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La Re-Connaissance Multidimensionnelle du Soi

Pourquoi la personnalité, l’ego et le mental ne peuvent-ils Re-Connaître notre multidimensionnalité? (partie 1)

La Re-Connaissance Multidimensionnelle du Soi est bien au-delà des principes marginaux et astraux exprimés par la personnalité, l’ego ou le mental qui ne sont que des plates-formes énergétiques de la personne. En aucun moment, ils peuvent véhiculer de façon transparente en nous notre Absolu que la très grande majorité des êtres humains doutent encore de son Omniprésence en nous. Ces doutes sont relatifs à la méconnaissance du Soi intérieur, mais surtout à la déconnexion de la conscience qui a été piégée et falsifiée pendant des milliers d’années par la matrice astrale. À ce sujet, j’aurai l’occasion de vous donner plus de détails relativement aux pièges institués par les Archontes ou Arkontes dans la prochaine chronique.

Afin de mieux saisir ce que représente la personnalité, l’ego et le mental dans nos vies, vous trouverez ci-dessous une explication qui donne les grandes lignes que ce processus humain comporte :

La Personnalité

La personnalité représente le masque qu’une personne forge à partir de la génétique des parents, grands-parents, etc. Nous sommes ainsi, dans nos gènes, une partie de ce miroir qui se réfléchit sur nous, ce qui nous aiguille à faire les choses et à réagir souvent comme eux. Il arrive fréquemment que nos parents possèdent telles ou telles façons de vivre avec des habitudes de vie, des réactions diverses. C’est ainsi, en partie, que nous empruntons quelques caractéristiques qui sont similaires aux parents. Ainsi, la personnalité est également sous-tendue par l’apport de l’ego et du mental qui tentent de se valoriser à leur façon.

Toutefois, la personnalité se crée une image illusoire en l’individualisant à sa manière, en lui donnant des traits de caractère ou des principes qui seront différents de ses descendants. Inconsciemment, elle crée l’image d’un personnage qui possèdera une manière de faire, une façon d’agir ou de réagir face au stress, à l’angoisse, etc., tout en ayant une façon individuelle d’être tout au long sa vie. Elle aimera ou elle détestera des choses selon sa vision, sa perception, son jugement et ses projections. Ses attitudes et ses comportements se distingueront vis-à-vis une autre personne que ce soit dans des situations émotivement difficiles, faciles ou tragiques.

La personnalité, c’est l’image que la personne projette d’elle-même face aux autres. Elle peut être autant gentille, douce, méchante que condescendante. Tous ces facteurs créeront de cette personne un personnage qui sera aimé, apprécié, reconnu ou carrément détesté. Ainsi, elle peut vivre avec cette personnalité, plus ou moins longtemps dans sa vie; mais à un certain âge, elle vit des expériences, des maladies ou des drames qui changeront sa vision d’elle-même, et qui lui feront faire un Face-à-face avec ce qu’elle est comme personnalité, et peut-être même, un Face-à-face avec d’autres. Donc, une prise de conscience se fait. Et soudain, elle se met dans une phase où elle veut changer certains traits de caractère parce qu’elle a réalisé qu’elle n’était pas toujours agréable à vivre ou encore qu’elle considère que la bonté ou la gentillesse n’a plus sa place dans sa vie. C’est le paradoxe de la personnalité facilement polarisable, en fonction des tendances ou d’une mode quelconque, et qui veut changer le visage de sa réalité.

En fait, c’est l’écueil de la conscience ordinaire qui est en dissonance cognitive, soit de changer pour être correct ou inconvenant, allant parfois jusqu’à une forme de mépris contre elle-même ou envers autrui. Il est possible qu’elle prenne des dispositions pour entamer des recherches et des consultations personnelles sur quoi elle pourrait améliorer une attitude ou un comportement chez elle. Donc, la conscience de la personnalité qui est limitée est souvent en dualité. Elle tente de trouver des pistes de solutions pour essayer de changer ses attitudes ou ses comportements devant les autres. Il y a à quelque part, une partie chez elle qui a peur de mal paraître ou de vouloir bien paraître. L’apparence chez la personnalité est souvent reliée à de l’orgueil et à de la vanité. Il s’agit de faux-semblants, plus que de la transparence. En fait, elle effectue un virage à 180 degrés de sa nouvelle projection de ce qu’elle aimerait être, en prenant comme exemple des modèles qui la marquent par leur personnalité, qu’elle trouve belle, jolie, attirante, ouverte d’esprit, intelligente ou au contraire avec une attitude agressive, déplaisante et repoussante. Nous savons, qu’intelligemment parlant, qu’une personne devrait toujours être en amont pour s’améliorer et non de se détériorer.

