par Lydia
Je suis émerveillée, et le mot n’est pas trop fort, par tout ce qui m’arrive ! Tout ce que j’écris sur ce blog est issu de mon cœur, de mes tripes, l’expression de mon ressenti associé à ma réflexion, basée sur l’expérience, l’analyse et comme je trouve de plus en plus l’équilibre intérieur, comme les conflits se dissipent par l’accueil de ce qui vient, j’ai la sensation d’être de plus en plus entière, complète et puissante. Je n’ai jamais douté de ma foi au christ intérieur, à l’auto-guérison, mais il me manquait l’équilibre qui permet de le vivre à chaque instant, de sentir la paix et l’amour divin de l’intérieur. Il me fallait connaitre l’amour vrai de soi, la source d’amour en soi.
Je parle beaucoup d’amour parce qu’il est Tout, la clef, la porte, l’essence, la substance, la raison d’être, le mouvement, le moteur, la nourriture, la création, le créateur, la source……………………………………………………………
Il se manifeste en toutes choses, bien qu’en apparence on puisse croire le contraire. Mais quand on se laisse aller à être, quand on se libère du carcan de la dualité, le monde apparait alors comme un magnifique puzzle où tout est à sa place, constituant un tableau parfaitement harmonieux !
L’erreur première, est de se référer à ce qui est extérieur à soi. On passe à côté de soi-même, de l’être divin d’amour et de lumière qui est la base de ce que nous sommes. Cet être de lumière est le fondement éternel et tout ce qui vient s’y ajouter est précieux. La personnalité humaine est l’embryon du futur être souverain, l’humain divin, manifestation parfaite, réalisée à l’image de la source. Fruit de la source divine, qui une fois reconnu comme tel, manifeste sa vérité unique, sa vibration spéciale qui ajoute une note merveilleuse à l’ensemble de la création.
La base de ma foi ; la loi essentielle de l’amour universel, inconditionnel qui régit tout, qui créé Tout. Ce qui veut dire que chaque cellule, chaque organe, chaque corps est précieux. Chaque dimension de l’être est indispensable à la réalisation, à la maturité de l’enfant divin que nous sommes.
Élargir sa conscience et son cœur, sont les prémisses et pour voir ce qui est, comme le fait la source, la présence divine, le christ intérieur, il est indispensable de libérer la notion de dualité. Tant que l’on reste soumis à ce point de vue, on ne peut accéder à l’amour, la source d’eau vie qui est en soi.
Ce n’est pas tant l’ego qui nous empêche de nous ouvrir à l’amour, au divin, ce sont nos peurs, le fait d’en être prisonniers, de les amplifier en les nourrissant constamment. L’ego est un personnage qui fait son travail, qui répond aux vibrations qu’il reçoit. C’est notre conscience qui choisit de se focaliser et d’amplifier et c’est là que réside notre pouvoir parce que nous avons toujours le choix entre l‘amour ou la peur. Le pouvoir ne consiste pas à détruire ses ennemis, l’état du monde, la surenchère en matière d’armement à la limite de la catastrophe planétaire, devrait pourtant nous enseigner la voie!
Peu importe qui créé le conflit intérieur, nous sommes là pour amener la paix en dedans, le royaume des cieux sur terre, en ce temple de chair. La présence Je suis, ou le divin intérieur, peu importe son nom, se divise telle une cellule, en particules de lumières plus ou moins denses, qui contiennent toutes son essence, une étincelle de lumière qui anime toute vie, de l’âme jusqu’au corps physique. Puisque tout est création divine, rien n’est à jeter, à exclure, à diaboliser, au contraire, le but du jeu, c’est de ramener tout au centre, de faire circuler l’énergie de la source en tous nos corps, toutes nos cellules, de façon à réveiller l’étincelle originelle, à activer la vie éternelle en notre mémoire cellulaire, notre ADN.
