EPISODE no.4
Avec David Wilcock et Corey Goode
D : Eh bien, bienvenue à notre émission. Je suis David Wilcock, votre hôte. Notre invité est un homme vraiment remarquable. Nous parlons de Corey Goode, qui s’est présenté en tant qu’informateur, pour nous parler de ce monde remarquable, appelé le Programme Spatial Secret.
D : Corey, l’envergure de ce programme pourrait être difficile à accepter, pour certaines personnes. Bon, nous sommes allés sur la lune en 1969. Certains diraient que nous sommes, supposément, allés sur la Lune. Mais il semble bien que nous ayons au moins accompli quelque chose de réel sur la Lune, et nous n’y sommes jamais retournés.
Ils ont planté un drapeau là-bas. Ils y ont fait quelques missions et ensuite, cela s’est terminé. Nous avons vu ce que nous devions voir.
Donc, je pense que lorsque vous dites que des gens se sont établis hors planète, la majorité des gens diront : « Eh bien, ça ne va sans doute pas aussi loin que ça. » Quelle est l’envergure réelle de toute cette affaire ? Lorsque la vérité éclatera, qu’apprendrons-nous ?
C: Eh bien, les gens seront bouleversés d’apprendre qu’il y a une vaste infrastructure dans tout l’ensemble du Système Solaire, incluant de l’exploitation minière jusqu’à la ceinture d’astéroïdes, ainsi que sur les lunes et les planètes, afin de fournir des matières premières à des complexes industriels, qui produisent des technologies. Il y a aussi des colonies humaines, qui travaillent dans ces complexes industriels, pour soutenir cette grande machine industrielle, qui se trouve partout, dans tout notre Système Solaire.
D: Nous ne pourrions pas construire de base à l’intérieur d’une planète gazeuse ? Parce qu’il y fait trop chaud, et que la pression est trop forte?
C: Oui, la pression est trop forte.
D: Donc, si nous voulions rechercher ces colonies, où devrions-nous regarder ?
C: Les colonies sont, essentiellement, ce que nous appelons la zone où les familles et les gens vivent. En outre, il y a aussi toutes sortes de différents types d’installations. Il y a des installations à l’intérieur des astéroïdes creuses, où ils exploitent des mines.
Il y a des installations réparties partout sur Mars, sous la surface évidemment, et sur diverses lunes des géantes gazeuses, et même sur notre propre Lune.
D: Pourriez-vous nous donner une estimation du nombre de différentes installations ou de divers lieux, qui ont été construits ? Combien y en a t-il, disons, dans notre système solaire ?
C : Dans notre système solaire, il y a de petits avant-postes de sécurité, avec, par exemple, 18 à 40 personnes sur Mars seule, il y a des installations qui flottent autour des différents points de Lagrange, il y en a partout dans tout le système solaire.
D: Pourriez-vous nous dire ce qu’est un point de Lagrange ?
C: Il y a des zones, entre les planètes ou les corps célestes, qui ont une attraction gravitationnelle ininterrompue, ou égale dans toutes les directions, d’où ils peuvent avoir une sorte de géosynchronicité, ou un point fixe pour rester stationnaires. Je n’ai pas vraiment de chiffre précis. Il y a des centaines d’installations là-bas.
D: Quelle serait la plus grande des installations, en terme de personnel et du nombre de membres d’équipage ?
C: Eh bien, si nous parlons de colonies, celles qui sont les plus vastes, alors celles-ci abritent plus d’un million de personnes.
D: Vraiment ?
C: Oui.
D: Vous pensez que ce nombre est exact ?
C: Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de colonies ayant une population aussi nombreuse, mais un bon nombre d’entre elles abritent des centaines de milliers de personnes.
D: Plus vous vous éloignez du soleil, plus il fait froid et plus il est difficile d’y vivre ?
C: C’est à ce moment-là que les technologies plus avancées entrent en jeu. Nous pouvons reproduire les conditions de vie confortables pour nous, n’importe où, incluant même la résonance de Schumann présente ici, sur Terre.
La Terre émet une certaine résonance vibratoire, qui maintient les plantes et les humains en bonne santé. Cette résonance de Schumann est canalisée par les satellites et les installations des colonies, pour aider à maintenir les gens en bonne santé, de même que la pression barométrique et la gravité contrôlée.
