Alors ? C’est tout Lulu ? C’est vraiment tout ? Une ampoule et un nuage !
Rappel du dico ^^ :
destinateur, trice :
Celui, celle qui destine une chose à telle personne, à tel but, par opposition à destinataire.
ÉTYMOLOGIE :
Destiner. (ce n’est pas moi qui le dit ! ^^)
Bien que pour l’idée où la pensée le DESTINATAIRE reste vous, le DESTINATEUR lui est bien DIFFÉRENT!
Pourquoi ne dit-on pas : » je viens de fabriquer une idée » ?
PARCE QUE NOTRE INCONSCIENT SAIT QUE C’EST QUELQUE CHOSE QUE L’ON A REÇU !
Toute, absolument toute notre journée est bercée d’idées :
Dans les choses les plus banales du quotidien, les idées sont semées et deviennent des réalisations.. ou non !
Prenons un exemple que j’ai pour habitude de prendre 🙂
Vous êtes tranquillement en train de lire un livre, assise sur votre bon petit canapé avec une couette sur les genoux, tachée depuis 10 ans mais haaaaaaa qu’est ce qu’elle est douce ! (oh ça va, pas de secret entre nous ^^)
SOUDAIN ! PAF !
VOUS AVEZ UNE IDÉE
La terre est en train de basculer à 30° Nord Nord Est ? Les canards ont réellement 3 pattes mais la 4e est un hologramme et personne ne l’a encore remarqué ?
NON NON… bien plus simple que ça…
LA MAINTENANT, VOUS AVEZ ENVIE DE VOUS PRÉPARER UNE BONNE TASSE DE THÉ (bio^^)
Wahhhh l’idée de l’espace!
LA PREMIÈRE CHOSE QUI SE PASSE dans notre tête est la soumission de l’idée reçue à nos pensées.
ET là, deux cas de figure :
Ouai… je suis bien sous la couette…
En plus je ne sais même pas s’il reste celui que j’aime…
Oh et puis j’ai vraiment la flemme de me lever donc ça sera peut-être pour plus tard 🙂
CAS 2 :
Youhou bonne idée, je me lève de suite pour le préparer 🙂
En plus, ça va me dégourdir les jambes.
Ces deux cas sont très banals (oui j’ai vérifié on peut dire banalS ^^), et ce genre de situation se présente à nous quotidiennement et de manière totalement inaperçue quand on n’ a pas pris pleinement conscience de la réalité du DESTINATEUR qui se cache derrière.
Nous avons des idées en permanence, et c’est là que nous retrouvons ce cher ami, LE LIBRE ARBITRE, qui nous permet de répondre favorablement ou non à la proposition de notre guide.
(où celui qui parle à travers la porte de notre moi-profond à l’intérieur 😉 )
Alors de jour en jour, d’heure en heure, de seconde en seconde, nous soumettons en permanence la plus part de leurs conseils au peigne fin de notre mental qui va décider si oui où non, nous allons répondre à la direction que notre moi-profond nous propose.
Oui oui, chaque minute, nous passons notre temps à confronter notre moi-profond et notre personnalité jusqu’à un beau jour où j’entends au téléphone : » Lulu ! Je n’entend pas.. » « Lulu c’est dur pour moi.. » » Lulu es-tu sûre que c’est moi qui ai choisi cette vie ? » « Lulu ais-je mérité ça ? «
OUI OUI OUI et re OUI. Car souvenez-vous de cette fameuse tasse de thé que vous avez refusé de créer dans le CAS 1.
Votre guide vous avait soufflé par l’idée qu’il a semé d’aller dans la cuisine, pour vous préparer votre thé. De là vous auriez pu regarder l’heure et vous auriez compté qu’il vous restait une heure de libre avant de chercher loulou à l’école ou de chercher votre maman à la gare. Vous auriez peut-être posé le livre et destiné cette heure à une autre activité .. et ainsi de suite.
En réalité, toute votre journée aurait été affectée, peut-être pas dans les grandes lignes, mais dans ses moindres détails !
Savez-vous exactement ce que vous allez faire dans 5 minutes précisément ? Quelle position, quelle pensée, quelle action ?
NON.
Les guides, eux, notre moi-profond et tous les plans à l’intérieur de vous le savent. Et c’est pour cela que quotidiennement, ils vous soufflent de petites pistes qui deviendront les grandes réalisations de demain.
OUI, VOUS ÊTES LIBRE de l’aide que l’on vous porte.