Cependant, une des problématiques de la personnalité se situe notamment au niveau du jugement, de la projection sur autrui, de la comparaison et le fait de se sentir, par moment, supérieure ou à l’inverse et par médiocrité, inférieure. La personnalité aime se comparer afin de s’auto-évaluer ou de recevoir une forme de reconnaissance de la part d’autrui. Ainsi, la personnalité se voit souvent dans l’illusion de sa pensée qui est de se fier sur autrui pour moduler sa conscience à ce qu’elle soit semblable à celle des autres humains ou carrément de se différencier à un autre niveau d’autrui par amour-propre.

Or, à la Lumière de ce que vous venez de lire, pensez-vous sincèrement que la personnalité avec ses divergences d’idées, d’opinions et de ses contrefaçons d’agir peut avoir l’humilité de Re-Connaître multidimensionnellement son Soi intérieur? Il est fondamental que la personnalité via son Âme face un virage, voire un retournement de sa conscience vers l’Esprit qui ne possède aucune forme de dualités, parce qu’il est neutre, mais surtout Amour Vibral.

L’ego

Au cours des années, la personnalité a créé ou formé, consciemment ou inconsciemment, un ego qui est la représentation du caractère qui a été forgé dès sa naissance. Elle a pris des habitudes, des façons de faire, d’agir et d’être qui se distinguent plus ou moins d’une personne à une autre. Soit qu’elle possède un ego fort, faible, moyen, agréable, insupportable, gêné, contrôlant ou simplement humble. On peut ainsi le constater et le décoder quand l’ego est frustré, en colère ou en conflit personnel avec les autres. Il faut admettre que nous sommes tous différents en tant qu’être humain, c’est ce qui nous distinguent d’ailleurs.
À un moment donné dans sa vie, l’ego a créé une carapace qui est un masque qui va réagir de manière, soit à rester simple, soit à prendre toute la place au détriment d’autrui, soit se prendre au sérieux ou se donner un pouvoir parce qu’elle possède des dons, des talents, de l’argent ou des forces qui dépassent ce que d’autres possèdent. Soit que l’ego se mette à grossir ou à gonfler d’orgueil ou par vanité, soit qu’il s’apitoie sur son sort de victime, de petitesse, de médiocre, etc. C’est encore une fois l’image qui est projetée par une forme de médiocrisme déguisée.

Plus l’ego recevra des éloges, plus il est suivi par différents systèmes de pensées, de communications, des concours de popularités, plus il se sent aimé ou même idolâtré, et plus il pense qu’il est au-dessus de tout le monde, des lois, etc. Ainsi, plus l’ego amplifie sa fréquence, voire son Aura de vedette ou autre personnage publique, à titre d’exemple, qui se démarque de la masse. Les ego des vedettes dans le milieu artistique ou dans les sports ou même en politique sont les plus reconnus dans ce genre de comportement. Jusqu’au jour où l’ego vit une désillusion de sa personne qui est rendue égoïste, égocentrique, orgueilleuse, vaniteuse où elle fait des bêtises, des erreurs de jugement ou encore tous ceux et celles qui l’avaient mis sur un piédestal, n’ont plus la même perception de ce qu’ils avaient perçu d’elle. Donc, l’ego subit une dégringolade où il vit, soit une maladie, une dépression ou encore il projette la faute de ses déboires sur le dos des autres.

Par ailleurs, l’ego est surtout sous l’effet de ne pas vouloir être confronté par quoi que ce soit ou par qui que ce soit. Il n’aime pas être critiqué, il déteste se justifier. Il préfère se cacher dans ses habitudes de vie. Il se définit comme étant un connaissant de plusieurs choses qu’elles soient intellectuelles, culturelles ou parfois ésotériques. Quand il réagit de la sorte, c’est simplement par orgueil ou vanité afin que son ego ne paraisse pas mal devant quiconque.

Encore une fois, en lisant ces propos, pensez-vous qu’un ego puisse changer ses comportements ou son caractère en allant vers le meilleur. Il est possible que l’ego vivent la désillusion de ses illusions un jour ou l’autre. Cependant, il est possible qu’il est suffisamment d’humilité pour accueillir un changement de sa personne. En fait, c’est une des forces de l’ego d’être autant égocentrique que luminocentrique. C’est-à-dire qu’il est l’authenticité d’admettre ses faux-semblants en tournant son Âme vers l’humilité, la simplicité et une totale transparence.

