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par Milén@OR

Guidance des HATHOR du  27/02/2013

Rediffusion de cet article plus que jamais d’actualité

Nos blessures et celles que nous infligeons laissent une trace biologique dans l’ADN de nos enfants, mais aussi dans celui des enfants de tous ceux avec qui nous sommes en résonance…

Comment cela se fait et comment pouvons-nous en sortir?

Nous naissons avec un ADN unique. Néanmoins, les scientifiques ont mis en évidence que les abus (traumatismes et autres…) laissent une trace biologique dans notre ADN. Pour les personnes qui pratiquent la guérison holistique cette information était déjà une évidence. La science l’a également démontré.

Si nous modifions notre ADN en fonction de nos blessures intérieures, alors nous les transmettons à nos descendants et aux générations futures. Il s’agit des mémoires transmises par le biais de notre génétique, les mémoires cellulaires.

Une personne particulièrement stressée ou violente, peut l’être à cause d’un abus vécu par l’un de ses aînés.
Et cela affecte le comportement de l’individu qui n’a même jamais été confronté directement à ces traumatismes.

Si nous partons du fait que des chocs traumatiques (viols, abandons, trahisons etc…) peuvent modifier une partie chimique de l’ADN et peut se transmettre sur plusieurs générations, alors on peut se demander s’il est possible de faire machine arrière et de corriger ces abus…. ?

Or c’est possible, nous le savons maintenant, le temps est une illusion et l’histoire du passé n’est jamais écrite que dans un futur que nous créons à chaque instant.

Mais ce n’est pas tout, l’épigénétique (domaine qui étudie comment l’environnement et l’histoire individuelle influent sur l’expression des gènes), explique comment les informations peuvent transiter entre les individus par simples ondes. Notre environnement est donc un acteur important dans notre façon d’être et nous influons fortement sur cet environnement.

Les Hathor nous disent :  » Vos pensées ne sont pas toujours les vôtres et vous n’y prenez garde. Parfois vous vous surveillez et parfois vous vous oubliez. Dans ces moments d’oubli, vous émettez les souhaits des autres, tous ceux que vous avez rencontré. Le savez-vous ? »

Ne vous est-il jamais arrivé de vous sentir en colère sans raison apparente en sortant du métro ? A ce moment, que faites-vous ? Votre Ego ramène à votre conscience un évènement passé et vous vous y accrochez. Et que se passe t-il ? Vous alimentez ce que les Hathor appellent « le lieu de la complexité ».

 » La complexité n’est que le moment où tout s’organise, nous avons dit le moment ? Nous devrions plutôt comprendre le Lieu … La complexité est en fait un sujet très simple, c’est le Lieu où tout est déjà en place, avant même que vous soyez venu le chercher. Mais alors, dites-vous, comment est-ce possible ? Et bien simplement parce que vous l’avez engendré par votre pensée. Vous vous demandez pourquoi vous n’obtenez pas ce que vous vouliez ? Et bien parce que dans le Lieu de la complexité vous avez envoyé le souhait de ne pas le recevoir… Oui … ! Et cela, vous l’avez fait bien plus souvent que de le souhaiter réellement, alors la complexité tient bien ses comptes et a tranché. » Les Hathor

Ce « lieu de la complexité » répond au phénomène de résonance. Il est l’écho de nos mémoires cellulaires, la trace de ce que nous portons dans notre ADN. A chaque fois que monte en nous la moindre petite colère, c’est une fenêtre qui s’ouvre sur ce lieu caché, une opportunité de se souvenir de notre futur déjà créé, pour le réengendrer.

Or, nous avons la possibilité de nettoyer ce  » lieu de la complexité », à chaque instant. Comment ? Simplement en pratiquant: la Cohérence. la Cohérence est l’adéquation entre ce qui est réellement nous et ce qui vient d’un extérieur auquel nous avons l’habitude de S’identifier.

Cet extérieur est aussi le reflet de notre intérieur, puisque la loi d’attraction est la réponse parfaite à l’écho émanant du « lieu de la complexité ».

