par Lydia
Je suis sur un nuage ce matin! Je me suis réveillée en pensant à mon amoureux et la sensation d’être près de lui hier soir après qu’on se soit téléphoné a été si forte que je suis tombée comme une masse ! Je me connecte souvent à lui au niveau de l’âme, au niveau subtil et je ressens sa présence, l’énergie d’amour en moi et entre nous. Ma foi est forte et elle couvre tout les domaines de la vie, l’aspect du divin intérieur omnipotent est en développement. Enfin, je pense que le pouvoir de se déplacer, de fusionner au niveau éthérique ou énergétique, est en chacun mais qu’il nous manque la foi pour le réaliser. L’expression: « L’amour donne des ailes » est une réalité ! J’ai vraiment la sensation de pouvoir me « transporter » jusqu’à lui. C’est une certitude au niveau du mental puisqu’il me suffit de penser à lui, de me souvenir certaines « scènes » pour m’y retrouver. Puis comme le temps est une illusion, que tout arrive dans le moment présent, les sensations ressenties alors, sont revécues. C’est encre plus fort au niveau du cœur et de l’âme. Quand je me centre et pense à lui, je peux sentir l’amour qui circule à l’intérieur même si c’est encore subtil.
J’ai retrouvé la bonne fréquence que j’avais perdue ces deux derniers jours. Tant que je me disais qu’une fois de plus, ma mère venait déranger ma vie, je nourrissais la colère envers elle et envers moi-même. Je me disais que j’aurais dû lui dire de ne pas venir, que j’avais trahi mon désir de rester auprès de mon amoureux, ma vision était enfermée, limitée. D’un autre côté, comme je savais que tout ce que l’on vit a un sens et que c’est « voulu » par l’âme, ça m’empêchait de sombrer dans l’idée que je me faisais encore manipuler, contraindre. J’ai passé ces deux jours à accueillir toutes les émotions qui venaient. Enfin disons plutôt que je n’ai rien retenu, amplifié, ni même réfléchi aux pensées qui émergeaient. Je n’ai pas jugé le côté infantile de certaines de mes réactions mais j’en ai fait une occasion d’embrasser l’enfant intérieur. J’étais consciente des rôles que je jouais et c’était suffisant pour ne pas se prendre au jeu.
Ma séance de Reiki quotidienne s’est terminée par un roupillon de deux heures et j’ai senti que tout ce que je n’arrivais pas à libérer à l’état de veille, ce sur quoi j’avais tendance à bloquer, était traité pendant mon sommeil. La méditation en temps « ordinaire », n’a pas toujours un impact puissant mais elle représente une ancre, un moment de communion avec le divin intérieur qui permet d’appréhender la vie avec plus de sérénité et dans les moments qu’on pourrait qualifier d’épreuve dans le sens où ils nous sortent de notre zone de confort, ça devient carrément un grand secours et ça facilite grandement l’intégration des nouvelles énergies, de l’amour vrai et la guérison des mémoires cellulaires, karmiques. Finalement, c’est encore la preuve que tout peut être fait dans la facilité. Quand on sent que la personnalité bloque, on fait appel au divin qui prend le relais et si le mental ne peut pas lâcher prise, en revenant en son cœur, simplement en respirant et en pensant à se situer dans l’amour, tout se calme.
Quand je pédalais contre le vent hier, j’ai demandé pardon à mon corps physique de l’avoir négligé pendant deux jours en le nourrissant mal, enfin trop peu et en ayant nourrit des pensées de colère. Puis j’ai demandé à mes cellules d’activer la régénération cellulaire et la force afin de ne pas souffrir de cet exercice physique soudain d’autant plus que c’était pour aller voir le toubib. L’idée que je pouvais fournir un effort pour avoir « ma dose » m’est venue mais elle a été estompée par la foi en l’amour vrai de soi qui guérit tout et libérée la lecture d’un texte de Mesnet qui n’est pas tombé sous mes yeux par hasard ! Merci les synchronicités. Elle parle de la dépendance et de son rôle dans nos vies. Du moins quand on sait remercier cette situation qui nous permet de prendre conscience de nos peurs, de nos besoins et ainsi de pouvoir les lâcher en les entourant d’amour. Cette attitude vis-à-vis de ce que l’on qualifie de faiblesse est un moyen d’amplifier considérablement l’amour de soi. Tout comme l’enseigne Lise Bourbeau, c’est en ayant un regard bienveillant sur soi-même, en acceptant toutes les situations que nous vivons, que nous grandissons en sagesse, en conscience et en amour.
