par Bertrand Duhaime – les Chroniques de la Presse Galactique
Cette question, je la comprends bien parce que je connais l’épreuve, qu’il juge injuste et arbitraire, que représente pour un être humain de se voir séparé d’un animal qu’il a affectionné, donc pour lequel il a développé de l’intérêt et a éprouvé de l’attachement, surtout si leur expérience commune, prolongée, a été agréable. En pareil cas, vous aimeriez entendre ce que vous voulez entendre. Alors, je ne suis pas certain que mes explications vont pleinement vous satisfaire.
Vous souffrez d’autant plus de la mort de votre animal de compagnie que vous avez développé avec lui une relation intime. J’entends par là que, souvent, mieux que les humains, en raison de ses facultés naturelles non altérées, votre compagnon d’évolution vous a connu en profondeur dans votre véritable réalité, sachant vous percer et vous comprendre sans que vous ayez à lui parler, pouvant même vous révéler des aspects de vous-mêmes auxquels vous n’étiez pas familiers ou que vous ne vouliez pas vous communiquer.
Sans insister, je pourrais te rappeler que tu as toi-même connu deux animaux qui sont venus te révéler des aspects sombres que tu ne savais pas porter et que tu traînes encore une part de la culpabilité des mauvais traitements que tu leur as infligés. Pour t’aider à t’harmoniser, je peux t’assurer que ces animaux s’attendaient à ces sévices et qu’ils les ont acceptées avec amour pour t’aider à évoluer. Alors, sache te pardonner autant qu’ils t’ont pardonné de puis longtemps. Mieux dit, ils savaient fort bien n’avoir rien à te pardonner puisqu’ils avaient accepté cette mission en toute connaissance de cause et avec amour. Ce qui importe, ce n’est pas tes attitudes et tes comportements du passé, mais ceux du présent de l’avenir.
L’animal, surtout l’animal de compagnie, peut porter un regard intérieur sur son maître et lui révéler, devenant presque une part de lui-même, ce qui l’induit dans une relation d’amour, truffée de connivences et de complicités, qui dépasse de beaucoup la relation d’un homme à un animal, perdant, à sa mort, un accès à lui-même. Car, sur votre plan, vous avez du mal à vous aimer et à vous juger vous-mêmes.
Dans ce contexte, un animal peut, par son regard, vous refléter une partie de l’amour lumineux ou de la sombre haine que vous portez, vous aidant à changer ou à rehausser votre estime de vous-mêmes. En plus, jour après jour, il est capable d’aspirer une large part de votre négativité et de la transmuter pour vous, sans danger pour lui, puisqu’il ne prend jamais plus qu’il ne peut, ce qu’il sait vous signaler par ses phases d’indépendance et de retrait.
Lorsque l’homme aura pris conscience de sa sublime divinité, l’animal n’aura plus à jouer ce rôle d’accompagnement évolutif un peu retardant, d’où il pourra retrouver son rôle d’entité divine, différente, mais égale en valeur et en dignité, ce qui permettra à l’ensemble de la Création de reprendre le chemin du Retour à l’Unité. Mais, pour le moment, comment le maître d’un animal de compagnie n’éprouverait-il pas, dans sa nouvelle solitude, un grand chagrin lors de la mort d’un auxiliaire, voire d’un guide, aussi précieux, pouvant succomber dans un genre de sentiment d’abandon ou d’apparente trahison?
L’animal est capable de suivre l’être humain, de l’accompagner, de le précéder, de le guider, de le secourir, de le soulager de nombreux maux sur tous les plans, toujours plus pur que lui dans ses intentions, ses motivations et la fidélité à sa mission. N’avez-vous pas vu un animal accompagner son tortionnaire ou un misérable jusqu’à sa fin ?
Comme vous le savez, l’un des facteurs qui vous distingue de l’animal, c’est qu’il n’est pas mentalité. Ainsi, il n’est pas doté d’une conscience réflexe qui puisse le ramener à penser, de propos délibéré, à un événement particulier du passé, à moins d’être placé dans un contexte similaire qui lui permettent alors d’établir des associations avec ce vécu. Ainsi, il ne peut pas amplifier inutilement ses émotions de façon artificielle comme vous le faites. Pour le reste du temps, il joue son rôle fonctionnel sans jamais analyser les situations, les subissant plutôt, en quelque sorte, et s’abandonnant à eux lorsqu’il a fait ce qu’il a pu.