Nous nous retrouvons du fait au sein d’un cercle vicieux dont le seul moyen de sortir est de dire STOP… en hébreu DAÏ … Ce qui explique pourquoi Dieu se présente à Abraham sous le Nom d’EL SHADAÏ, EL: le Dieu, SHA: she amar ( qui dit) DAÏ. Le Dieu intérieur qui dit STOP …

« Vous avez chacun votre Boite, une partie fractale de ce Lieu, sur le dessus sont vos dernières créations. Pensez à faire le ménage. Pour cela, il vous suffit de tout récupérer et de trier autant que vous pouvez, pour ne laisser que ce qui vous ressemble. Ce qui n’est pas à vous, annulez le … Que chaque chose reprenne sa place en ce Lieu et ce Lieu vous le rendra. Une nouvelle énergie vous habitera. » Les Hathor

« Nous vous l’avons dit, votre mission s’inscrit dans ce qu’il vous est donné d’expérimenter. Mettez simplement en cohérence votre mission et vos pensées. Tout ce qui n’est pas en cohérence n’est que fantasme. Ce n’est pas à vous. Ce n’est que tout ce que vous avez glané de ci de là, remettez ces choses à leur place et ne gardez que ce qui vous appartient. Vous n’avez rien à corriger, contentez-vous d’apprendre à gérer la Cohérence. Petit à petit vous deviendrez de plus en plus avertis. La Cohérence est l’adéquation entre votre Mission et votre Boîte. La Cohérence est parfaite quand rien n’est déplacé. » Les Hathor

La Cohérence est un outil de vie. Le fait d’agir en accord avec ce que nous sommes réellement constitue un gage de succès dans toutes nos entreprises, mais aussi dans celles d’autrui.. Il est donc d’une importance capitale de discerner au service de quelles intentions nous fonctionnons et utilisons nos pensées. Agissons-nous sous la pression des peurs de notre ego ou bien sommes-nous motivés par les intentions apaisées de notre être profond ? Nous devons apprendre à faire la différence entre ce qui vient réellement de nous et ce qui se colle à nous par résonance.

Se connaître soi-même est la première gratification du retour vers soi, et en cela, la méditation est une aide plus qu’efficace. prendre le temps pour soi, pour aller vers soi. Ainsi que Dieu le dit à Abraham : « Lech lecha » « Retourne vers toi ».

C’est dans notre coeur que se trouve la vérité, il suffit simplement d’apprendre à l’écouter et ainsi nous pourrons nous reconnaître.

« Bien sûr, nous n’allons pas vous répéter que votre coeur bat la mesure de la Cohérence, vous le savez. C’est votre coeur qui sait ce qui est de vous et ce qui ne l’est pas. Ecoutez le. C’est la B.A-ba de la Reconnaissance. » les Hathor

Mais le coeur ne suffit pas, l’intelligence est aussi requise pour favoriser le discernement. Car soyez en conscients, nous vivons un paradoxe.

« Le monde est arc bouté sur un espace absurde qui déploît une mélodie de temps qui vous parait infini alors que tout cela n’est qu’un instant. Seul cet instant est infini. L’instant d’un Souffle. » Les Hathor

Il est nécessaire de comprendre que tout se passe en même temps. Ce que nous vivons en sortant du métro lorsque monte en nous cette colère qui va aller s’alimenter des aléas du quotidien, nous le vivons en même temps, dans un autre temps. Cet autre temps est inscrit dans nos mémoires cellulaires par ce que nous avons reçu génétiquement. Ainsi, ce qui n’est pas à nous, est à nous ! Et là commence le paradoxe.

Ce que nous appelons « notre âme » est en réalité un complexe de plusieurs « étincelles » organisées en un certain design en chacun de nous, et ce design engendre une signature vibratoire. Ces « étincelles » ne nous appartiennent pas, elles vivent de la même façon au sein des autres âmes, au sein de tous ceux que nous côtoyons, comme de ceux que nous n’avons jamais rencontré, organisées en vertu d’une résonance qui répond à l’écho du haut « lieu de la complexité ».

 » Ce qu’il faut comprendre, avant tout, c’est que vos parties d’âme n’ont pas toutes la même fonction, ni la même destination et à ce sujet la Kabbale vous enseigne, en effet… » Les Hathor

En réalité, ce que nous croyons être nous n’est qu’une symphonie vibratoire organisée selon une géométrie déterminée par ce que nos ancêtres nous ont légué… Mais alors qui sommes-nous et comment se retrouver ?

