par Lydia – les Chroniques de la Presse Galactique
Comme il est doux de se laisser guider en toute confiance par l’âme, le cœur, la présence divine. Bien que je pense que l’accès à une connaissance plus pointue du divin que je suis, soit « bloqué », j’apprécie tout de même d’être inspirée et guidée pas à pas, vers mon soi supérieur. Je n‘aime pas bien cette expression qui reste un point de vue dualiste, une vision hiérarchique qui n’a pas vraiment lieu d’être. Selon ce que je ressens, il s’agit d’une association, d’un partenariat, d’une unité composée de différents points de vue ou dimensions qui se rejoignent au carrefour de l’être, au point zéro, dans le cœur.
Même si cette image est un peu simpliste, c’est volontaire et ça réponds à un besoin de considérer les choses à partir du cœur afin de ne pas répéter les erreurs du passé. Bien que ça remonte à une époque très lointaine, le souvenir qui se limite à une seule image, est encore vivant en moi et il s’exprime à travers une peur qui est en fait une protection.
Je me suis adressée à cette émotion et lui ai demandé de s’exprimer, de libérer sa charge énergétique afin que nous puissions considérer ensemble la raison de ce blocage, de façon neutre. Il semble qu’elle soit allégée et que le temps soit venu de « tomber les barrières » tout autant que les masques. Cette peur est en fait une garantie, une fermeture volontaire du troisième œil.
Très souvent, lorsque je tombe sur des messages qui expliquent le divin d’un point de vue, que j’appelle complexe, du moins très intellectuelle et qui manque de « cœur », j’ai tendance à zapper, à ne pas poursuivre ma lecture, pour plusieurs raisons. Je suis mon ressenti mais en même temps, je détecte une peur, une énergie qui perturbe. Comme une interdiction intérieure, liée à des vies passées. Jusque là, je me contentais de laisser les choses en l’état y voyant surtout la nécessité de comprendre de l’intérieur, mais depuis que j’ai confiance en la guidance du divin, celle-ci m’amène à aller plus loin dans l’introspection, tant dans les profondeurs que dans les hauteurs. Les blessures majeures étant partiellement guéries, on aborde maintenant un aspect plus profond de ses empreintes karmiques.
Il est clair qu’il me fallait avant tout, purifier les croyances relatives à la dualité, à la notion de bien/mal, intégrer celle de responsabilité et la dissocier de la culpabilité, ouvrir mon cœur à l’amour véritable de soi, libérer l’énergie de la peur, avant d’aborder ce chapitre de mes vies. Les synchronicités actuelles m’amènent naturellement à regarder cette chose en face. La découverte de mes chiffres sacré, hier, y a participé grandement puisque en lisant l’article de Murielle Robert, la pensée et le ressenti étaient sur la même longueur d’onde. C’est de cette façon que je sais si une info est valable pour moi, dans le moment présent, si elle m’aide à avancer, à m’aimer et à me comprendre mieux. Je ne dis pas qu’elle est vraie ou fausse parce que la compréhension est plutôt relative. La lumière que nous recevons passe par beaucoup de filtres et une vérité peut être mal comprise et mal interprétée surtout si on considère les choses d’un point de vue duel.
J’ai donc respiré profondément en m’adressant à cette peur qui s’est manifestée au niveau de la nuque, du cou, puis du chakra sacré. J’ai senti un allégement certain à ces endroits là et une bouffée de chaleur, monter de bas en haut. Concernant ces manifestations, je ne sais toujours pas s’il s’agit de la pré ménopause ou d’une montée de la Kundalini ou même si ces deux choses sont reliées. En ce moment, ça n’arrête pas. Il est vrai que le poêle est très performant et que je bénéficie d’un confort maximum à ce niveau mais, ce que je ressens physiquement vient d’un seul coup et ne semble pas être provoqué par quoi que ce soit de mental. Sauf tout à l’heure, c’est venu au moment où je me focalisais sur le chakra sacré. D’un point de vue général puisque tout est relié il semble logique de penser que le déblocage énergétique provoque justement la diffusion de l’énergie et que celle-ci se sente physiquement…
J’ai demandé à ma présence divine de m’éclairer au sujet de la ménopause, de me dire ce que ça signifie au niveau divin, ou en plus simple, à quoi ça sert d’un point de vue humain tout autant que divin. Selon ma mère, qui n’adhère pas du tout à ma foi, les bouffées de chaleur sont des symptômes naturels de la ménopause. Je comprends bien que c’est le fait de ne plus ovuler et que ça crée un changement au niveau hormonal, chimique, mais je me dis qu’il doit y avoir un sens plus profond, symbolique et spirituel. J’ai posé la question et me suis donc mise en mode réceptif à ce sujet, sans chercher à interroger google, par exemple. Je fais confiance au « hasard » puisque je constate que le seul fait de suivre son intuition amène de belles synchronicités. Et c’est très souvent ce qui permet d’avoir une vision claire des choses, de savoir que c’est l’âme qui se manifeste ou le divin intérieur puisque la vision est dépourvue de jugement, et même d’émotions, mais elle est accompagnée par un sentiment, une forme d’assurance intérieure.