D: J’allais justement vous poser des questions sur la gravité. De toute évidence, la Terre a une certaine masse, et l’accélération gravitationnelle, à 10 mètres par seconde au carré, est proportionnelle à la masse de la Terre. Donc, en ce qui concerne les lunes, les gens de la NASA nous disent qu’à la surface, on rebondirait. Alors, comment font-ils pour compenser ceci ?
C: Eh bien, ils installent des plaques de gravité, comme ils le font dans les vaisseaux, des plaques entrecroisées dans les planchers, et grâce à l’électricité, ils créent un champ électro-gravitationnel, et cela crée une gravité artificielle.
D: Quelles sont les dimensions des plaques ? Varient-elles ?
C: Eh bien, les plaques varient en taille, parce que vous avez différentes dimensions de couloirs. Mais il y a des plaques environ de cette épaisseur (ndt: 3po ou 7,5 cm) semblables aux blocs de construction pour enfants, qui s’imbriquent et se verrouillent ensemble.
D: Pourriez-vous nous donner un peu plus d’informations sur ce que seraient les grandes catégories d’installations ? Vous avez parlé d’une catégorie servant de demeure aux personnes qui y vivent. Est-ce strictement utilitaire, où les pièces d’habitation sont entassées, ou ont-ils un grand bel atrium, avec une cascade ? Est-ce qu’ils ont de grandes salles communes de réunion, des auditoriums ?
C: Habituellement, lorsque j’étais à bord du vaisseau de recherche, nous n’allions pas leur rendre visite. Ces colonies appartiennent à la CIC (Conglomérat Interplanétaire de Corporations). Elles appartiennent à des entreprises. Mais, s’il y avait, par exemple, un élément essentiel de machinerie qui était endommagé et que leur personnel ne pouvait pas le réparer, ils nous demandaient alors d’envoyer quelqu’un ayant l’expertise nécessaire pour cette réparation. Lors de telles occasions, nous étions autorisés à aller dans les colonies, avec des ordres stricts de ne pas parler, ni d’interagir avec les gens se trouvant dans les installations, ou dans les colonies. Nous étions sous la surveillante de gardes armés. On ne nous offrait ni visite, ni repas. Nous étions conduits directement à l’emplacement où nous devions faire l’entretien et ensuite, nous étions escortés directement à notre vaisseau pour partir aussitôt.
D: Pouviez-vous revenir sur Terre autant de fois que vous le vouliez, pendant votre service ?
C: Non, durant votre service de 20 ans, vous étiez totalement coupé de la Terre, des nouvelles de la Terre, de tout lien avec la Terre. Nous n’avions pas accès aux nouvelles, ni à la télévision, ni à aucune information sur ce qui se passait sur Terre.
D: Étiez-vous autorisé à apporter avec vous des livres et des magazines ?
C: Non, nous n’avions même pas une photo de notre famille, ou quelque chose comme ça. Tout ce que vous aviez, c’est ce qui vous avait été donné, lorsque vous vous êtes engagé.
D: Vous avez parlé de ces tablettes intelligentes en verre. Y aviez-vous accès, quand vous étiez à bord du vaisseau de recherche?
C: Lorsque j’étais en service, oui.
D: OK. Savaient-ils ce que vous faisiez? Y avait t-il une fiche de surveillance de ce que vous aviez tenté de regarder, grâce à ces tablettes?
C: Je suis certain qu’il y en avait. À bord du vaisseau de recherche, c’était beaucoup plus décontracté, mais j’ai entendu dire que ça ne l’était, sur les vaisseaux militaires. Ils appelaient les scientifiques, les « intellos ». J’ai passé beaucoup de temps à regarder les tablettes intelligentes en verre. Il y avait beaucoup de temps mort pour moi.
Tout le monde avait des formations supplémentaires. Vous n’aviez pas qu’un seul emploi. J’ai aussi été formé dans les communications, et quelques autres choses.
D: Parlons un peu des loisirs. Les gens étaient-ils enclins à flâner, à parler les uns avec les autres, ou étaient-ils enclins à fouiller et à essayer de lire des choses intéressantes.
C: Principalement l’accès à ces tablettes n’était disponible que lorsque vous étiez en service.
D: Oh, lorsque vous étiez en service.
