Bonjour les lumières !
Aujourd’hui je viens vous faire le retour du soin des habitations du 20 février.
Soin voué à harmoniser l’intensité vibratoire de nos demeures, de toutes formes et d’horizons soient-elles, avec nos temples intérieurs.
Tout cela dans la volonté du cœur d’intégrer au mieux les montées d’énergies en cours, leurs courants alternatifs, nos anciens schémas à libérer et nos futures réalisations à choyer dans la force de toute notre créativité intérieure qui se prépare à l’arrivée des fleurs du Printemps.
Quelles lourdeurs en ce mois de février ! Surtout sur les parties du globe ayant connu le plus d’histoires de dualité jusqu’à nos civilisations actuelles. À voyager physiquement, je sens bien les terres légères et celles bien plus lourdes qui renferment de telles énergies discordantes qu’une action physique de mère nature est très visiblement nécessaire. Pour cela et pour tout le reste, je lui fais confiance car je l’aime, c’est ma mère et elle est infiniment sage.
Hier en ce jour d’anniversaire, les courants étaient à la fois très hauts et très bas, provoquant des tumultes et petits désagréments intérieurs qui comme toujours nous mènent véritablement à trouver la note juste de l’instrument magnifique que nous sommes.
Le temps est particulièrement maussade pour les caliméros et toutes les lumières auto-polluées par les énergies de victimes qu’elles s’accordent à faire circuler en elles, recherchant l’aide à l’extérieur, portant l’espoir ailleurs que dans l’unique temple où elles peuvent demeurer en Paix : le leur, si elles veulent bien se l’accorder avec amour.
Sur le plan tellurique, se sont ouverts de très grand vortex aspirants comme certains ont été amenés à en prendre conscience lors du soin du 11 février. Mais là, ce sont d’immenses vortex rouges dans ces parties de terres plus chargées qui ont été ouverts et ont ravivé en chaque lumière leur cheminée planétaire, leur base vitale ! Mais encore faut-il que l’humain s’autorise à recevoir en laissant toute maîtrise derrière.
Lorsque j’ai demandé les raisons de ces vortex, ils m’ont expliqué par une belle métaphore que pour commencer à construire une maison, on commence par les fondations.
Nos fondations sont chamboulées en ce moment et c’est cela qui rend parfois difficile notre capacité à nous libérer de nos auto-pollutions, pour rester dans un alignement permanent et évacuer en même temps tout ce qui remonte à la surface.
Bêcher la terre est le travail le plus fatiguant, mais il est essentiel pour planter les graines.
C’est ce travail qui nous a été demandé en ce mois de février qui a grandement participé (et continue ainsi) à nous emmener parfois dans les profondeurs de notre mental puis à chatouiller les hauteurs de l’esprit pour enfin se perdre dans un méli-mélo, s’emmêler les pinceaux en trouvant la force de cesser de vouloir maitriser les deux pour qu’enfin il s’harmonisent d’eux-m’aime.
Notre fameux “grain de sel” qu’on veut mettre partout. D’ailleurs ils me rappellent que le sel reflète notre masculin, celui qui actionne… pas étonnant <3
J’en profite pour dire aux lumières qui ont tendance à saler leur plats plusieurs fois, de regarder en elles à ce niveau-là 🙂 Du coté du papounet aussi.
Certaines des lumières ont vécu des nouveautés libératrices, ont perçu un peu plus leur potentiel lumineux, leur légèreté intérieure. On a fait plusieurs voyages sympathiques ! D’autres ont eu besoin d’attirer à elles des sensations moins agréables, des situations difficiles pour aller un peu plus dans la profondeur de ce qu’elles ont à libérer pour se pardonner, stopper leur propre jugement et enfin réussir à se sentir entières en elles. On y arrive, on y arrive 😉
Nos demeures et toutes les demeures de la Terre ne doivent pas être des sources de stress, de préoccupations mentales ou de petites angoisses journalières. C’est à nous, en nos centres, de les considérer comme des temples de plénitude, où le partage et le respect sont des priorités, où le bonheur est perçu à l’énergie qui l’inonde, qui épouse ses murs et ses meubles au-delà de leurs apparences.
C’est ainsi aussi qu’il nous faut accepter nos propres demeures charnelles, notre reflet dans le miroir, simple représentation de ce que nous laissons percevoir de nous-mêmes. Du portrait que nous peignons de nous-mêmes. Et c’est la même chose pour notre demeure émotionnelle !
La plus rayonnante des demeures est notre divinité.
Jamais elle ne cesse de nous éclairer,
de nous protéger de nous-mêmes,
de nous accueillir en chaque blessure,
de répondre à chacune de nos demandes,
de nous amener là où nous saurons apprendre,
là où nous saurons comprendre,
mais avant tout là où nous saurons être,
libre d’être nous,
libre d’être elle,
car nous sommes notre divinité, et notre divinité est ce que nous sommes.
Notre demeure éternelle est sage et bienveillante
elle sait rester discrète quand nous choisissons de nous déplaire
elle sait rester loyale quand nous choisissons de nous respecter
elle sait rayonner l’amour quand nous nous confions à elle
elle respecte tout ce que nous sommes, tout ce que nous choisissons d’être
car elle est nous.
La planche du spectre des couleurs :
Vous avez pu vous amuser à regarder physiquement les changements vibratoires, les variations des longueurs d’ondes, la corrélation avec la vôtre… ou tout ce que vous aviez envie d’essayer !
Les couleurs doivent avant tout vous témoigner de leur magnificence. Car si elles ne vibrent pas toute de la même manière, les maîtres des 7 rayons pourront vous souffler leur rôle, leur attraction avec vous, leurs codes intemporels et universels.
Les couleurs n’attendent pas de réfléchir, elles sont telles qu’elles sont. Toutes magnifiques et uniques.
Elles sont la manifestation du tout, exactement comme vous, issues de la première lumière elles rayonnent sur Terre.
Elles n’ont pas besoin de savoir pour être,
pas besoin de corps pour s’identifier
de nom pour s’appeler
Elles sont un rayon pur et varient entre elles en s’harmonisant au son de l’univers.
Ces couleurs, elles sont toutes dans notre maison intérieure.
Lulumineuse qui vous @ime et qui a grand hâte de lire vos retours, car chaque partie de moi qui s’est promenée a pu voir l’immensité de la lumière que vous rayonnez.
Infinie gratitude