J’ai relu un texte publié sur Urantia-Gaïa il y a quelques temps déjà, afin de le poster ici et bien que je bloque un peu sur certains paragraphes, il me semble que cet éclairage peut être utile. Puis comme ce sont ces blocages qui m’ont poussée à faire une pause, à respirer et accueillir les émotions qui remontaient, je me dis que c’est le moment d’approfondir la question.
J’ai déjà eu accès à quelques infos concernant ce blocage, puis la façon dont je rejette systématiquement les textes écrits par des personnes très arrogantes, selon ce que je ressens, cache quelque chose de confus. Comme je suis convaincue que l’autre me reflète une ombre intérieure, je me dis que cette arrogance est à l’intérieur de moi aussi et que si je la refoule, c’est qu’il y a une peur derrière.
Le souvenir d’une vie à l’époque Atlante m’est venu il y a quelques temps et j’ai vite fait de zapper afin de ne pas me compliquer la vie puisque je n’étais pas prête à accepter d’avoir pu être coupable de quoi que ce soit dans des vies passées même si théoriquement, l’idée d’être passée successivement de victime à bourreau, puis sauveur, tient tout à fait la route. Comme je le dis plus haut, tant qu’on associe responsabilité à culpabilité, on s’enferme dans le cadre du mental et à moins d’ouvrir son cœur, de libérer tout jugement envers soi on ne peut avoir une vision juste des choses et en particulier de nos vies passées.
Notre ego protecteur ne nous permettra pas l’accès à ces infos non plus, puisque le risque de s’en vouloir et d’amplifier l’auto-critique, voire de se condamner, est encore trop grand. Ce constat m’amène aussi à penser que le fait d’avoir regardé mon ego avec compassion, d’avoir compris et accepté l’idée qu’il n’était pas un ennemi, a favorisé aussi ce « contact » avec le passé. La lumière n’entre pas en force mais par l’ouverture du cœur et tant que celui-ci reste fermé on ne peut pas accéder à des vérités personnelles.
Le véritable amour de soi, qui consiste à se voir comme un être parfait, dans le sens où on cesse de croire que quelque chose en nous est un ennemi, une erreur, permet ne pas avoir besoin de la reconnaissance extérieure donc à s’autoriser à faire des mauvaises interprétations, à pouvoir se planter sans se punir, et favorise grandement la réception de la lumière, surtout quand celle-ci est appelée à nous éclairer pour notre propre compréhension, progression et non pour avoir raison, argumenter.
Comme mon témoignage n’est pas une initiation, puisque chaque chemin est unique, mais l’intérêt de l’exprimer ici, c’est de montrer l’application des lois universelles de l’amour, de l’attraction, la puissance du cœur et de la pensée, la crainte d’être dans l’erreur n’a pas de raison d’être d’autant plus que les « faux pas » sont très formateurs.
Tant qu’on est dans un rôle victime/bourreau/sauveur et toutes leurs déclinaisons, je vous laisse le soin de les définir vous-mêmes, on se limite au cadre de l’inconscient et même si celui-ci a un rôle à jouer, si on en est l’objet, on répète les mêmes schémas et on ne peut avancer, guérir et voir clair.
Les choses s’accélèrent dès lors qu’on lâche prise, qu’on libère des peurs, qu’on accepte d’être responsable de soi, c’est-à-dire de prendre en charge ses propres blessures, de prendre soin de l’enfant intérieur. La sagesse intérieure éclaire à mesure que l’amour circule plus librement et l’accueil des émotions qui permet la libre circulation de l’énergie de vie, qui guérit les blessures en même temps qu’elle élargit la vision.
Développer l’amour de soi en étant attentif à ses différents corps, leurs besoins et aux messages de l’âme diffusés à travers eux ; les émotions, les pensées inspirées, les ressentis…créé une intimité qui augmente la confiance en soi, favorise l‘harmonie intérieure, amenant plus d’autonomie et un sentiment de complétude. Les besoins créés par des peurs, des croyances restrictives et limitantes telles que le sentiment d’illégitimité, le doute de soi, enferment et empêchent l’amour et la lumière de se diffuser dans tous les corps créant des déséquilibres, amplifiant la peur, le manque d‘amour de soi, le besoin de reconnaissance extérieure, qui balade entre sentiment d’infériorité et de supériorité.