Ainsi, lorsqu’un animal vous quitte, s’il peut souffrir physiquement des circonstances dans lesquelles il termine sa vie, il ne souffre pas autant que vous de la séparation nécessaire qui s’impose dès lors à lui. Surtout, il ne craint pas l’échéance qui se présente, car il ne redoute pas de souffrir ou d’y perdre quelque chose, dénué d’attaches émotionnelles. Ainsi, il arrive à vivre cette phase dans l’acceptation et l’ouverture totale, centré sur le moment présent, s’engageant avec confiance dans sa transition qui le prépare à un nouveau destin. Même qu’il connaît à l’avance le moment de sa transition.
Je sais que, pour vous consoler, certains vous ont raconté que, dès sa transition, votre animal bien aimé s’élève dans un genre de garderie pour animaux jusqu’à la vôtre, de sorte que vous puissiez le retrouver après celle-ci. Sans nier cette possibilité, je vous dirai que, en général, il se soumet le plus rapidement qu’il le peut à son nouveau destin qui peut l’appeler à se rendre évoluer dans des plans supérieurs à partir de celui qu’il a atteint ou à se réincarner ailleurs pour entreprendre une autre carrière.
Vous savez, comme vous, l’animal peut atteindre un degré de maîtrise de son état d’être qui peut l’amener à sortir de la Roue des existences et à changer de rôle fonctionnel, ce qui l’amène à évoluer dans d’autres sphères. Chaque animal évolue jusqu’à un certain stade d’androïde ou humanoïde divin. Pour le reste, du fait que, sur le plan concret, ses facultés le limitent à assumer plus ou moins mécaniquement la mission dont il a été investi, il vit dans le moment présent, au jour le jour, sans développer d’attaches émotionnelles ou affectives avec les autres êtres qu’il rencontre ou avec lesquels il vit. Ainsi, à la mort, à moins d’être investi d’un complément de mission auprès de la personne qu’il a quittée, il s’abandonne à un nouveau destin qu’il ignore largement.
L’animal domestique aime son maître d’un amour dénué d’intérêt personnel, sans établir de liens psychiques, hors des attentes d’être protégé, de voir ses besoins de survie comblés et de recevoir les soins appropriés, à travers une attention quotidienne. Et, s’il n’est pas comblé en ces matières, il reste assez indépendant pour faire une fugue et aller explorer, histoire de voir s’il ne serait pas mieux traité ailleurs. Car, naturellement, il aimera séjourner là où il est comblé dans ses attentes que de répondre aux attentes affectives de son présumé propriétaire.
Puisque vous êtes assez portés à l’anthropomorphisme, vous osez attribuer aux animaux des facultés, des attitudes et des comportements qui ressemblent aux vôtres, d’où vous vous méprenez souvent dans l’interprétation de leurs actions et de leurs réactions ou de leurs faits et gestes. Par exemple, vous croyez qu’un animal peut sombrer dans un état dépressif s’il perd un compagnon de jeu, s’il subit une absence prolongée de son maître ou si celui-ci disparaît.
Pourtant, ce n’est pas exactement ce qui se passe : par ses manifestations étranges, il indique plutôt que, pour rendre service à celui qui s‘en est bien occupé ou avec lequel il a longtemps vécu, il s’est imprégné de son substrat émotionnel. Mais il peut arriver que ce soit le maître qui, dans ses émotions, dégage cette impression de ses manières d’être et d’agir, parce que l’une des fonctions de l’animal domestique, c’est de refléter l’état d’être immédiat de son maître pour l’aider à se percevoir clairement dans sa réalité.
