justesse2

par Lulumineuse

 

Bonjour les lumières !

 

Hier dès le lever, je me suis aperçue que je n’étais pas dans mon état vibratoire habituel. Je me suis traînée toute perchée que j’étais toute la journée 🙂

 

Je suis bien au courant de l’ancrage, mais je reconnais lorsque cet état est voulu, c’est-à-dire, quand mon équipe et mon vrai-moi me trament quelque chose. J’ai patiemment accepté cet état, car jamais je n’y suis forcée. J’ai laissé cette vibration m’épouser tout au long de la journée jusqu’au coucher. Je ne me pose aucune question dans cet état, je suis animée par une confiance qui me berce de sérénité.

 

Le soir, j’ai été amenée à calculer sur un plan non mental  des données qui devaient reconnecter des choses dans mes propres codes. Ce que j’appelle  « non mental »,  ce sont des calculs qui m’apparaissent, des données qui se calculent toutes seules et qui me font l’effet d’un enseignement « programme » un peu comme dans la Belle Verte mais sans le coup de tête ! Héhéhéhé je ris toute seule à chaque fois que j’en parle de ces « programmations BING » 😀

 

Après ces données reconnectées, j’ai été amenée à regarder  la date de naissance d’ Omraam Mikhaël Aïvanhov. Puis la date de sa transition. Puis son chemin de vie, puis mon adresse, puis mon âge, puis son année, puis puis puis tout plein de chiffres qu’on m’a montré et qui s’harmonisaient entre eux jusqu’à ce que je sois comme branchée à son rayonnement. Cette reconnexion en conscience (bien que littéralement perchée !) a été une très forte reconnaissance intérieure. On m’a fait lire certains de ses enseignements et j’ai j’avais la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés tellement j’avais cette impression que mon esprit avait fait du plagiat dans une version contemporaine !

 

Et là ils rient… j’aime ça quand ils rient. OOOH ! Je le vois lui ! Il me montre sa date de départ, 1986. C’est ma date d’arrivée ! Il me dit que c’est aussi la date d’arrivée de bon nombre de lumières et je vois un flux qui se divise en plusieurs branches, comme pour m’indiquer que cette source à été relayée en plusieurs lumières.

 

Aucune importance de savoir qui et pourquoi. Je ne me pose aussi aucune question sur moi-même. Je suis juste ravie de  cette rencontre et j’ai parfaitement conscience que je n’ai rien à attendre. Tout ce qui s’imprègne en nous rejaillit dans l’être et nous amène le faire si nécessaire, comme un effet secondaire.

 

Je ne peux pas écrire tout ce que j’ai reçu, tout ce que j’ai reconnecté. Et d’ailleurs si je le faisais pour chaque jour, je ne pourrais pas vivre mon incarnation parce que fiouuuuuuuuu ! Ce qu’il se passe sur les autres plans chaque jour pour toutes les parties de nous prendrait des années d’écriture sur ce plan.

 

Ce matin, cette sensation s’était comme fondue en moi. Vous savez ces « tilts » qui nous font des bons intérieurs et qui nous paraissent une partie de nous quand le soufflé est retombé 🙂

 

Cette année 8 de la loi du retour nous place dans l’expression de la justesse en tout notre être. Et toute manifestation au-delà ou en deça de cet équilibre nous demande instantanément de le réguler. Douloureusement ou non, suivant notre volonté profonde de résonnance.

 

C’est sur cela que j’ai écouté pour vous partager ce qui suit.

 

J’ai écouté le souffle et retranscrit, rien ne m’appartient, tout provient de la même source, celle d’où tout provient ! Même s’il existe tout un tas de relayeurs <3 Trop chouette !

 

La vie est un équilibre constant dans un transit de flux permanent.

 

Les principes divisés sont l’expression d’une polarité de ces flux, le résultat d’une dissociation d’un équilibre originel.