Miles Morgan
Quand je me suis adressée à mon corps physique avec reconnaissance, respect et que j’ai accepté d’être dépendante des cachets, j’ai senti un regain de force et les tiraillements musculaires se sont effacés. C’est comme si un souffle me portait malgré le vent qui me venait en face. J’ai été épatée par ce constat et l’idée que la foi grandissante nous permet de retrouver des pouvoirs, m’est clairement apparue.
Comme j’ai relativement bien réagi à ce qui se manifestait hier, j’ai la nette sensation d’avoir retrouvé la fréquence du cœur et que le travail qui restait à faire a été effectué durant la nuit. Si je reviens là-dessus, c’est pour mettre en évidence l’idée que la facilité peut être intégrée au parcours évolutif, au processus de guérison.
Le lâcher prise peut se faire pendant le sommeil et le savoir permet de se détendre. Bien que l’appel au divin trouve toujours une réponse, on peut être si confus ou sur une fréquence vibratoire si basse, qu’on ne se rendra même pas compte de son action. Puis si on résiste mentalement, si on a de la difficulté à accueillir ce qui est, à ne pas s’y accrocher, le nourrir, notre corps physique demandera du repos afin que l’intégration se fasse plus facilement.
C’est vraiment le résultat des énergies envoyées par la source qui amplifient la foi et donc son efficacité, puis qui activent nos pouvoirs psychiques. Les libérations placent sur une fréquence supérieure et permettent un regard nouveau sur ce qui est. Ceci ouvre notre cœur et élève encore notre fréquence. Quand on revient au cœur par l’amour vrai de soi, le recul permet de voir ce qui avance et donne du courage pour continuer.
Tout ce que j’ai lu à propos des dons et talents que nous retrouverions est une réalité. Non seulement la connexion à l’âme est permanente lorsqu’on est conscient d’être divin mais j’ai des visions, et la capacité de communiquer à distance simplement par la pensée, commence à être développée ou reconnue. La seule chose qui pouvait me faire croire le contraire, c’était ma façon de concevoir le divin et les talents. J’avais une idée à ce propos trop proche de la magie, infantile. Il est évident que ce qui se passe au niveau subtil ne peut pas être envisagé par le mental même si celui-ci s’exprime aussi de façon « invisible ».
Tout est énergétique, vibratoire et la seule chose à faire en toutes circonstances, c’est de retrouver la fréquence de l’amour. Le fait de m’être acheté des vêtements hier, d’avoir suivi mon impulsion, m’a aidée à m’élever vibratoirement. Une fois sur la fréquence de l’amour, j’ai pu relativiser les choses et me souvenir que rien ne peut me contraindre à part moi-même.
Je m’agaçais à devoir faire du ménage mais c’est mon mental qui m’insufflait cette idée, en faisait une obligation. La peur d’être jugée l’incitait à me pousser en ce sens. Puis, je me suis dit que l’appart n’était pas si sale et que ma mère ne venait pas inspecter les lieux mais plutôt me voir. Cette seule pensée a suffit à me faire changer mon regard sur la situation.
Plutôt que de me dire que j’étais obligée de faire les choses, j’en suis venue à choisir de les accueillir dignement et même si ça m’oblige concrètement à faire du ménage, l’énergie qui sous-tend cette action étant totalement différente, ça devient un plaisir.
Idem concernant cette visite que je considérais comme un obstacle à mon bonheur. Même si j’y voyais une occasion d’affirmer mes choix, tant que je restais bloquée sur ce point de vue, il n’amenait que rancœur et colère.
En me disant que mon âme « prépare le terrain », épure, créé des situations pour guérir, changer, amplifier l’autonomie affective, l’amour en moi et dans la relation aux autres, je peux voir effectivement la pertinence de cette situation.
