apparence

Pure utopie ? Question de point de vue ? Ou question de connaissances ?

Tiens ! Au delà des apparences que savons-nous de l’Au-delà ? Au delà de quoi, d’abord ? De nos perceptions ?

Comment comprendre ce monde, si déjà nous renions sa présence ?

Nous vivons dans un monde de pesanteur, d’attraction et de gravité. Et il faudrait comprendre un monde d’apesanteur, sublime, spirituel et éthéré.

Nous vivons dans un monde de dualité, de compétition, entraînant souffrances et violences ? Et  il faudrait concevoir un monde de trinômie, de coopération, où tout n’est que paix et unité.

Nous ne voyons pas plus loin que le bout de notre nez et il nous faudrait pouvoir accepter une vision sur 360°, une conscience de n’être qu’un avec tout, tous et chacun, de ce monde ou d’autres…

N’ tient pas la route c ‘t affaire !

Alors, nous préférons soutenir que ce monde au-delà n’existe pas, c’est plus simple ! Et ça nous évite de nous remettre en question ou de devoir accepter notre erreur… Quoi comment ? La mort n’est pas une chose horrible ? Mais personne n’en est jamais revenu !

Euh… Six millions et des cacahuètes, de gens qui en sont revenus ! Qui disent tous la même chose ! Et si les scientifiques ne peuvent rien démontrer, ils sont bien obligés au constat : une autre vie existe après la vie.

Moi, je me dis comme-ça dans mon moi-même : « Mais, si je regarde, là, globalement, à qui profiterait le fait qu’il n’y ait plus rien après le décès ? »

Une petite minute de réflexions là-dessus… Cogitons cogitons…

Et maintenant, dans l’autre sens : « A qui profiterait la conscience qu’il existe un monde magique et merveilleux, ici et maintenant, où l’on pourrait retrouver tous les êtres disparus dans une splendide lumière d’éclats de rire ? »

Question à cinq balles : Qu’est-ce qui disparaît entre les deux formules ?

Non, ce n’est pas la peine d’aller vérifier la réponse à la fin du bouquin!

Question subsidiaire : Et si, ce monde dont on prétend à grand renforts de formatages divers et avariés, tels la nécessité de devoir travailler pour vivre, qu’il n’existe pas, était au contraire le monde nouveau vers lequel nous nous dirigeons maintenant ? Qui c’est qui resterait sur sa faim ? L’affameur ou l’affamé ?