Vous êtes libre de décider, de choisir entre l’idée ou la pensée, mais une chose est fondamentale :
SANS l’idée, le thé n’aurait jamais été créé.
TOUTE CRÉATION VIENT D’ UNE IDEE.
L’ IDEE est le principe du féminin sacré,
LA CREATION celui du masculin sacré.
Souvenons-nous … « LE père créateur » « l’intuition féminine » Combien de fois avons-nous entendu cela ?
L’un ne va pas sans l’autre, et en nous résident les deux 🙂
Si nous prenons pleinement conscience du destinateur, nous prenons pleinement conscience du libre choix de fusionner l’idée en la création.
Dès notre plus jeune âge, nous faisons fonctionner ce principe naturellement :
Petit, vous preniez des crayons et une feuille blanche et venait en vous l’idée d’y dessiner une jolie maison.
Le dessin est la création de votre idée 🙂 En d’autres termes :
Vous avez réussi le plus naturellement du monde à transmuter la haute vibration de l’idée en la matière.
Vous avez rendu le non-manifesté en manifesté.
Vous avez rendu ce qui existe déjà en la très haute vibration et très faible densité de l’idée,
un dessin en la matière densifiée.
VOUS AVEZ DENSIFIÉ LA VIBRATION DE L’ IDÉE EN VOTRE PLAN DE FRÉQUENCE 🙂
Grâce à la fusion de ses deux principes, grâce au choix de vous écouter, vous, le vrai vous, le moi-profond.
Toute personne qui reprend conscience que l’idée ne vient pas de son individualité, redevient consciemment l’être multidimensionnel qu’il est en réalité,
Au fil du temps et de mes apprentissages, j’ai vraiment dû me faire un super sac-à-dos en emmenant ces 3 principaux ingrédients.
Ben oui, dans les débuts quand on a une idée, les pensées se font un malin plaisir à immiscer des doutes !
Lorsque je communique avec mon guide où d’autres loulous sur des plans de consciences, j’écoute absolument toutes mes idées et JAMAIS mes pensées.
Savoir qui me parle ? Facile, je pose la question (j’émets l’intention) et j’écoute l’idée 🙂
Bon là je simplifie, car je vous vois venir : « ouai mais lulu , et si c’est quelqu’un qui se fait passer pour ? »
Eh bien, il serait vite démasqué le loulou, car j’ai bien pour habitude d’intégrer tout le plan avec lequel je parle, c’est à dire que je me sers de mon écran mental pour regarder mon interlocuteur 🙂 Ou je fais une projection astrale. Je ferai un article sur l’écran mental, tiens.
Tout simplement je me sers de mon moi-profond , je m’écoute !
Plus on s’écoute, plus les idées sont claires et le destinateur aussi. Tout cela vient au fur et à mesure en s’éloignant des doutes, des craintes et de la peur de se gourer !
D’ailleurs, si l’on sait ce que l’on sème, on a foi et confiance en ce que l’on va récolter.
Si par ailleurs, on plante des graines de doutes à foison, on récoltera des doutes en quantité 🙂
Si on plante des graine de peur, on récolte la peur… et blablabla, on pourrait en écrire une infinité 🙂
Alors au début, si vous avez une idée biscornue, ne vous affolez pas !
Ne tentez pas de vous engouffrer dans une vaste bibliothèque avec les lunettes de Sherlock Holmes à la recherche d’indices.
SIM-PLI-CI-TE .
Rappelez-vous que ce sont les plus petites idées qui créent les grands changements.
L’idée a créé et continue éternellement à créer en tous genres, des variétés sublimes de fleurs, des inventions qui ont changé le quotidien de millions de personnes, mais elle a aussi créé le fusil par exemple.
L’idée on pourrait l’imager par un petit bout du Tout, relayé par un messager et atterrissant dans notre caboche par attraction de notre moi-profond.
Et comme dans le tout, il y a tout, les intentions profondes sont multiples et variées !Comment reconnaitre l’idée ?
L’idée, elle est toujours parfaite et immédiate dans sa forme.
Souvent on la reconnait car elle vient AVANT la pensée, vous savez quand après coup, vous vous dites « haaaaa, j’aurais du m’écouter ! »
Elle est aussi celle qui reste et « qu’on ne sait pas pourquoi on a ça en tête »
Elle peut prendre la forme de toute communication à l’intérieur : Image, chanson dans la tête ou comme une pensée non formulée telle une impulsion compacte et sur mesure.
