisis, l’usage médical de l’iode remonte à 15 000 ans. C’était le premier traitement de choix au 19e siècle pour les tumeurs et les maladies agressives d’origine obscure. Farrow affirme aussi que la notion selon laquelle le sel raffiné iodé suffit à satisfaire nos besoins journaliers a été l’idée fausse la plus dangereuse à propos de l’iode. Selon les recherches de Farrow et Brownstein, seul 10 % de l’iode contenue dans le sel est au mieux absorbé. Aujourd’hui, la plupart des gens évitent le sel raffiné en raison de soucis de santé et de l’idée fausse que le sel (de n’importe quelle sorte) est mauvais pour la santé cardiovasculaire.
L’apport journalier recommandé pour l’iode est de 150 μg (microgrammes, c’est-à-dire 0,15 mg), un calcul établi sur la quantité d’iode dont la glande thyroïde a besoin pour éviter le goitre. Les besoins d’autres organes ne sont pas pris en compte dans ce nombre. De plus, les effets des polluants courants qui bloquent la fixation de l’iode introduits au siècle dernier n’ont jamais été pris en considération dans ce calcul.
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