Ainsi donc, l’ego peut paraître parfois excessivement condescendant un jour, mais aussi Amour Vibral l’autre jour. La force de l’ego est à partir du moment où il aura tourné son ego vers la lumière de l’Âme, sa vie va basculer, mais il ne changera, personnellement parlant, plus pendant un certain temps. Il poursuivra sa nouvelle voie spirituelle, celle de l’ego, ce qui est fort louable et noble de sa part. Mais un de ces jours, il se rendra compte que ses démarches, ses recherches, ses connaissances et ses soi-disant vérités font partie de l’évolution de sa personnalité, de son ego et de son mental qui ont été falsifiées. Il constatera que sa vision doit littéralement changer puisqu’il doit tourner l’observation et le Regard de Âme vers ceux de l’Esprit. Ce qui le bousculera parce qu’il conscientisera que toutes les facettes de sa personne n’étaient qu’une plate-forme illusoire et qu’à compter de maintenant, il doit donner toute la place à l’arrivée et à l’arrimage de son Corps d’Êtreté. Ce dernier est, en somme, sa Vraie identité Intergalactique qui ne peut être polarisée de quelques façons que ce soient.

Le mental

Pour sa part, le mental est un accessoire divisé en deux hémisphères qui pivote ceux-ci avec une conscience limitée, ce qui lui permet de comprendre, d’apprendre, de visualiser, d’évaluer, de comparer, de juger, de douter en fonction de ce qu’il connaît et perçoit de lui et des autres, avec une structure souvent dissonante, voire déséquilibrée. Le mental a aussi son utilité quand il sert de moyen pour faire ses courses, pour conduire sa voiture, pour respecter les lois, les règlements et de maintenir une certaine discipline, voire une éthique de vie. En fait, le mental est, en quelque sorte, une bonne boussole afin de ne pas nous écarter et de faire ce qui est nécessaire au cours de notre vie. Il est un excellent support au niveau de l’apprentissage, peu importe ce que nous devons apprendre dans notre vie, autant sur le plan académique que dans notre milieu de travail.

Nous lui donnons aussi des attributs comme le discernement, l’intuition, la rationalisation, la logique, l’analyse, la créativité, et ce, toujours en fonction des connaissances et des expériences vécues. Encore là, la personnalité aura un mental qui est fort, faible, performant ou irrationnel, soit qui la rende centrée ou dualitaire. En fait, c’est l’intellect qui se manifeste par une forme de performance qui témoignera d’une intelligence savante, qui peut être aussi bien discursive.

Toutefois, à un moment donné dans sa vie, le mental n’est plus capable d’en prendre dans le cerveau, soit d’apprendre, de penser ou de réagir adéquatement aux situations qu’elles soient bonnes ou mauvaises, stressantes, soit à son travail, dans sa famille, avec ses amis ou sur le plan spirituel. Il se crée donc un écœurement, des insatisfactions, des frustrations ou des états émotionnels difficiles à gérer. C’est ainsi qu’il peut surgir, soudainement, une maladie où la fatigue s’empare de lui, ce qui le mettra dans un déséquilibre psychologique, psychique, physique et mental. C’est, en quelque sorte, la formation d’une dépression qui apparaît, le seul moyen de s’en sortir, c’est prendre du repos plus ou moins long, dépendant de la personnalité, de l’ego et du mental qui prendront en main la situation, soit de vouloir s’en sortir ou de demeurer dans un état végétatif qui les gardera dans une position de victime.

Cette maladie commence par ce que j’appelle un « Burn-in », donc tout ce que la personnalité, l’ego ou le mental n’ont jamais voulu avouer, reconnaître, que ce soit de l’amour, de la haine ou un désespoir. C’est, en somme, l’implosion intérieure qui se manifeste dans la personne qui va, tôt ou tard, exploser en Burn-out où tous ses soucis et ses pensées auront pris toute l’énergie de l’être. Donc, la personne se retrouve dans état de fatigue extrême, ayant besoin de repos, de liberté et de se retrouver seule, mais surtout d’un support psychologique pour s’en sortir sans trop de mal. Ce n’est certes pas les médicaments qui vont la sortir de cet état, ils sont plutôt des endormissements de la conscience au lieu d’être des éveilleurs.