Simplement en écoutant notre coeur, car là habite un être intérieur qui n’est pas incarné. Un « pauvre » enfant qui demande à être réhabilité dans son pouvoir de transcendance. Il est l’Autre en nous, il est le « prochain » que nous devons aimer autant que nous-même, celui qui demande à être reconnu, pour enfin pouvoir se manifester.

Nous sommes des « êtres-temps » organisés selon un design, une géométrie temporelle, qui peut être redéfinie à chaque instant par l’exercice de notre volonté.

« Il y a une seule chose dont Dieu même est privé, c’est de faire que ce qui a été fait ne l’ait pas été » (Aristote)

Il existe une « métaphysique du présent », qui est celle de l’être-temps et qui affirme : l’éternité, c’est maintenant. Cela n’est pas seulement une vue de l’esprit ou une reconnaissance du plaisir des petites choses merveilleuses offertes par la vie. Cela est une éthique de l’acte dans le présent : exister, c’est « insister », vivre c’est « résister ».

La résistance est ce qui créé la vie et c’est à cette résistance que nous devons nous abandonner. L’abandon n’est pas l’indifférence, bien au contraire, cet abandon est un engagement balayant toutes croyances, une foi illimité en la vie qui est résistance. Et cet engagement détermine le vécu de notre conscience.

Nous avons comme but essentiel de récupérer les étincelles pour les libérer et cela se fait par l’engagement à examiner et trier nos pensées, afin d’aider à ce que chacune d’elles retrouve sa place. Nous sommes les « femmes de ménage » du grand projet Divin ! …

Mais pour faire ce travail il nous est accordé un salaire. Nous pouvons changer de « ligne de temps » et transformer totalement notre ADN, notre vie et celle de tous ceux avec qui nous partageons ces étincelles.

« Vous pouvez choisir durant votre vie une ligne de temps et en changer, dès que la mort de ce corps arrive, vous êtes à jamais gravés dans celles que vous avez expérimentées. » les Hathor

La vie est notre cadeau en qualité de faculté à résister, car dans le monde de l’au-delà, nous n’avons pas cette possibilité.

Cet engagement inscrit à chaque instant dans notre présence est ce que nous appelons « l’appel de l’Abondance », la Emouna (mot hébreu qui veut dire Foi), le « Amen » qui ponctue la totalité de notre vécu conscient :  » Que cela soit écrit » disaient les égyptiens… En effet, c’est ainsi que nous écrivons notre histoire, mais soyons conscients que cette histoire peut se réécrire à tout moment. Le passé est un leurre et le futur est un potentiel ou un « pot en ciel » au sein duquel nous avons le devoir de choisir ce que nous voulons réserver, pour nous, mais aussi la totalité de l’humanité.

Ainsi, il est inutile de juger les choix de certains qui ont choisi de se servir eux-mêmes au détriment des autres, ils ont effectivement défini leur polarité.

Ce à quoi nous devons nous intéresser, c’est toute cette masse informe et indifférenciée, formée dans l’égrégore de l’ignorance, constituée par tous les individus non-conscients et « moutonnés » qui veulent faire le bien sans oser résister. Les morts-vivant dont parle Jésus de Nazareth, lorsqu’il dit: « suivez-moi et laissez les morts enterrer leurs morts ».

Tous ces individus portent en eux les étincelles qui ont le désir d’être libérées. Ces étincelles sont identiques à celles que nous portons tous en nous, réparties selon des schémas de résonance que nous n’avons pas à disséquer. La seule chose que nous ayons à faire, c’est de les récupérer, de les libérer, et ainsi de réparer ce qui fut brisé au moment de la chute dans un corps de chair du premier homme/femme incarné.

Ceci est notre Service d’autrui qui n’est, en quelque sorte, qu’un Service de soi déguisé, pour le plus grand bien d’un « Carnaval » organisé par le Maître du Monde, le Créateur de toutes choses, présent en toutes choses et en chacun de nous pour et par l’Éternité.

Que cela soit écrit …

Miléna

Merci de reproduire ce texte uniquement dans son intégralité en veillant à citer sa source: http://www.elishean.fr