Tout amener à la lumière signifie tout voir en soi, dans les moindres recoins. C’est une expérience qui demande du courage et on le trouve en lâchant la notion de dualité, en en ouvrant notre cœur, en accueillant nos ombres. En lui, se trouve la porte qui nous permet d’accéder à la source et c’est en aimant tout ce que nous sommes, création divine en tout point, même nos défauts, nos handicaps, nos erreurs et peut-être justement surtout ce que nous qualifions de mauvais, que l’énergie divine peut alors s’écouler.
Tant que nous raisonnons selon nos croyances, nous sommes aveugles, conditionnés, formatés, totalement impuissants et hermétiques à la source divine. Ce point de vue rétréci nous amènera à croire que quelque chose d’extérieur à nous tient les ficelles. On accusera l’extérieur de nous manipuler même en ayant la foi. Les gens qui ne croient pas au divin, pense être manipulés par l’état, leur conjoint, leurs émotions, leurs sentiments…exactement comme ceux qui croient en Dieu, en la source.
Tant qu’on croit que le divin, le pouvoir sont à l’extérieur, on est impuissant, manipulé.
J’ai beaucoup de doutes concernant l’hypothèse Reptilienne qui me semble proche d’un scénario sorti du mental, de la croyance au bien et au mal. Quand on retire les artifices, la trame est vraiment duelle. Il me semble que selon la logique évolutive, nous soyons passés par tous les états. Mais, ramener ça au niveau de l’entendement humain comporte beaucoup de pièges…
Selon ce que je ressens, les choses sont plus simples et la seule chose utile à retenir, c’est que nous sommes avant toutes choses, des êtres d’amour et de lumière, tous issus de la source père mère. En libérant la notion de bien et de mal, on a une vision épurée qui gomme les images basées sur la division et font des différences malsaines, qui engendrent tous les conflits.
Les reptiliens tels qu’ils sont présentés en général, sont la manifestation de notre difficulté à accepter l’aspect animal, l’inconscient et l’ego. De tout temps, l’homme a imaginé un ennemi extérieur, refusant d’être responsable de ses propres créations, refusant d’admettre ce qui le dépasse, ses peurs, ses instincts, son désir.
Le pouvoir, la puissance font peur parce que nous les regardons à l’extérieur. Depuis que je déverse l’amour de la source, de ma présence divine, sur mes peurs, mes visions erronées des contraires, ma vision change et peu à peu, je vois la beauté de la création en toutes choses.
Elvira Amrhein
Toute l’énergie déployée vers l’extérieur est une perte de temps et nous éloigne du divin intérieur. Quand on accepte l’idée d’être le créateur de tout ce que nous sommes, de tout ce que nous avons été et de tout ce qui se manifeste en nous, nous retrouvons le pouvoir qui n’est autre que celui d’aimer. Accepter d’être responsable de ses émotions, d’en être le créateur, signifie que nous n’en sommes plus esclave.
Une émotion n’est pas mauvais en soi, elle exprime simplement un blocage énergétique, une distorsion de l’amour divin, un déséquilibre. La colère, c’est de l’amour frustré, elle se manifeste quand on est dans l’attente et que celle-ci est insatisfaite. Elle nous appelle simplement à revenir au centre, à rétablir l’équilibre intérieur qui se réalise en quelques respirations.
Une fois qu’elle est apaisée, elle s’exprimera d’une autre façon, elle donnera du corps à ce qui sera dit. La fermeté dans le ton sera suffisante pour que l’autre comprenne qu’il va trop loin. Pour mon cas, elle avait un fondement réel, elle était l’expression de la nécessité de poser des limites, de libérer le rôle de la victime.
J’ai pu constater l’effet positif du coup de gueule poussé envers Allister, il y a quelques jours. Comme je n’ai rien réfréné, comme j’ai laissé s’exprimer quelque chose de juste et que je n’ai pas culpabilisé, l’énergie qui l’accompagnait a fait son œuvre. C’était de l’amour de soi exprimé de façon juste mais avec fermeté. Poser ses limites sans y ajouter des sentiments issus de la peur, produit un effet bénéfique. Depuis ce jour, il manifeste du respect à mon égard.
