par Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien
Madame, Monsieur,
Je suis le Professeur Henri Joyeux, cancérologue et chirurgien.
Je vous écris car le Haut Conseil de Santé publique a publié un rapport qui préconise :
- d’introduire massivement dans les écoles la vaccination contre les papillomavirus (HPV), pour essayer de lutter contre le cancer du col de l’utérus et d’autres infections sexuellement transmissibles ;
- d’abaisser à 9 ans l’âge de la vaccination, pour les filles comme pour les garçons.
A mon avis, cela ne peut qu’être le résultat du lobbying des labos pharmaceutiques internationaux.
Les 2 vaccins actuels appelés Gardasil et Cervarix, comportent des risques d’effets indésirables graves.
Pire, ils vous cachent que ces vaccins ne protègent pas du tout à 100 % contre le cancer du col de l’utérus. La protection est à peine de 70 % !
Cela veut dire qu’une personne vaccinée a toujours 30 % de risque d’attraper le cancer du col de l’utérus.
Les papillomavirus se transmettent par voie essentiellement sexuelle. Cela signifie que le vaccin ne devrait concerner que les populations à risque.
Vacciner massivement les petites filles (et bientôt aussi les petits garçons) dans les écoles n’a aucun sens.
C’est leur faire prendre un risque qui, dans beaucoup de cas, n’est pas justifié.
C’est pourquoi je vous invite à signer notre pétition demandant un moratoire pour ces vaccins qui ne doivent pas être imposés dans les écoles, sans une information complète et transparente des parents.
N’acceptez pas que les Autorités appliquent à votre enfant une mesure sanitaire qui n’est pas faite pour lui.
Pétition et suite sur http://www.ipsn.eu/
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