Toutefois, quand la personne vit cet état et qu’elle diminue la dose médicamentée qui lui ait prescrite, elle effectuera une prise de conscience qu’elle fera durant le processus de cette maladie autant mentale que psychologique. Le Burn-in et le Burn-out sont, en réalité, multidimensionnels. C’est un retournement ou un Switch de la conscience qui s’éveille en ces personnes. C’est ainsi qu’elle commence, en partie, une parcelle de Re-Connaissance du Soi qui amorce son entrée en matière, dans sa façon nouvelle de regarder et de gérer sa vie, tout en ayant un nouveau point de vue du futur déroulement de sa vie, même de sa spiritualité.
Toutefois, il est excessivement difficile pour le mental de traverser le voile de ses connaissances ou de ses analyses et de ses logiques pour passer au stade d’une Conscience Supramentale. Son mental possède une conscience ordinaire, voire limitée, mais il pense que celle-ci est fondamentalement sa vérité. Il vit totalement dans l’illusion de ses connaissances, pensant qu’elles sont sa garantie pour comprendre et Re-Connaître la Multidimensionnalité du Soi.

Or, il est absolument impossible pour un mental discursif, pour une personnalité ambivalente et un ego égocentrique de vivre une Re-Connaissance Multidimensionnelle du Soi, tant et si longtemps qu’ils demeurent dans leurs réflexions imaginaires ou en dichotomie face à leurs décisions. Le mental, l’ego et la personnalité doivent définitivement se taire et laisser entrer en eux la Lumière Supramentale qui les optimisera à ce qu’ils deviennent Supramentaux.

En fait, le mental et ses contreparties ont peur de perdre la reconnaissance de leurs pensées et de leurs connaissances, pensant qu’il sont sur la bonne voie. Il ne peut être ainsi dans leur soi-disant voie, s’ils ne peuvent rester neutres face à une émotion ou à une connaissance falsifiée. La Science Supramentale démystifie les effets multidimensionnels de la conscience ordinaire ou collective du mental par l’entremise de ses énergies. Une des bougies d’allumage est la mécanique quantique qui permet de créer des sauts quantiques pour que la conscience augmente son taux vibratoire. C’est ainsi que la conscience ordinaire du mental et de ses contreparties deviennent, de plus en plus, une Conscience instantanée. C’est-à-dire qui n’est pas limitée par l’ancien parce qu’elle fait continuellement face à du neuf qui le rend de plus en plus vibral.

La conscience dont je vous parle est la Conscience Supramentale qui est Illimitée, Universelle ou Instantanée ou communément appelée Supraconscience, bref, c’est la même chose. En fait, soit celle qui n’est pas observée, appliquée et assujettie par des principes mentaux reliés aux dualités et aux critères d’obédiences quelconques. Il ne faut surtout plus voir la conscience comme étant l’apanage des connaissances quelles qu’elles soient; mais bien, par l’arrimage vibratoire des fréquences des Énergies Supramentales ou Particules Adamantines qui adoubent chaque humain à changer sa façon de voir, ses manières de penser et son état d’être. Il s’agit, en l’occurrence, d’un nouveau chapitre du Savoir-vivre, mais qui est au-delà de la vie dans laquelle nous sommes encore prisonniers.

La Conscience Supramentale est, en vérité, une vibration supra-matérielle et bien au-delà des connaissances de la conscience ordinaire. Elle est sous-tendue, en partie, par les vibrations créées par nos expériences bonnes ou mauvaises; mais surtout manifestées par la Science Supramentale qui nous permet de savoir instantanément. La prise de Conscience Supramentale se fait à partir du moment où l’ego, la personnalité et le mental se taisent face aux jugements qu’ils peuvent engendrer par une pensée du connu et des égrégores qui y sont associés.

La Conscience Supramentale ne possède aucune limite, aucune suggestion, aucune projection, aucun jugement de faire ou de ne pas faire; seulement des vibrations qui haussent le taux vibratoire de la personne qui la vit à l’intérieur d’elle. La Conscience Supramentale n’est pas sous la férule d’une pensée collective ou grégaire qui pourrait être imputable ou manipulable par des consciences plus basses en vibration que la sienne.

Un des rôles de la Conscience Supramentale est d’agir comme un phare afin d’éclairer la conscience du mental, de l’ego et de la personnalité encore oblitérée par les égrégores astraux ainsi que par la conscience dite-collective. Donc, elle œuvre en fonction de faire prendre conscience de l’existence de ces égrégores en expliquant les tenants et aboutissants qui gardent la conscience mentale dans un étant ordinaire; au lieu « d’Extra-Ordinaire » ou Supramentale. Les égrégores astraux qui font encore partie de notre atmosphère sont présents dans notre système planétaire, mais aussi dans notre système de pensée, dans notre cerveau dualitaire. Ils jouent le rôle d’extirpateur d’énergie pour s’alimenter des émotions relatives aux peurs, aux doutes et à la non reconnaissance du Soi.

À suivre…