C: En effet, et lorsque nous avions du temps libre, nous allions parler avec d’autres personnes, et nous écoutions les ragots sur ce qui se passait.
D: Y avait-il certaines personnes qui étaient vos amis proches?
C: J’avais des amis proches chez quelques-uns des intellos ou scientifiques, car je passais beaucoup de temps avec eux. Et on m’a affecté à une zone d’installation qui recevait généralement de 18 à 24 personnes en affectation. J’en suis venu à connaître certaines personnes, mais il y avait une grande rotation de personnel.
D: Il y avait une grande rotation de personnel?
C: Oui.
D: Quel était le genre de choses dont vous parliez avec ces gens ? Je veux dire, il est difficile pour la plupart d’entre nous, d’essayer d’imaginer ce que ce serait de vivre dans ce monde. Est-ce devenu ordinaire, après un certain temps ? Est-ce devenu ennuyeux, après un certain temps ?
C: Oui. Nous parlions du travail. Nous aimions parler de ce qui se passait probablement sur Terre, ou sur ce que les gens étudiaient, lorsque nous étions assigné à étudier certaines choses … des conversations ordinaires finalement.
D: Combien de fois avez-vous visité d’autres installations, lorsque vous étiez à bord de ce vaisseau de recherche ? Vous avez dit que vous aviez été là-bas pendant 6 ans.
C: Ainsi que je l’ai dit, ce fut à de rares occasions. En fait, il y a eu trois différentes occasions, où nous avons visité les colonies, et nous avons visité les complexes industriels, à plusieurs reprises pour y faire des réparations.
D: C’était des installations de type usines ?
C: Comme une usine. Et il y a eu une occasion en fait, où nous sommes allés à une exploitation minière, qui se trouvait dans la ceinture d’astéroïdes.
D: À quoi cela ressemblait-il ?
C: C’était simplement une installation, opérée par trois hommes, à l’intérieur d’un astéroïde. Ils s’occupaient principalement des appareils robotiques et télécommandés.
D: Cela ne nécessitait que trois membres du personnel pour l’opérer ?
C: Trois personnes qui faisaient une rotation.
D: Quelle était la taille de la construction proprement dite ? Quelle était la taille de cette zone, qui avait été construite ?
C: Eh bien, c’était un très grand astéroïde, et il grossissait à mesure qu’ils l’excavaient.
D: Comment pouvait-il grossir ? Je ne comprends pas.
C: L’espace intérieur s’agrandissait.
D: La taille du trou.
C: La taille de l’espace à l’intérieur du trou grandissait, il devenait plus grand et plus spacieux. Ils ont commencé à creuser, et ils faisaient de plus en plus de progrès, dans ce gros astéroïde.
D: Donc, si vous n’avez visité, vous avez dit, que trois colonies et puis d’autres installations industrielles, et que vous aviez été là pendant six ans, cela ne semble pas la principale chose que vous ayez fait.
C: Ce n’était pas super excitant. Une grande partie de ce que nous faisions, c’était d’étudier ce qu’on peut appeler les exo-extrêmophiles. Je suppose que la biologie moderne et la science vont devoir redéfinir ce qu’est la vie, si je me base sur ce que j’ai vu durant cette étude. Il y avait de la vie plasmatique, un tout autre type de vie énergétique, c’était, fondamentalement, semblable à des amibes géantes, qui se nourrissaient du champ électromagnétique de Jupiter. Ils ont essayé de recueillir des spécimens. Ils étaient très gros, ils pouvaient y avoir aussi de petits spécimens, mais ils mouraient, ou se putréfiaient, en quelque sorte. Ils n’étaient pas capables de …
D: Qu’est-ce qui faisait penser qu’ils étaient effectivement en vie ?
C: Eh bien. Ils n’étaient pas seulement en vie, ils ont montré des signes qu’ils étaient des êtres conscients.
D: Vraiment ?
C: Oui. Ils étaient conscients. Ils ont des caractéristiques de préservation de vie. Ils ont fait beaucoup de choses, des tests sur eux, qui n’étaient pas très éthiques…
D: Eh bien, je pense que la vision typique, classique, de la vie biologique, c’est qu’un être doit manger, excréter, avoir de la locomotion, cela doit respirer….
C: De la neurologie.
D: En effet. Il doit y avoir des cellules, du matériel biologique.
C: Oui. C’est une vie à base de carbone.