Vous objecterez qu’on a rapporté des cas où un animal domestique a donné de nombreux signes de souffrance suite à la transition de son maître, pouvant aller jusqu’à se laisser mourir pour le rejoindre. D’une part, l’apparente souffrance de l’animal peut provenir du fait que son maître, qui n’a pu se défaire de ses liens affectifs, plane souvent dans ses parages, dans une autre dimension. En pareil cas, l’animal dont les facultés subtiles sont restées plus développées que les vôtres, sent cette présence répétée et il signale ce fait. Alors, selon le travail qu’il lui reste à faire auprès de lui, pour l’aider à se délivrer de ces liens encombrants, il peut choisir de se sacrifier, pour lui rendre service, donc de se laisser mourir ou d’aller s’exposer à un accident fatal. Il peut encore simplement se laisser mourir parce qu’il n’a plus de fonction en ce bas-monde, ne s’étant incarné que pour aider tel être en particulier dans son évolution.
Il peut se passer un phénomène analogue si c’est l’animal qui meurt. Dans les plans subtils, toujours pour avoir intégré une large part du substrat émotionnel de son gardien terrestre, il peut péricliter dans son univers ou faire du va-et-vient du point où il s’est élevé au plan éthérique le plus rapproché de ce dernier, le temps de se libérer de ces reliquats qu’il a pris sur lui de transmuter en son nom. Il pourra étirer cette expérience de va-et-vient le temps que son maître fasse biens son deuil de sa mort. Mais, tôt ou tard, à l’occasion d’un rêve, dès qu’il a complété sa tâche, il lui rendra généralement une dernière visite, lui témoignant une dernière fois de sa reconnaissance des bons traitements qu’il a reçus dans sa dernière vie et lui exprimant sa conscience d’avoir développé avec lui un lien éternel d’amour pur, puis il se retirera là où il doit se rendre, selon sa nouvelle assignation.
Si la mission d’un animal familier auprès de son ancien maître n’est pas complétée, du fait que, par exemple, suite à un accident ou à une maladie grave, il a du passer inopinément au-delà de la trame, après avoir refait ses énergies, il se réincarne généralement le plus rapidement qu’il lui est permis, dans les parages de son ancien maître, pour lui revenir. En pareil cas, avec un peu d’observation et d’attention, le maître pourra cumuler et décrypter une série d’indices signalant son retour pour s’assurer de l’adopter de nouveau.
Mais il peut arriver que l’animal se représente sous une autre forme animale, ce qui n’est pas la règle, mais qui peut favoriser la relation d’aide qu’il est appelé à lui apporter, par exemple en éliminant une bonne part des liens affectifs. En pareil cas, il pourra revenir sous la forme d’un oiseau ou d’un animal sauvage porté à fréquenter les milieux humains.
Alors, pour en revenir au sujet initial, l’animal effectue sa transition sans sentiment de manque, même s’il lui faut parfois prendre un moment pour se régénérer et, pour ainsi dire, retrouver ses esprits, selon la façon qu’il a terminé sa vie. Il vous quitte plutôt avec la perception supérieure du retour de son âme au Grand Tout. C’est ce qui explique que, à l’approche de la mort, il se montre généralement calme et détendu, comme s’il était songeur ou comme s’Il commençait à se projeter dans d’autres dimensions.
Certaines espèces d’animaux, comme le chat, peuvent préférer se cacher et se replier sur eux-mêmes, pour trouver la paix et mieux réussir leur transition, tandis que d’autres préféreront se rapprocher de leur gardien terrestre ou attendre son retour pour rendre l’âme. Mais dans ce dernier cas, la plupart du temps, c’est que l’animal a compris qu’il était nécessaire de procéder ainsi pour apaiser son maître, dissoudre ses scrupules ou réduire sa culpabilité, donc pour favoriser la démarche de son détachement.
Alors, le plus beau présent que vous puissiez faire à un animal de compagnie, lorsqu’il vous donne des signes qu’il s’apprête à transiter, c’est d’accepter son choix et de vous préparer à l’avance à couper avec lui les liens frauduleux. Car tout lien indu peut amplifier ses souffrances et empêcher son âme de prendre son envol dans la sérénité requise.
