Ce n’est encore là qu’un début. Trop fastoche, direz-vous ? On vous le concède, se débarrasser de tant de détritus et d’objets encombrants n’est pas un sacrifice pénible.
Mais maintenant, il faut faire un pas de plus. Il faut un acte de conscience si l’on veut se laver de l’affront fait à notre divinité intérieure.
D’abord, si vous le voulez, occupons-nous de cette chose terrifiante qui a pour nom « carte d’identité nationale ». Comme on ne peut pas la détruire au risque d’encourir le courroux de l’autorité fasciste d’occupation, il faut la réduire à ce qu’elle est : un marquage pour le bétail.
Alors, d’un mouvement de conscience, on l’efface magiquement. La police n’y verra que du feu. La photo et la puce sont encore là. Ils ne verront pas que vous venez de passer dans une autre dimension où il leur sera très difficile de vous identifier.
Invention de la révolution française, inconnue des civilisations précédentes, la carte d’identité va évoluer naturellement vers la puce de traçage. L’origine d’une chose indique ce qu’elle deviendra.
La carte d’identité nationale est l’annulation de votre identité céleste.
Avec la nationalité française, vous abandonnez une lourde entrave intérieure. Ce n’est pas un blasphème puisque cette nationalité est l’invention de « notre grande révolution » comme disait Rothschild, et plus anciennement des rois pillards de la Bretagne, de la Provence et de l’Occitanie (ces Philippe le Bel « qui ont fait la France » avec l’aide de l’Inquisition). En abandonnant cette chaîne en conscience, vous quittez à la fois le Grand Orient et la Fille aînée de l’Église. Vous faites d’une pierre deux coups. Cet acte magique aura des répercussions stupéfiantes sur votre âme qui s’émancipera à la fois du Vatican et de l’Elysée. Pas mal, pour un début, non ?
Vous échappez symboliquement à la sainte Inquisition et au ministère des finances qui, lui, continuera à vous harceler un peu, mais si vous avez la foi dans votre révolution intérieure, il se créera un espace où il deviendra plus difficile de vous approcher. Vous devenez quasi invisible en abandonnant votre identification avec les autorités terrestres. Vous changez d’obédience existentielle.
Comme la nature ne connaît pas le vide, votre âme va se trouver naturellement reliée à une autre nationalité, votre véritable identité. Extérieurement, vous continuez à être un bon citoyen français – pâle ou bronzé – mais intérieurement vous commencez à quitter le vortex.
Il faut savoir ce que l’on veut. Soit vous continuez à vous identifier à votre statut de citoyen européen des États-Unis du monde, soit vous sortez du jeu et vous prenez une nouvelle nationalité. Pas besoin de papiers. Surtout pas de papiers ! Pas besoin de casier judiciaire ni d’enquête de moralité. Juste un acte de conscience et exit la République maçonnique !
Vous levez le Saint-Siège par la même occasion. Alors, l’Ordre Mondial aura du mal à vous rattraper.
Après cette seconde phase de déconditionnement conscient, les choses se corsent. Il faut quand même vous en avertir. Les deux phases précédentes, l’abandon de la culture parasitaire et de la nationalité de déportation sont assez faciles à dépasser – quoique pas pour tout le monde. Mais vous pouvez le faire.
Maintenant, après avoir vidé la corbeille philosophique et culturelle, et après avoir purifié le miroir de notre citoyenneté galactique, il faut faire le grand saut : la conversion de notre humanité en un être céleste. Bon, il y a déjà moins de candidats. Pourtant, ce n’est pas si difficile à comprendre en théorie, quoique malaisé à réaliser pratiquement, convenons-en. Il faut laisser tomber le statut d’humain mortel dont on nous a affublés comme un pyjama rayé avec un matricule.
Imaginez que dans votre jeunesse, vos éducateurs aient été des êtres lumineux, sérieusement préoccupés de l’éveil de votre réelle individualité au lieu de n’avoir pour objectif que votre adaptation à la folie sociale. Prenons ça comme une simple hypothèse de travail car nul d’entre nous n’a reçu une éducation juste. Ces véritables éducateurs auraient mis en avant notre nature spirituelle au lieu de nous faire descendre d’un singe comme l’enseigne la République. Mais puisque le mal est fait et que nous voilà identifiés à ce sac de chair et de sang qu’on appelle le corps, nous pouvons essayer de changer notre façon de voir. Qu’avons-nous à perdre ?
Rien d’autre qu’une image dévalorisante de nous-mêmes. Il est important d’avoir une image gratifiante, céleste de nous-mêmes.
Il faut que vous sachiez la vérité sur votre origine véritable. Le singe ou la paramécie n’ont rien à voir là-dedans. Si vous mettez de côté la culpabilité, vous verrez que vous êtes une sorte de dieu, certes un peu mal en point dans les conditions actuelles, mais qui, si on lui rafraîchit la mémoire, pourrait ressentir à nouveau le souffle de son être réel. Cela sera d’autant plus facile que vous aurez rejeté l’identification à la culture imposée dans le monde de la déportation. Si vous n’avez pas vidé la corbeille, ça devient beaucoup plus dur à comprendre. Refaites un clic. C’est si bon.
Quelle nouvelle identité ?
Donc, osez vous prendre pour ce que vous êtes, non un surhomme ou un sous-homme, mais un être d’extraction céleste. Un ange ? Pas exactement, car un ange n’est que la fonction qu’il doit accomplir, sans autre choix. Mais si tel est votre désir…
Homme, ange, dieu, rien de tout cela n’est satisfaisant. A vrai dire, ce ne sont que des mots sur lesquels on a plaqué des images surannées.
L’humaniste a le culte de l’homme et le spiritualiste a le culte de l’ange. D’autres parlent du dieu, mais il ne faudrait pas exagérer, car un dieu est un être quand même très spécial, capable lorsqu’il tourne mal, de devenir un super démon.
Nous aussi, nous avons mal tourné, mais nous n’avons pas pour autant acquis la puissance d’un dieu délinquant. Nous serions plutôt d’une race à part, entre l’ange et le dieu. On nous a dit que nous sommes humains, mais cela n’est pas satisfaisant car personne ne peut identifier l’homme réel, à moins de le comparer à l’ange, au dieu ou aux êtres élémentaires de la nature. Faites votre choix.
Il est donc possible que nous soyons ici-bas pour faire un choix. Que voulons-nous devenir ? Avec leur sagesse à trois sous, les sophistes répondent qu’il faut devenir ce que l’on est. Il y a des gens qui se croient malins après avoir dit ça.
On a parlé du Soi mais c’est tout aussi nébuleux que l’ange, et ceux qui se gargarisent avec cette sagesse doivent reconnaître à l’expérience qu’elle est devenue stérile, par abus de langage. Libération, réalisation, éveil, illumination, etc. sont des mots qui masquent difficilement leur origine hindoue. Or, l’Inde n’a pas à se vanter en matière de libération, car le caractère vénérable de sa sagesse n’est plus un critère de vérité dans le présent.
Laissons au Nouvel Âge les anges, le soi ectoplasmique et les images pieuses de l’astral, et si toute cette camelote n’a pas disparu lors du vidage de la corbeille, il faut refaire un clic.
Source: http://www.energie-sante.net/