Je peux « mesurer » l’intensité de mon amour pour Yves, mon degré de dépendance à cet amour, affirmer mes choix, retrouver le centrage et utiliser les repères créés dans mon appartement de célibataire pour fortifier ma personnalité, ma foi et mon autonomie affective et matérielle.
En pédalant devant le camping, je me suis dit que la région touristique pouvait m’aider à me sentir en vacances, à lâcher prise sur les obligations et suivre l’élan du moment, la liberté d’être que l’on éprouve lorsqu’on est en congés. Ce matin l’orage gronde ! Le jardin a été copieusement arrosé pendant la nuit, ce qui me laisse du temps pour préparer l’appart et le repas de ce midi. Merci la vie bienveillante, les synchronicités, les choses qui changent selon la fréquence sur laquelle je me trouve.
Je sens que la coupure du cordon ombilical va se faire dans la tendresse. Je n’ai jamais aimé la phrase de Freud je crois, qui dit « qu’il faut tuer ses parents ». Même si c’est une métaphore, c’est chargé énergétiquement et je suis persuadée que ça peut se faire en douceur. Simplement en étant ferme et déterminé dans ses choix. Bien sûr, ça demande de ne pas craindre la réaction des parents don d’être plus autonome affectivement, détaché mais en ayant un amour vrai pour soi, son âme, quand on reconnait être un humain divin, on ne peut pas se fâcher pour se séparer.
Je ressens le soutien de ma famille d’âme, de mon âme, de ma présence divine, de la terre mère qui sont présents en ce moment et m’aident à fortifier ma foi. Une grosse pluie est en train de tomber ! Je lui offre la tristesse de l’éloignement de mon amoureux qui du coup se change en joie de le retrouver bientôt.
Là encore, tout dépend du regard qu’on veut porter sur une situation. On peut voir l’aspect « négatif » ou le positif. C’est le truc de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine !
Quand on apprend à revenir à l’instant présent et à suivre simplement ses envies, déjà, on se libère du poids du temps et on retrouve la fréquence de l’amour. En cela, nous avons un grand pouvoir.
Puisque les pensées ne sont pas réelles, puisqu’elles viennent de l’imaginaire, autant choisir les plus belles. Parce que bien quelles soient illusions, leur impact lui est bien réel ! Elles peuvent nous transporter sur des fréquences diamétralement opposées et en cela le fait de revenir au centre, nous permet d’être sur la bonne longueur d’ondes, celle qui permet la communion et donc le soutien ressenti du divin intérieur.
Une bonne nouvelle, je n’ai pas encore pris mon premier bout de médicament alors qu’il est déjà presque 9 heures ! J’ai remarqué que lorsque j’étais sur la fréquence de l’amour, que ce soit seule ou avec mon amoureux, le besoin de prendre ce truc n’était pas présent.
Il faut que j’arrive à voir cette dépendance comme un choix de l’âme, quelque chose qui est positif plutôt que de continuer de nourrir la critique à ce sujet ! Pas évident lorsqu’on s’imagine que c’est en ayant de la colère envers une situation, qu’on peut la changer. Oui, quelques temps, on arrivera à s’en passer mais comme ce n’est pas l’amour qui nous aura guidé mais la peur, ça ne tiendra pas longtemps. On replongera et le dégoût de soi, l’échec, amplifieront la sensation d’être une merde. Je ne force pas non plus dans l’autre sens, à me dire que c’est très bien comme ça ou encore que j’aurais besoin toute ma vie de ce produit mais j’essaie de le voir comme un soutien momentané.
Que ce soit en amour, vis-à-vis des parents ou d’un produit, un détachement se fait dans l’amour et pas dans la colère, la haine ou par la force de volonté. Seule l’acceptation de ce qui est, ramène sur la fréquence de l’amour et on fait mieux la part des choses. J’ai dû couper la connexion tant l’orage est puissant.
J’offre ma colère, s’il en reste en moi, à ma présence divine et m’entoure de l’amour de la source afin de poursuivre cette journée dans l’amour, la joie et la légèreté. Je retrouve les sensations liées à la connexion à l’âme, la terre mère, avec délice !
J’ai tout remis en état et préparé le repas en deux heures! La motivation portée par le cœur donne de l’énergie.
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