par Brenda Hoffman

Vous avez probablement découvert qu’en dépit de vos meilleures tentatives, vous vous sentez quelque peu accablé par les activités des Fêtes. C’est ainsi parce que non seulement vous remplissez vos engagements 3D, mais vous permettez, voire encouragez de nouvelles compétences et de nouvelles orientations en vous.

Ce que vous ne savez pas encore, c’est que vous allez probablement ressentir plus de joie que prévu au cours des prochains jours. Il en est ainsi parce que vous avez escaladé et conquis la montagne de culpabilité, de honte, de manque d’amour-propre et de peur qui était votre être 3D, vie après vie. Au lieu de souhaiter et d’espérer, vous commencez à ressentir le besoin de changer, de créer des expériences qui répondent mieux à vos besoins intérieurs.

Même si vous vous êtes préparé pendant des mois, des années, voire des décennies, ce n’est que récemment que vous avez permis à votre être intérieur de vous diriger. Car vous avez cru toute votre vie que vos directives dépendaient de ceux qui étaient plus sages ou plus riches que vous.

Cela ne veut pas dire que vous êtes complètement libéré des diktats de la 3D, mais que vous vous interrogez bien au-delà de ce que vous avez toujours fait. Vous n’êtes plus prêt à apaiser quelqu’un à vos dépens – émotionnellement ou physiquement.

Vous êtes prêt à créer votre nouvelle vie. Une vie qui peut inclure ceux qui vous sont chers – ou pas. Vous êtes un nouvel être dans un nouveau corps physique.

Une telle déclaration ne semble peut-être pas si importante aujourd’hui. Mais au fur et à mesure que vous vous adapterez à de nouveaux besoins, vous comprendrez de quoi nous parlons. Votre besoin de créer une nouvelle vie est un peu différent de ce qui était vrai lorsque nous vous avons suggéré d’explorer l’amour-propre.

La phrase en trois dimensions de l’amour-propre avait peu de sens pour vous jusqu’à ce que vous commenciez à vivre dans l’amour-propre.

Il en est de même pour vos créations. Vos premiers souhaits créatifs portaient peut-être sur des objets qui vous propulseraient dans votre domaine social – une nouvelle voiture, une maison, une télévision plus grande, etc. C’était jusqu’à ce que vous commenciez à remettre en question le besoin des autres, celui de ne pas être ignoré, blâmé ou humilié.

Au lieu d’accepter les « coups de poing » comme faisant partie de votre vie habituelle, vous avez ressenti le besoin de répondre, de dévier, d’ignorer ou de partir.

C’est le cas maintenant. Vous êtes en train de passer du plaisir de faire plaisir à tout le monde à savoir qu’avant de pouvoir vraiment plaire à tout le monde, vous devez vous plaire à vous-même. Pour votre bonheur, votre joie est votre lumière. Il en est ainsi parce que de plus en plus d’êtres de la terre sont fatigués de l’humeur, de la colère, de la violence physique, de la trahison, de l’arrogance, et de tous les autres éléments qui encouragent les gens à se sentir moins qu’ils ne le sont en réalité.

D’autres commenceront à remettre en question votre joie.

Même si vous n’avez pas encore déterminé d’où vient votre joie, vous le saurez bien assez tôt. Car votre joie dépend de votre liberté de pensée et d’action. Pendant que vous laissez couler ces morceaux, votre joie se répandra à travers et autour de vous.

Vous êtes votre propre gourou, ce qui signifie que personne d’autre que vous ne peut vous rendre triste ou heureux.

Alors que vous revendiquez les énergies qui martèlent maintenant la terre, vous déciderez que la tristesse n’est plus votre amie. Et que malgré les récits de peur et de colère des autres, tel est leur choix, pas le vôtre.

Jusqu’à présent, vous avez eu besoin de ressentir, puis de répondre aux peurs et à la colère, en écartant vos joies au profit des malheurs des autres. « Comment puis-je être joyeux si mon ami souffre ? »

Au lieu d’accepter que votre joie est un outil de guérison plus important que la sympathie envers les malheurs ne peut l’être, vous avez compromis votre joie pour répondre aux besoins des autres.

Si tout le monde crée sa vie – et c’est ce qu’ils font – pourquoi avez-vous besoin de jouer leur jeu au lieu du vôtre ? N’est-ce pas plus amusant de jouer que de pleurer ?

Enfant, votre meilleur ami était le plus souvent quelqu’un avec qui jouer et parler. Ce n’est donc plus le temps de faire l’inverse. Car vous êtes dans un nouveau rôle et dans un temps nouveau.

Peut-être que les amis et la famille qui continuent à ressentir le besoin de peur et de douleur voudront être avec vous – ou non. Ce n’est pas votre décision – c’est la leur. Tout comme vous déclarez maintenant que vous êtes libéré de la peur.

Beaucoup d’entre vous se demandent ce qu’il faut faire ou dire à ceux qui souffrent de maladies physiques ou de stress émotionnel. Que voulez-vous dire ? Voulez-vous les consoler ? Quitter la relation ou aider à la réparer émotionnellement ou physiquement ?

Le seul choix que vous n’avez plus est d’essayer de les réparer à vos dépens.

Car vous n’êtes plus disposé à les calmer, à les dorloter ou à prendre soin d’eux s’ils ne sont pas disposés à prendre soin d’eux-mêmes. Tel sera votre facteur décisif. S’ils souhaitent que vous reniez votre vérité pour prendre soin d’eux parce qu’ils ont trop peur, qu’ils sont trop paresseux ou qu’ils craignent de le faire pour eux-mêmes, vous ne serez pas intéressés à faire avancer cette relation

Certains d’entre vous craignent qu’une telle affirmation indique que vous êtes égoïste et asocial. L’inverse est vrai pour vous, car vous vous revendiquez dans un nouvel environnement de joie. Il s,agit de quelque chose que vous avez planifié et auquel vous vous êtes consacré pendant des éternités.

Tu es libre et tout le monde l’est aussi.

Combien de fois vous attendez-vous à ce que les autres prennent soin de vous ? Il est fort probable que vous – en raison de vos forces – ayez été le gardien désigné d’un grand nombre de ceux que vous avez dans votre cœur. Mais ce n’est pas différent d’un parent qui protège son enfant de toute douleur et qui le pousse soudainement dans le monde en s’attendant à ce qu’il fonctionne dans un monde rempli de peur et d’échec.

Vous, les précurseurs, vous êtes les guides joyeux de ceux qui veulent suivre. Prendre soin de leur douleur ne vous aide pas – et crée certainement de la peur chez eux, car ils réalisent qu’ils ne peuvent pas être comme vous. Car ils continueront à avoir des peurs en 3D sans savoir comment éradiquer ou compléter leur processus de nettoyage comme vous deviez le faire avant de découvrir l’amour-propre.

Vous n’êtes pas égoïste ou craintif. Vous êtes l’exemple de joie qui ne fera que se renforcer lorsque vous déclarerez votre liberté d’être et la même pour tous. Qu’il en soit ainsi. Amen.

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Traduction la Presse Galactique