D: Donc, cette vie n’avait pas de structure cellulaire. Ce n’est pas comme si le plasma était interconnecté par des cellules.
C: Non, mais ils se comportent comme des organismes unicellulaires, dans la façon dont ils se reproduisent.
D: Ils se reproduisent ?
C: Oui. Cela s’appelle mitose, lorsque les cellules se divisent ?
D: En effet.
C: Et il y avait aussi un peu de vie aquatique, qui a été étudiée, sous la glace de l’une des lunes de Jupiter…
D: Comme Europa ?
C: Oui. C’était un peu comme des baleines et des dauphins.
D: Vraiment ?
C: Oui. Donc, les scientifiques étudiaient pas mal de choses là-bas.
D: La vie biologique est-elle répandue dans notre système solaire ? Où en trouvez-vous ?
C: Elle est à peu près partout, si vous incluez le niveau microscopique. Elle est à peu près partout. Vous pouvez même en trouver flottant librement dans l’espace, lyophilisée.
D: D’accord. Si nous allons au-delà de la vie microbienne, y a-t-il des êtres qui peuvent se mouvoir sur ces lunes, comme sur les lunes de Jupiter, par exemple ? Je sais que vous avez mentionné Europa, qui est une lune aquatique, mais qu’en est-il d’une lune désertique ? Y aurait-il de la vie, sous la surface d’une lune désertique ?
C: Il y a un peu de vie sur Mars. Il y a un peu de vie animale, qui est principalement fouisseuse, qui creuse. Il y a une vie végétale sur Mars, qui est très … comment appelleriez-vous quelque chose qui se développe dans un désert … très robuste.
Il y avait un buisson, pourpre et rouge, avec d’énormes épines. Et il y avait une sorte de buisson petit et épais dont les feuilles pointues finissaient en épine à la pointe, et elles étaient rayées, violet et rouge.
D: Comment faisiez-vous pour aller voir ces buissons ? Portiez-vous une sorte de combinaison spéciale ?
C: C’était une combinaison légère, pas une combinaison pressurisée.
D: Est-ce que vous portiez un casque à visière de verre ?
C: Oui. Et un respirateur.
D: Revenons au vaisseau pendant une minute. Combien de personnes se trouvaient avec vous à bord du vaisseau?
C: Cela fluctuait. Il y avait jusqu’à 24 personnes qui pouvaient rester dans l’endroit où était mon assignation. Il y avait entre 18 et 24 personnes. Cela changeait.
D: Donc, vous étiez groupés, et vous deviez dormir tous ensemble dans une pièce. Comme dans le style militaire ?
C: Oui. Et nous avions des couchettes qui étaient dans les murs, et nous nous asseyions sur la couchette. Vous êtes assis sur votre couchette, vous fermez votre diviseur (ndt : Corey fait le geste de fermer un rideau), et vous aviez une petite section où vous pouviez placer les articles que vous pouviez avoir.
D: Existait-il un cycle de 24 heures, comme sur la Terre ? Est-ce le même genre de mesure du temps ?
C: Tout-à-fait.
D: L’éclairage du vaisseau reproduisait-il le cycle de 24 heures ?
C: Ils gardaient notre cycle circadien en fonction, et ils reproduisaient la résonance de Schumann, afin de maintenir ce à quoi le corps humain est habitué, pour des raisons de santé.
D: Y avait-il certaines personnes qui travaillaient durant le quart de nuit ?
C: Oh oui. Il y avait toujours du personnel en service.
D: Comment obteniez-vous de l’eau ? De toute évidence, l’eau sur Terre, nécessite un cycle hydrologique, avec des nuages et de la pluie. L’eau est si rare sur la Terre maintenant, avec la sécheresse en Californie. Comment en obteniez-vous, au milieu de l’espace ?
C: L’eau n’est pas rare dans le Système Solaire. Et quand vous êtes à bord d’un vaisseau comme ça, disons tout simplement, que tout est recyclé.
D: Donc, le vaisseau en entier est conçu de façon à ce que tout soit recyclé.
C: Il y a un système fermé, très fermé, autonome. Oui, tout est recyclé.
D: Finissez-vous par devenir végétarien ? Les gens qui aiment manger de la viande, ont-ils la chance de manger quelque chose comme de la viande ? Quels sont vos repas ?