 

Le mal n’a d’existence qu’en opposition du bien.
Le bien n’a d’existence qu’en opposition du mal.

 

Les deux sont des polarités dissociées du flux de la justesse.

 

L’opposition nait de la dissociation.

 

Chaque expression d’une polarité intérieure exprime en complémentarité la polarité qui l’oppose. Car l’expression d’une principe divisé est aussi l’expression non manifestée de sa partie opposée.

 

Quand nous choisissons d’exprimer la santé, nous choisissons de manifester cette polarité et de placer la polarité de maladie dans sa non expression. Nous choisissons aussi de dissocier deux principes d’un unique principe de paix intérieure, berceau de l’équilibre des fréquences qui nous composent.

 

Lorsque nous choisissons de rayonner la santé, nous élevons notre expression sur l’onde élevée opposée à la maladie. Cette onde est délicate à préserver, car elle est un effort constant de maintient par l’attrait sous-jacent de son onde opposée.

 

Lorsque nous choisissons de rayonner la paix intérieure. Nous réunissons en un équilibre parfait les deux polarités, s’annulant l’une et l’autre dans le rayonnement de leur union.

 

Rayonner est un accord unissant l’état d’esprit qui alimente chaque plan de nos corps, au Grand principe qui en manifeste sa lumière.

 

Le rayon s’accorde à chacune de nos pensées, chacune de nos émotions, chacun de nos actes.

 

Notre état d’esprit est le régulateur de la justesse en soi. La justesse en soi est le non manifesté de la justesse extérieure.

 

Lorsque mes pensées embrument mon état d’esprit, je peux perdre progressivement sa maîtrise et dissiper sa justesse dans les polarités que je manifeste.

 

La maîtrise de mon état d’esprit doit être préservé pour ne pas laisser mes pensées extrapoler.

 

Je dois toujours veiller à la justesse de mes émotions qui créent mes pensées qui créent  mes paroles puis mes actes, et enfin tout ce que je suis et je manifeste.

 

Le + et le – sont deux principes divisés du =. Le = dans sa polarité haute : + . Le = dans sa polarité basse  : –

 

Le + contient les deux traits du chemin = mais le chemin n’est plus tracé, il est une expansion + non vers la justesse mais vers le haut, le bas, la droite, la gauche.
Le – n’a plus les repères équilibrés du = , il n’est plus un passage mais un barrage.

 

Ces deux principes divisés sont comme la rivière de son ruisseau.

 

Si nous décidons d’exprimer par notre état d’esprit la polarité haute de cette rivière, elle s’écoulera en torrent mais jamais nous ne serons rassasiés. Si nous décidons d’exprimer par notre état d’esprit sa rareté, par la polarité basse, nous veillerons avec soucis au jour où son écoulement sera tari, nous laissant sans ressource.

 

Si nous décidons d’exprimer par notre état d’esprit la justesse de l’=,
par l’expression parfaite née de l’harmonie de la nature, 
de prendre conscience de la perfection qui a fait naître ce courant,
de l’harmonie des végétaux et des minéraux qui l’ont hébergé en son sein, 
de l’importance de notre propre jugement au regard de cette rivière, 
si nous choisissons de voir en cette rivière l’accomplissement de la nature portée par la justesse de son flux uni,
nous réunissons en nous la confiance que tout se créer dans l’harmonie, 
rien ne se tari, ne se veut plus riche ou plus rare, 
tout à une place libérée par la justesse des éléments qui ne s’opposent qu’en apparence pour offrir des réalisations communes.
Tous sont issus du premier flux unique de la vie : =

 

En nous coule cette rivière des émotions. En nous passe l’air de nos pensées. En nous, réside la terre qui nous unis en forme. En nous brûle le feu salutaire qui transforme chacun de ces éléments sur un plan ou rien ne les oppose.

 

Dans la justesse, je viens placer en moi chacun de ces éléments en harmonie les uns avec les autres.

