par Laurent Levy

Retrouver son potentiel de créateur, c’est assez simple en fait.
Il faut jouer avec des idées*, mais pas avec des idées qui séparent, avec des idées qui en disent long sur notre vraie nature.

Comme par exemple l’idée que nous sommes responsables à 100% de toute notre perception.

Alors on laisse cette idée germer en nous, comme une graine qu’on a semée.
On ne sait pas faire germer une graine, c’est l’amour qui fait ça.
On peut juste l’arroser de notre joie, de notre confiance, de notre désir de voir le monde à travers ce nouveau filtre, cette nouvelle idée.
Et puis on laisse faire.
Alors, nos yeux s’éclairent, notre regard s’ouvre, et le monde que nous voyons s’illumine, peu à peu ou tout d’un coup.
On se rend compte que le monde que nous avions l’habitude de voir, on ne le regardait pas du tout.
On passait la plupart de notre temps à contempler nos pensées.
Quand le regard se met à s’ouvrir, c’est une grande célébration, car cela vient en rapport direct avec les nouvelles graines que nous venons de semer! On se rend alors compte du pouvoir de perception que nous avons, et que nous avons toujours eu.
Puis on ne souhaite que continuer, à aller voir partout où notre regard est fermé, partout où nous portons encore un jugement sur la vie, sur autrui, sur nous-mêmes.
Et, par une bienveillance grandissante en nous, nous semons de l’amour là où il y avait de la haine, de la peur.
Nous semons de la confiance là où le doute semblait régner.
Nous désirons voir le merveilleux là où nous avions l’habitude de ne pas nous arrêter.
Notre vie devient alors une célébration.
Nous nous mettons à jouer avec l’univers, plus contre lui.
Nous devenons des co-créateurs conscients.
Nous nous rappelons de plus en plus du Diamant et des facettes de ce Grand Diamant que nous sommes tous.
* « jouer avec des idées », ce n’est pas comprendre une idée. C’est jouer. D’abord on joue, puis la compréhension se révèle d’elle-même.


 « J’essaye de décrire l’Amour que nous sommes et qui est souverain en nos cœurs; je le fais comme je peux, avec mes hic et mes hoc. Et, en réalité, je n’y arriverai jamais, car c’est indescriptible. Mais pendant nos dialogues, on s’abandonne à la Joie qui est là, et on laisse Sa Majesté se révéler à nous. Et on La laisse défaire ainsi nos propres barricades qu’on a nous-mêmes placées sur notre Joie, sans se douter de la misère dans laquelle nous nous sommes plongé en faisant cela. »

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