Toutefois, n’allez pas vous culpabiliser de ne pas pouvoir lâcher complètement prise puisque vous avez le droit à vous douleurs pour apprendre à reconnaître vos faiblesses. Néanmoins, du mieux que vous le pouvez, communiquez avec lui par les voies subtiles afin de lui offrir des vibrations de paix et de réconfort. Et, pour votre part, formez votre conviction que la mort ne représente que le passage d’un état de conscience à un autre permettant un renouvellement et une évolution de la vie. Acceptez votre souffrance, qui est bien normale, au présent degré d’évolution que vous avez acquis, mais évitez de sombrer dans la révolte et le désespoir. Car, en limitant vos résistances, vous soulagez d’autant l’animal de votre emprise, ce qui lui permet de suivre sa route à son rythme, mais allégé du fardeau que vous lui ajoutez malencontreusement. Si vous l’aimez vraiment, n’est-ce pas le plus beau témoignage de gratitude à lui accorder que de lui remettre sa liberté?
Si vous ne parvenez pas à accepter la mort de votre animal de façon suffisamment sereine, informez-le psychiquement de vos difficultés présentes. Vous aurez peut-être la surprise que, malgré son état, il peut intuitivement trouver le bon registre vibratoire pour vous faire saisir ce qu’il vit et ressent physiquement et psychiquement afin de vous rasséréner et vous réconforter. Si l’animal ne peut pas le faire, son double lumineux pourra vous traduire son état intérieur et ses sensations physiques à sa place. Ce dernier peut intervenir autant pour calmer et harmoniser l’un que l’autre.
Alors, jusqu’au dernier moment, en la présence de votre animal favori qui décline, repensez plutôt aux bons moments que vous avez vécu ensemble et au degré d’amour que vous avez partagé, adressez-lui de bons mots, sans trop le déranger, et enveloppez-le de vibrations amoureuses. En tout cas, évitez d’imaginer son degré de souffrance car vous ne pourriez probablement que les grossir et, de là, les amplifier involontairement, y rajoutant une part de votre propre détresse.
Puisque le sujet s’y prête, permets-moi de dire un mot sur l’euthanasie, puisque tu as récemment fait ce choix pour aider tes deux chats bien-aimés à partir. En général, ce n’est pas la meilleure manière d’aider un animal, la transition naturelle, si pénible qu’elle semble, les préparant mieux à leur prochain destin. La mort naturelle, peu importe la manière qu’elle se présente, reste plus adaptée, éliminant les possibilités de gêne dans la transition de l’âme et de traumatisme post-mortem. En tout cas, vous devez éviter d’opter pour cette solution de manière prématurée, soit au premier signe de souffrance, puisque celle-ci, au-delà de votre compréhension, a son ordre.
Si vous devez absolument privilégier cette solution, vous devez accorder à votre animal un délai de manière à lui permettre de se préparer à la mort. C’est votre animal qui sait le mieux quand il est parfaitement préparé à cette issue parce qu’il sait le moment venu et qu’il a fini de vivre ce qu’il appréciait. Alors laissez-lui vous en donner le signe. Même qu’il serait préférable d’attendre que votre animal soit prêt et que vous le soyez aussi. Sinon, préférez consulter un vétérinaire ou d’un thérapeute animalier pour obtenir le moyen de soulager ses souffrances, le temps de vous préparer tous les deux. Car souvent, le moment où vous procédez n’est pas aussi adéquat que vous le pensez.
Mais, pour obtenir ce signe et établir une synchronicité entre votre état et celui de votre animal, vous devez commencer par l’informer de votre intention de mettre un terme à sa vie, lui en expliquer les raisons et lui apprendre, sans entrer dans les détails, le mode que vous avez choisi pour produire ce résultat, afin qu’il commence à se préparer à la mort. Peut-être que le processus sera compliqué par le fait que, ne pouvant rester objectif, vous pourrez vous méprendre sur ses réponses. Alors, confiez-vous au deva de l’espèce de votre animal ou à la Source suprême qui contient tous les devas, pour clarifier le débat. Car l’euthanasie, bien préparée, peut être aussi rassurante pour l’animal que pour son gardien. Même que, dans certains cas, c’est l’animal lui-même qui pourra suggérer de passer par ce moyen pour mettre un terme à ses jours.