Un enfant teste toujours ses limites en éprouvant son environnement, en poussant le bouchon de façon à connaitre son pouvoir. Si la personne réagit à partir de la peur, l’enfant sent l’énergie et entrera en conflit. Comme il ne peut pas le faire ouvertement, il agira sournoisement. C’est ce qui se passait quand je tentais de lui expliquer les choses de façon douce. Derrière ce comportement se cachait la peur d’être injuste, celle de ne pas savoir comment poser des limites, le doute de soi, le manque d’amour et de reconnaissance envers mon propre enfant intérieur.
Puis comme je n’ai pas agi pour le changer mais j’ai simplement posé mes propres frontières, en ne me préoccupant pas de ce qu’il allait penser, ni même comment il réagirait, il semble que ça mûrit en lui. De toute façon, ça n’est plus mon problème.
Pour en revenir aux soi-disant manipulateurs génétiques, on peut voir les choses sous un angle différent, à partir du cœur.
En venant sur terre, nous acceptons les conditions, les règles du jeu. Le voile de l’oubli en fait partie mais il n’y a aucun intérêt à connaitre les détails « techniques ».
La seule chose qui compte, c’est de savoir qu’en choisissant d’être responsable de soi, en gérant son monde intérieur et en connectant le divin en soi, on libère ses voiles. Qu’ils soient au niveau de l’ADN, des cellules, des vies antérieures, notre pouvoir d’action réside dans le présent.
Chaque instant, nous pouvons choisir de croire en ce qui nous fait la vie belle, ce qui amplifie l’amour de soi et de toute vie ou croire que nous n’avons aucun pouvoir sur ce qui se manifeste en nous.
En passant, la théorie des méchants aliens reptiliens ressemble beaucoup à celle de l’évolution de Darwin ! Il est probable que ce soit le cas et oui nous avons un cerveau reptilien qui fonctionne par instinct de survie mais ça fait partie du jeu et la solution, c’est le juste milieu, l’amour de tout ce qui nous constitue.
Jonas Jödicke
La rencontre avec le divin intérieur se réalise par l’ouverture de cœur, en regardant ses peurs en face et non par les connaissances accumulées qui ne font qu’éloigner de l’expérience, enfler l’ego et creuser l’écart avec les autres humains. L’amour vrai de soi ne se cultive pas en se sentant supérieurs aux autres.
Quel intérêt de savoir si nous sommes indigos, cristal, arc en ciel, bleu, vert, jaune ?
Quel intérêt de connaitre nos origines galactiques puisque nous sommes tous issus de la source. Là aussi, qu’on me dise ce que ça apporte au quotidien.
Est-ce que l’amour de soi est basé sur des valeurs intrinsèques, sur l’être, l’essence véritable ou est-ce qu’il est fondé sur les comparaisons ?
Quel attitude avez-vous avec vos voisins en sachant que vous venez de Sirius, des Pléiades…êtes vous plus aimant, plus tolérant ?
La personnalité humaine a vite fait de s’enorgueillir et tant qu’elle ne goûte pas l’amour véritable, celui qui vient de l’intérieur, elle est enfermée dans ses raisonnements duels.
Savoir que le christ vit en chacun, que ce principe permet de transcender les limitations humaines, d’aimer sans conditions, c’est quelque chose de merveilleux qui peut amener la paix sur terre, la fraternité, l’égalité.
Mais les plus rusés en font un business, profitent de la peur des gens de se prendre en main, pour continuer de pointer du doigt des ennemis. L’église tirait son pouvoir de ce procédé en diabolisant la chair, les désirs, la sexualité…
On a mis le diable aux oubliettes mais maintenant on nous invente des nouveaux ennemis qui sortent tout droit de films de science fiction. C’est plus sophistiqué et complexe mais le schéma est toujours aussi basique et enfantin
Jusqu’à quand l’humain fuira-t-il ses émotions, son cœur, sa vraie nature ? Le rejet d’une part de soi, équivaut à rejeter une part de la population mais l’inverse est aussi vrai.
Alors chacun a le choix, continuer de diviser ou chercher l’unité.
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