C: La qualité a changé, mais, ils avaient des réplicateurs qui produisaient une certaine gamme de repas. Mais ils y avaient aussi des zones hydroponiques, où ils faisaient pousser un peu de nourriture fraîche.
D: Donc, pouviez-vous appuyer sur le bouton «cheeseburger» sur un réplicateur, et obtenir un cheeseburger ?
C: Non, ce n’était pas comme ça. Non. Vous appuyiez sur un bouton, et obteniez un rôti braisé ou quelque chose comme ça.
D: Quels étaient vos mets préférés ? Pourriez-vous nous donner une liste de ce que …
C: J’aimais beaucoup le rôti braisé et les pommes de terre en purée.
D: Était-ce un rôti assez convaincant ? Est-ce que cela goûtait vraiment comme un rôti ?
C: C’était bon, oui.
D: Cela était-il présenté à la bonne température ? Deviez-vous le faire chauffer une fois qu’il était sorti ?
C: Non, c’était très chaud.
D: Pouviez-vous voir la nourriture en train de se former à l’intérieur, à travers le verre ?
C: Cela ressemble fondamentalement à un four micro-onde, en fait de grosseur. Vous placez une assiette à l’intérieur, sur la zone conçue pour l’assiette, près de la porte, vous poussez le bouton de ce que vous voulez, il y un bruit, et c’est prêt. Vous ouvrez la porte, vous sortez l’assiette avec la nourriture fumante.
D: Quel genre de bruit ?
C: Similaire à celui d’un four micro-ondes. Quand ils utilisent un réplicateur pour quelque chose, ils appellent cela imprimer quelque chose.
D: Vraiment ?
C: Oui.
D: Y a t-il un nom pour cet appareil ? Lui donniez-vous un nom ?
C: Une imprimante.
D: Vraiment ?
C: Oui.
D: Comment saviez-vous ce que vous alliez obtenir ? Il y avait comme un affichage numérique, et vous pouviez choisir à partir d’un menu, que vous pouviez faire défiler ?
C: Si vous regardez un four micro-ondes, vous avez une certaine quantité de boutons à pousser …
D: Donc, il y avait un bouton pour le rôti ?
C: Oui. Il y avait un bouton pour les différents repas.
D: Qu’en est-il des boissons ? Pouviez-vous avoir une limonade ou un punch aux fruits ?
C: Oui, mais vous n’avez pas ça, avec le réplicateur. Il y avait un distributeur pour les différentes boissons.
D: Avez-vous fait pousser des légumes séparément du réplicateur ? Car, vous ne pouvez pas imprimer une salade.
C: Eh bien, il y avait certains légumes, comme les pommes de terre et des trucs comme ça, mais certains des autres légumes verts, ils les cultivaient.
D: OK. Donc, si vous voulez avoir une salade, est-ce que le distributeur de salade est près du lieu où est l’imprimante ? Avez-vous un réfrigérateur où les légumes verts sont conservés ?
C: Vous devez alors aller dans la zone de la «cafétéria », et là, il y a certaines choses qui sont préparées. Quelques fois, lorsqu’il y avait des choses qui fonctionnaient mal, nous avions des œufs en poudre et des aliments de rationnement, et des trucs comme ça. Il y a un endroit où il y a des gens qui servent de la nourriture en « bouillie ».
D: Qu’est-ce que vous portiez durant votre service ?
C: Une combinaison-pantalon.
D: Donc, une seule pièce ?
C: Oui.
D: De quelle couleur ?
C: Eh bien, différentes fonctions, différentes couleurs. Tantôt bleu, tantôt blanc. Cela dépendait dans quel domaine vous travailliez.
D: Que désignait le blanc ?
C: Le Blanc – Il ne désignait pas vraiment un emploi. Si je travaillais dans une zone de laboratoire avec les intellos, quelle qu’elle soit, je portais le blanc. Si je travaillais dans la zone de communication, je n’allais pas porter la combinaison blanche de laboratoire.
D: Si vous alliez à l’avant du vaisseau et puis, que vous marchiez à un rythme soutenu vers l’arrière, combien de temps cela prendrait-il à faire tout le circuit ?
C: Vous ne pouviez pas marcher en ligne droite. C’était comme un labyrinthe. Cela vous prendrait à peu près 30 à 45 minutes, tout en restant sur le même niveau.