Je constate par expérience que l’acceptation de ce qui est, en permet l’intégration par l’amour et la compréhension claire. Mon « problème » de dépendance va bien au-delà de toutes considérations humaines. Il y a là aussi un lien avec le troisième œil, la puissance de la psyché et l’énergie masculine dans son aspect distorsionné. Puisque les glandes endorphines, la chimie intérieure, autorise ou pas son ouverture, il y a comme un besoin de réguler, de contrôler les choses artificiellement. La peur d’abuser du pouvoir, suite à l’expérience de l’Atlantide a généré des choix de l’âme, afin d’intégrer le cœur, l’amour, puisque la connaissance sans amour amène les pires déviances, manipulations et catastrophes, il a fallu comprendre par l’expérience, sur le terrain. En endossant des rôles spécifiques, au-delà de la notion bien/mal et de la punition/récompense, mais bien plus pour une compréhension vivante, dans la chair, les principes de l’amour et de la lumière indissociables. Les énergies de la source ont été perçues selon des points de vue différents, par contraste et l’usage du libre arbitre afin d’en comprendre l’essence et le sens.
J’appelle en ce moment, la source à purifier le masculin intérieur, à lui rendre sa pureté originelle et ceci se réalise par l’abandon de tout jugement, de la croyance en la dualité, par l’accueil des peurs relatives au pouvoir, l’acceptation des aspects « rentre dedans » de ma personnalité, l’amour pour tout ce que je suis, l’acceptation de ma puissance, des émotions telles que la colère.
Je suis contente de commencer mon stage, à la chambre des métiers le 23 janvier, même si je ne voie pas du tout comment ça va se mettre en place. Je me contente d’amplifier la confiance en mon âme, la perception de sa guidance, le lâcher prise. J’ai vu sa capacité à « vendre » son projet lors de l’entretien avec l’assistante sociale et ça me suffit pour continuer de lui faire confiance ! Je ne sais pas me vendre, du moins, je ne veux pas et j’ai encore tendance à faire l’amalgame entre vendre un service, un objet et se vendre, parce que l’amour de soi dépendait totalement de l’extérieur, de la reconnaissance des autres. Maintenant que je m’auto-valide, c’est-à-dire que je reconnais autant mes qualités que mes défauts et par ce fait, les défauts deviennent lumière, révèlent une protection, une mise en garde, un talent…je n’ai plus autant besoin que les autres me trouvent à leur goût. Même si je n’ai jamais trop joué la carte de la séduction, je me suis rendue compte, en étant parfaitement honnête et en me voyant objectivement, que malgré tout comme j’étais très souvent derrière un masque, ça me faisait entrer dedans inconsciemment.
Même si j’en ai ôté plus d’un, je ne suis pas totalement transparente, dénudée, la version purement authentique de qui je suis. Là non plus, je ne force rien, j’apprends à me découvrir peu à peu, dans tous les aspects de ma multidimensionalité. J’ai fait un gros travail, indispensable, sur les corps reliés aux chakras du bas et maintenant, il est l’heure de se tourner vers ceux qui sont reliés aux chakras du haut. Je ne veux pas lire ce que d’autres en disent mais en avoir une connaissance de l’intérieur. On peut trouver des interprétations très pointues qui expliquent le fonctionnement de l’humain et du divin mais je tiens à comprendre par moi-même, à honorer tout ce que je suis et à rendre intime la relation avec le divin intérieur, l’aspect masculin, la conscience christique, tout comme je le fais avec mon âme qui serait plus l’aspect féminin de la source. Enfin, là encore, c’est ma propre vision des choses et à ce sujet, on peut lire beaucoup de messages qui se contredisent ou se valident mutuellement.
Quand je parle de compréhension, il s’agit plutôt de trouver l’harmonie intérieure, la cohérence, la connaissance intuitive validée par tous les corps, par leur alignement.
Je vais tout de même publier les deux messages de James Tyberonn puisque c’est ce que j’étudie en ce moment et le fait que je sois tombée dessus maintenant n’est pas un hasard puisque je les ai depuis un certain temps dans mon ordi.
Il y a une différence entre lire des messages parce qu’on va sur un site et que l’on reçoit ce qui nous est présenté sans choisir et agir selon l’inspiration. Bien que le hasard n’existe pas, si on est abonné à une newsletter et qu’on lit tout, sans ressentir ce que ça fait résonner en son corps, ça reste de l’info qui sera oubliée assez vite. C’est aussi le signe qu’on n’est pas prêt à intégrer la chose, mais comme le nombre de messages va augmentant, si on veut que ça soit réellement utile à notre progression, notre compréhension, il y a intérêt à faire le tri, à user du GPS intérieur. Une fois de plus, la connaissance dissociée du cœur, du ressenti, est une nourriture qui risque d’enfler l’ego, de gaver le mental et de le rendre encore plus boulimique.
Source: les Chroniques de la Presse Galactique