 

La joie et la tristesse sont les deux polarités de la justesse émotionnelle dont découlent toutes les autres.
Les réunir dans l’unique principe de sérénité place celui qui est dans le juste à la bonne-heure. Il est un présent qu’il offre et qu’il offre au monde par son rayonnement.

 

Les pensées et les idées sont deux polarités de la conscience qui s’expriment dans l’air qui nous compose. L’une découle d’une onde élevée, souffle de notre divinité. L’autre découle d’une onde opposée, souffle de notre individualité.

 

L’expression de son être dans l’harmonie de ces deux ondes , unie le Je de l’individualité dans le « Suis » de la divinité. La justesse de ces deux ondes annule le bruit intérieur. Le silence est le principe mère de ces deux principes divisés qui les unis en une seule onde. L’onde où tout est dit sans bruit. Le bruit est une confrontation d’ondes qui s’opposent sans harmonie mais ce même bruit est silence dans les plans élevés des principes unifiés.

 

J’aimerais en profiter pour vous parler de quelque chose qui se produit depuis ma plus tendre enfance et qui m’a fait reconnecter très vite avec la conscience de l’existence des différentes fréquences.

 

Depuis toujours, dans un état intérieur neutre, lorsque j’entends un appareil qui fait un bruit diffus comme un seiche cheveux, une machine à laver, une bouilloire, une perceuse… J’entends le bruit dans mes oreilles, mais sur une note plus haute, plus fine et comme une brise surplombant ce bruit, j’entends une mélodie. J’entends ces ondes qui se choquent et s’harmonisent en une symphonie, dans cette fréquence où rien ne s’oppose, tout s’uni. Il y a quelques année, j’ai pu comprendre profondément ce phénomène.

 

J’ai aussi entendu plusieurs fois le « chant des anges ». Un chant qu’aucun mot ne peut décrire, un chant qui nous fait être cette symphonie. J’étais toute jeune la première fois et j’ai cru à une blague. Mais ce chant est revenu ponctuer ma vie jusqu’à ce que le livre de la Vie des Maître m’en reparle alors que je n’avais jamais osé en parler à quiconque. Il m’a fallu poser le livre deux mois pour le poursuivre de nouveau.

 

Je suis profondément emprunte à vous partager l’importance de la justesse intérieure. 
Quand j’observe les gens et moi-même à travers ce que je vois, c’est ce qui m’apparait directement. La justesse qu’on s’autorise intérieurement, inexistante dans le jugement, dans l’attaque ou la contre attaque, dans le rejet, la pitié, la haine, mais aussi dans le volonté d’aider les autres avant de s’aider soi-même. Le juste aide l’autre non par ses actions mais par toute la justesse qu’il cultive en lui. Le juste veille sur lui en permanence et c’est dans cet état qu’il veille sur l’autre.

 

Si je veille à la justesse en moi, je ne peux plus diviser les principes qui s’opposent. Parler en bien ou en mal de quelqu’un, quelque chose, qui revient à parler de moi-même. Penser en bien ou en mal de quelqu’un, quelque chose, qui revient à ce que je pense de moi-même. Agir en bien ou en mal vers quelqu’un, quelque chose, qui revient à agir pour ou contre moi-même.

 

Si je veille à mes pensées, la sérénité veille sur moi.
Si je veille à mes émotions, la paix veille sur moi.
Si je veille à mes actes, la réalisation veille sur moi.

 

Si je veille à demeurer dans la justesse de chacune des ondes qui vit dans mon corps et à chacune de leur manifestation, la justesse est ma voie. Et toutes les ondes suivent ce même courant d’équilibre.

 

Lulumineuse qui vous @ime.

 

Petit rappel avec cette vidéo

Source:  http://www.lulumineuse.com/

MES VIDÉOS D’APPRENTIS-SAGES SONT DISPONIBLES ICI

Retrouvez les chroniques de Lulumineuse sur la Presse Galactique