D: Lorsque vous êtes à l’intérieur, les murs ont-ils un aspect particulier ? Quelle est la couleur prédominante de ce que vous voyez à l’intérieur ?
C: Eh bien, beaucoup d’entre eux étaient métalliques. On m’a dit que beaucoup de ces premiers bâtiments, avaient été construits par des gens qui construisent des sous-marins.
Donc, il y avait beaucoup de ce même type d’impression et de construction. Et au cas, où il y avait un environnement sans gravité, il y avait des poignées le long du mur, que vous pouviez utiliser pour vous guider.
D: Quelle était la hauteur typique du plafond à l’intérieur ?
C: Probablement environ huit pieds (2 mètres 50).
D: Aviez-vous plusieurs ponts, vous amenant à passer d’un étage à l’autre ?
C: Oui. Il y avait plusieurs ponts.
D: Vous souvenez-vous combien de ponts ?
C: Je suis allé principalement sur quatre ponts, mais je crois qu’il y en avait au moins neuf.
D: Ces ponts avaient-ils eu une classification spécifique, comme un nom spécifique à chacun ?
C: Oui. Ils avaient une désignation pour chaque secteur. Il y avait le niveau 1, ensuite, ce qui est appelé « dash », mais ils l’appelaient « tack », comme 1 tack A, 1 tack B.
D: Est-ce que ces zones avaient un code de couleur ? Par exemple, les murs avaient-ils un certain aspect, pour que vous sachiez que vous êtes dans une certaine zone ?
C: Eh bien, le plus souvent, c’était les lignes colorées sur le sol qui nous guidaient. Mais vous saviez où vous alliez, par le numéro de désignation sur la porte.
D: Vous aviez dit que l’Alliance a l’intention de remettre cette technologie à l’humanité, une fois que nous aurons passé par la divulgation.
C: Oui. C’est le plan. Après la divulgation complète, et après que nous aurons passé par le processus de traitement de l’information de cette divulgation, et dépassé tous les défis qui seront nécessaires, et transigé psychologiquement avec ce processus, alors toutes ces technologies seront apportées à l’humanité, et cela va changer fondamentalement notre vie. Nous sommes des êtres esclaves de la dette, nous travaillons tous les jours, de huit à neuf heures par jour, pour payer le loyer, nous regardons la télévision pendant quelques heures, nous dormons, et nous répétons ceci tous les jours. Nous connaîtrons un style de vie totalement différent.
D: Comment décider qui peut aller dans l’espace ? Est ce qu’il y aura certaines restrictions ?
C: Je n’ai aucune idée sur ce processus. Je sais que nous allons expérimenter une civilisation de type « Star Trek ». Je sais qu’il y aura du tourisme possible, vers beaucoup d’endroits dans le Système Solaire. Et il y aura beaucoup de nouveaux genres de carrière pour beaucoup de personnes.
D: Pensez-vous qu’il y a suffisamment de vaisseaux pour que de nombreuses personnes puissent y aller assez rapidement, s’ils le voulaient, une fois que tout cela arrivera ?
C: Je le crois. Oui. Je crois qu’il y a assez de vaisseaux déjà construits, car nous pourrons utiliser ceux des militaires et les utiliser à des fins non-militaires.
D: Eh bien, cela a été vraiment incroyable. Encore une fois, je tiens à vous remercier d’être ici, et je tiens à vous remercier vous tous, pour nous avoir regardés. Lorsque vous commencez à recevoir autant de détails spécifiques … Il est facile de dire si les gens mentent. Ils commencent à hésiter. Le langage du corps change. Et je vous parle depuis si longtemps de ce genre de choses, et chaque fois que je vous pose ces questions, j’apprends de nouvelles choses. Je suis convaincu que ce que vous nous dites vous est vraiment arrivé. Je pense qu’il y a de nombreuses preuves confirmant ceci et c’est en corrélation avec tout le reste. Alors, encore une fois, je vous considère comme un héros pour vous être présenté, et je veux vraiment vous remercier pour votre service envers l’humanité, en faisant cela.
C : Je vous remercie.
D: Merci.
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Source d’origine: http://www.gaiamtv.com/
Transcription Estelle
Résumé et traduction par Michelle – lasphrebleue.blogspot.ca
Mis en page et Publié par lapressegalactique.org
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