À l’approche de la mort, une communication de qualité, entre l’animal et son maître, peut faire toute la différence entre une transition sereine et harmonieuse et un déphasage temporaire. Elle peut apporter autant de soulagement à l’animal qu’à son gardien, surtout si elle est menée comme un rite de passage qui peut inclure des huiles essentielles appropriées et le brûlage d’un encens léger. Dans le cas d’une transition prématurée et brutale ou vécue de façon traumatisante, notamment dans celui d’un accident de la route, la communication intuitive peut permettre d’entrer en contact avec l’âme de l’animal disparu pour l’harmoniser et le réconforter.
En posant les bonnes questions, de façon claire, nette et précise, l’ancien propriétaire peut recevoir des explications sur les raisons du départ de son animal familier et obtenir des réponses à ses inquiétudes à son endroit, comme il peut faire passer ses témoignages de gratitude et d’amour, ce qui peut lui apporter un grand réconfort et un beaucoup d’apaisement. Et vous devriez apprécier ces retours psychiques de votre animal comme un privilège, car s’il vous donne ainsi des signes, dégagé comme il est, au niveau où il se trouve, il ne peut le faire que par un acte de pur amour pour son ancien compagnon d’évolution.
Pour ce qui a trait aux autres animaux domestiques, dont vous vous servez comme bêtes de somme ou comme source alimentaire, cela fait partie des rôles précieux, que je permets, qu’ils peuvent jouer auprès de l’humanité afin qu’elle puisse compléter son expérience dans la matérialité. Veuillez croire que ces animaux, même s’ils peuvent souffrir de vos traitements et de votre manière de les abattre, apprécient au plus haut point le rôle qu’ils ont accepté de jouer, un rôle qu’ils connaissent, comprennent parfaitement et acceptent volontiers, acceptant de servir de force de vie sur la planète et d’élever le taux vibratoire de diverses créatures. Mais cela ne devrait pas vous empêcher de bien les élever, de leur assurer la meilleure qualité de vie, de vous en servir avec respect et de leur assurer une fin honorable dans l’expression la plus sincère de votre gratitude.
Vous voyez, c’est ainsi qu’un animal peut aussi bien vous apprendre à vivre qu’à mourir. Alors, sachez l’honorer à la mesure de son dévouement. Qui a dit qu’un animal valait moins qu’un homme, si ce n’est l’homme, dans son arbitraire? Ce qui importe, c’est, tout en lui accordant sa noble place dans la hiérarchie de vos valeurs, d’éviter de lui accoler une notion anthropomorphique.
© 2009-2014A Bertrand Duhaime (Douraganandâ). Tous droits réservés. Toute reproduction strictement interdite pour tous les pays du monde. Emprunté au site www.lavoie-voixdessages.com.
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Offert gracieusement par Bertrand Duhaime aux membres de la PG
TOUS LES PRÉNOMS DU MONDE
À la vérité, on ne pourrait prétendre que le prénom d’une personne explique une bonne part de sa personnalité, mais, comme le hasard n’existe pas, on peut reconnaître qu’il comporte une fréquence vibratoire et une valeur numérologique qui peut lui fournir un code relatif à son destin, un peu comme sa date de naissance. Pour cette raison, il convient de bien choisir le prénom d’un enfant, puisqu’il le portera tout au long d’un cycle d’incarnation. Alors, s’il ne se sent pas d’affinité avec lui, il pourra en ressentir un malaise et du déplaisir. En général, puisque le prénom est relié à l’individualité et à l’unicité d’un sujet, il présente plus d’importance que le nom de famille, qui est relié à son aspect tribal ou social et qui l’inscrit dans une lignée. En effet, tandis que le nom, transmis par la tradition ou par alliance, apparente à une famille et à un milieu, le prénom individualise, ne laissant personne indifférent. Et, s’il s’agit d’un surnom, d’un diminutif ou d’une abréviation, il individualise en réduisant la valeur. Il peut dépersonnaliser ou déphaser s’il porte une consonance étrangère, valorisant ou dévalorisant le sujet, selon la perception qu’il développe de cette culture.
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