Elle peut aussi prendre la forme de toute communication à l’extérieur, et c’est souvent le cas lorsque vos guides chéris tiennent absolument à vous faire passer un message à l’intérieur sans succès : les suites de chiffres, les signes en tout genres 🙂
Les pensées, je les distingue par leur corps plus dense.
Déjà, j’entends ma voix dans ma tête. Pour les idées, non.
Les pensées ont tendance à stagner et à tourner en boucle. Elles forment parfois carrément un brouillard 🙂
Elle sont souvent à me marteler ce que j’ai à faire dans la journée : sortir le linge de la machine, sortir le linge de la machine, sortir le linge de la machine…
Les pensées, elles sont souvent plongées dans l’illusion de la linéarité du temps, de sorte qu’elles sont toujours dans un train déjà passé » rahhh hier il m’a dit ça, quand j’y repense, et puis j’ai fait si , et puis ça, et puis .. » ou dans un train qu’on attend toujours « mardi il faut absolument que je vois pour régler ce truc » ou « plus tard j’aimerais.. »
Elles ne sont généralement pas au présent et quand c’est le cas, on a l’impression d’être niais, un peu comme Homer Simpson : « elle est belle cette voiture bleue 🙂 »
Quand on est enfant, en est en permanence dans le présent.
En grandissant on fait progressivement une espèce de pirouette improbable qui nous fait quitter le train du présent et rentrer dans un train magique tel un « convecteur temporel de doc Brown » qui va dans le passé et le futur en même temps, et le tout au présent!!!!
Et après, ce sont ceux qui écoutent les guides qui sont barges ? ^^
Je trouve que nous sommes tous complètement siphonnés ! ^^
Nous avons tous des idées et des pensées, notre fraternité et notre individualité, l’esprit et le mental, le manifesté et le non manifesté.
L’esprit est tout
L’esprit est tout = idées
Surveiller ses pensées, c’est justement veiller au poids qu’on leur donne.
Une fois que l’on prend conscience de notre responsabilité à concrétiser l’idée ou non, nous intégrons aussi le fort pouvoir de décision que nous portons en nous.
Si l’idée me vient et que tout de suite je lui attribue des pensées négatives, je vais naturellement l’annuler et créer un contre mouvement inconscient 🙂
Idée : appelle Julie
pensées : ha oui il faut que j’appelle Julie c’est vrai!
pensées : arf ça va mettre des heures encore
pensées : ooo et puis je l’appellerai à un autre moment
Voilà comment mes pensées on créé l’un des mouvements (ou non mouvement ^^) de ma journée.
Je viens de créer inconsciemment un contre-mouvement, c’est-à-dire à l’encontre de ce que me dit mon moi-profond, et ce contre-mouvement va se présenter naturellement à moi par la loi d’attraction.
Vous avez remarqué ces personnes à qui il n’arrive que des ennuis ?
Il leur arrive toujours des histoires abracadabrantesques et on se demande bien comment ils font pour se retrouver en permanence dans des situations pareilles..
Et bien, en les observant, j’ai remarqué qu’ils contre-produisent presque chacune de leurs idées !
Leurs pensées sont si fortes qu’elles prédominent presque toujours sur l’idée initiale !
Je l’ai vu de mes yeux avec un ami à qui les guides envoyaient des tonnes de signes pour lui suggérer de ne pas se rendre là où il voulait absolument aller.
En une journée, il a eu des gros soucis pour réserver son billet d’avion, il a glissé en voiture à 180° dans un rond point et il s’est blessé à la jambe au foot.
Il m’a alors répondu que même si l’avion se prenait un éclair et qu’il devait continuer à la nage, il irait.
J’ai compris qu’il n’avait pas conscience que c’était avec son moi-profond qu’il se battait.
L’individualité VS la fraternité en lui.
Le moi-profond VS la personne physique
Sa personnalité avait pris une décision. Son moi-profond demandait l’inverse.
Il y est allé, et a récolté ce qu’il a semé.
En s’écoutant, il aurait pu éviter d’apprendre par la douleur, mais l’enseignement à été donné.
Rappelons-nous ces paroles :
« Ce que l’homme ne veut pas apprendre par la sagesse, il l’apprendra par la souffrance. »
Melkisedech
Aujourd’hui, mes idées sont tellement claires que c’est comme d’avoir un téléphone céleste intégré en mon corps.
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